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Contes drolatiques d’Honoré de Balzac et autres romans et histoire drôles d’auteurs divers

samedi 21 mars 2015, par Robert Paris

Messages

  • Desproges a écrit :

    « Un bon sportif est un sportif mort », certes elles sont dures ces paroles de Pierre de Coubertin.

    Dures mais justes.

    Mais regardons-y de plus près.

    Quelle différence y’a t’il entre l’homme d’une part et le sportif d’autre part.

    Une enquête très sérieuse a été commandée récemment par le ministre de la jeunesse et des sports, M. Jean-Baptiste Vacquete de Gribovallez les verts à l’IFOB, Institut Français d’Opinion Biblique, dont l’activité est le plus souvent axée, comme son nom l’indique, sur les sondages sur le sexe mais qui s’occupe également des autres activités sportives.

    Il ressort de cette enquête que le QI moyen d’un sportif, un champignon comme vous, M.
    Pescarolo, ou à pédale comme je ne le nommerai pas, est comparable, ce QI est comparable à celui de l’autruche moyenne.

    Très sportive elle-même puisqu’elle court le 110 mètres haies en 14’2 avec le handicap considérable d’avoir une plume dans le cul alors que Guy Drut par exemple a toujours pris soin de débrancher la sienne avant chaque compétition.

    Le QI de l’autruche a pu être observé quantitativement lors d’expériences d’une extrême rigueur scientifique entreprises dans le désert du Zobi par les chercheurs du CNRS, le CNRS qui veut dire Centre National de la Recherche Ssssur les autruches.

    D’où son nom.

    Dans un premier temps on a fait faire le tour du désert en 15 étapes par 150 autruches.

    L’autruche vainqueur interviewée dès son arrivée a déclaré, je cite : "Ba tacatacatacatacata".

    Alors que si on interviewe un sportif, un coureur cycliste par exemple, à l’arrivée d’une course, il déclarera : "Ba je suis contentcontentcontentcontent".

    On peut donc déjà en déduire qu’il existe une certaine parenté de pensée entre l’autruche et le coureur cycliste.

    Parenté renforcée encore par le fait que l’un comme l’autre s’arrachent les poils de pattes pour faire joli avant de courir.

    Entre l’autruche et le footballeur, le rapprochement est encore plus flagrant.

    La danse d’amour par exemple est presque la même.

    Exemple : mettons 22 autruches dans le désert de Zobi.

    Donnons leur une noix de coco.

    Aussitôt les autruches se divisent en 2 camps de 11 et se mettent à courir comme des cons dans tous les sens pour pouvoir taper dans la noix de coco.

    Quand une autruche arrive en envoyer la noix de coco entre deux cactus c’est le signe de l’amour.

    Les autruches commencent à sauter sur place puis elles se filent des grands coups d’ailes dans le dos et elles s’embrassent goulûment.

    L’instant d’après c’est la copulation qui assurera la survie de l’espèce autruchienne.

    Les footballeurs font exactement la même chose, mais leur QI étant légèrement inférieur à celui de l’autruche, ils sont incapables de sortir leur sexe au moment de l’embrassade générale.

    Alors ils recommencent à taper dans le ballon jusqu’à épuisement complet.

    C’est pourquoi les footballeurs ne se reproduisent pas, ils shootent.

    C’est la femme de l’AS St Etienne qui me l’a dit.

  • Desproges a écrit :

    Alors comme ça, bande de jurés sous-doués végétatifs gorgés d’inculture crasse et de Coca-Cola tiède, quand on vous parle d’« introduction liminaire », vous ne voyez pas où est le pléonasme ? Je suis même certain, monsieur Zitrone, qu’en m’entendant parler d’« introduction liminaire », la plupart de ces iconoclastes linguistiques s’imaginent être tombés sur un cours de sodomie artisanale. J’ai dit « liminaire », pas luminaire ! Emmenchés que vous êtes !

    Hélas, Dieu me tripote, hélas, hélas, qui, dans ce beau pays de France, sait encore parler, sans l’écorcher, la langue de nos pères, qui, à part nous deux Léon qu’on est les derniers, qui, dans cette époque que je serais été heureux d’y z’avoir pas vécu au niveau de l’inculture dont au sujet de laquelle je suis été si consterné.

    Ah, vous pouvez rire, amputés de la syntaxe, diminués du vocable, handicapés de la sémantique, castrés du verbe, émasculés du subjonctif. (L’expression « émasculé du subjonctif » pourra vous surprendre, monsieur Zitrone, mais vous savez comme moi que, devant un subjonctif, il y a « que », et que dès qu’on coupe le « que » il y a émasculation.)

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