le véritable tyran est un véritable esclave, d’une bassesse et d’une servilité extrêmes, réduit qu’il est à flatter les hommes les plus méchants, impuissant à satisfaire tant soi peu ses désirs (...) Il passe sa vie dans une frayeur continuelle, en proie à des douleurs convulsives. (...) Mais outre ces maux, il est victime de ceux que le pouvoir développe encore davantage, je veux dire l’envie, la perfidie, l’injustice, le manque d’amis. (...)
Mais comment Socrate avait déjà eu vent de la tentative de viol du directeur du FMI sur la femme de chambre de son hôtel ?
le véritable tyran est un véritable esclave, d’une bassesse et d’une servilité extrêmes, réduit qu’il est à flatter les hommes les plus méchants, impuissant à satisfaire tant soi peu ses désirs (...) Il passe sa vie dans une frayeur continuelle, en proie à des douleurs convulsives. (...) Mais outre ces maux, il est victime de ceux que le pouvoir développe encore davantage, je veux dire l’envie, la perfidie, l’injustice, le manque d’amis. (...)
Mais comment Socrate avait déjà eu vent de la tentative de viol du directeur du FMI sur la femme de chambre de son hôtel ?