Contribution au débat sur la philosophie dialectique du mode de formation et de transformation de la matière, de la vie, de l’homme et de la société
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Le vivant, c’est la continuité ou la discontinuité ?
Hegel dans Gallica
Hegel à l’UQAC (Université Chicoutimi du Québec)
Hegel sur E-books
Sur Hegel.net
Sur wikipedia
Sur HyperText
Sur bulletin de la littérature hégélienne
Lire ici "Phénoménologie de l’esprit"
Lire ici "Logique" de Hegel
Lire ici "Philosophie de l’esprit"
Lire ici - "Philosophie de la nature" tome un
Lire ici - "Philosophie de la nature" tome deux
Lire ici - "Philosophie de la nature" tome trois
Les idées philosophiques de Hegel
Philosophie de la (...)
Le marxisme affirme-t-il être la fin de la philosophie ?
Bien des camarades des organisations d’extrême gauche, se revendiquant du marxisme, nous disent : Il faut faire « moins de philosophie et plus de politique » et n’est pas nécessaire une attitude « philosophico-spéculative » du type de celle du site Matière et Révolution, comme viennent de nous le dire des camarades du groupe GMI dans une discussion à propos des dernières grèves cheminotes en France. « On n’est pas un café (...)
Des exemples de chaos déterministe dans les systèmes amortis entretenus
Une évolution de bactéries Dictyostelium discoideum qui est analogue à la “réaction de Belousov-Zhabotinsky”
Le pendule amorti entretenu
L’encensoir, un pendule dont la corde change de longueur, augmentant et diminuant successivement son énergie
Pendule de Pohl
Un pendule de Pohl est constitué :
D’un disque en rotation autour de son centre. D’un ressort spiral, qui exerce un couple mécanique qui (...)
Est-il vrai que « la nature a horreur du vide » ?
Chacun d’entre nous a entendu cet adage fameux, sans exactement savoir d’où il vient ni ce qu’il vaut. On s’en sert pour affirmer que le gaz va des zones les plus denses vers les zones les moins denses, des zones les plus froides vers les zones les plus chaudes, les masses séparées par des vides ont ainsi tendance à se rapprocher en comblant le vide et autres attitudes spontanées de la matière qui s’expliqueraient nous dit-on par cette « (...)
Quel lien entre Histoire, Sciences et Politique ?
Un lecteur nous demande : « Puisqu’aucun évènement politique à venir ne peut être identique ni vraiment ressemblant à un évènement passé, en quoi la politique doit-elle nécessiter l’étude de l’Histoire et celle des Sciences ?
Notre réponse :
Effectivement, il n’existe pas deux situations politiques et sociales qui se soient répétées à l’identique. C’est vrai non seulement dans le domaine des faits qui appartiennent au domaine des (...)
L’identité, première loi de la logique formelle, n’a pas de contenu réel
La logique formelle est notamment utilisée par les mathématiques et l’exemple des nombres est intéressant pour indiquer comment la logique formelle utilise l’identité comme concept de base. On ne peut pas concevoir le nombre sans lui donner une signification permanente, inchangeable, inaltérable. Un sera toujours un. Deux virgule vingt-cinq ne changera jamais de signification, quoiqu’il arrive. Pour utiliser les (...)
Roger Apéry dans "Penser les mathématiques" (ouvrage collectif) :
« La doctrine de l’infini actuel soutenue par Leibniz et étendue par Cantor l’a été pour des raisons métaphysiques ».
Leibniz écrivait :
« Je suis tellement pour l’infini actuel qu’au lieu d’admettre que la nature l’abhorre, je tiens qu’elle l’affecte partout, pour mieux marquer la perfection de son auteur. Ainsi je crois qu’il n’y a aucune partie de la matière qui ne soit, je ne dis pas divisible, mais actuellement (...)
A NOUVEAU SUR CONTINUITÉ ET DISCONTINUITÉ
Le mathématicien Ian Stewart explique dans « Dieu joue-t-il aux dés ? » : « La continuité est l’étude des changements réguliers, progressifs, la science du non-brisé. Les discontinuités sont soudaines, dramatiques : des endroits où un minuscule changement au niveau de la cause produit un énorme changement au niveau de l’effet. »
La continuité est l’apparence qui est causée lorsque les discontinuités sont suffisamment petites relativement au (...)
« Mes idées exigent une âme guerrière, un désir de faire mal, un plaisir de la négation, une enveloppe dure...
Les soldats et leurs chefs ont encore des rapports bien supérieurs à ceux des ouvriers et des patrons. Provisoirement du moins, toute civilisation à base militaire se trouve bien au-dessus de tout ce que l’on appelle civilisation industrielle : cette dernière, dans son état actuel, est la forme d’existence la plus basse qu’il y ait eu jusqu’à présent. Ce sont simplement les lois (...)