Mais son conseil était celui de la révolution, son université, celle de la rue, ses citoyens étaient tous les hommes et pas seulement les hommes libres, et pas seulement les hommes mais aussi les femmes. Il a fait tout cela sans jamais renoncer à ses idées, sans composer avec ses adversaires, sans céder à la dictature ni aux pressions de la démocratie. Son idéal, il l’a maintenu intact, aux pires moments comme face aux moments calmes. Il n’a cédé ni à la misère, ni à la bonne fortune, ni aux affolements populaires, ni à la peste, ni aux occupations militaires. Il n’a écouté ni les sirènes du pouvoir, ni celles de la rancœur. Tout le monde lui a dit mille fois qu’il pouvait mieux réussir personnellement ou pour ses idées en se compromettant de mille et une manières et il leur a seulement souri gentiment.
Mais son conseil était celui de la révolution, son université, celle de la rue, ses citoyens étaient tous les hommes et pas seulement les hommes libres, et pas seulement les hommes mais aussi les femmes. Il a fait tout cela sans jamais renoncer à ses idées, sans composer avec ses adversaires, sans céder à la dictature ni aux pressions de la démocratie. Son idéal, il l’a maintenu intact, aux pires moments comme face aux moments calmes. Il n’a cédé ni à la misère, ni à la bonne fortune, ni aux affolements populaires, ni à la peste, ni aux occupations militaires. Il n’a écouté ni les sirènes du pouvoir, ni celles de la rancœur. Tout le monde lui a dit mille fois qu’il pouvait mieux réussir personnellement ou pour ses idées en se compromettant de mille et une manières et il leur a seulement souri gentiment.