Pourquoi nous divergeons avec l’organisation française Lutte Ouvrière
25 octobre 2017, 07:46
Les tâches pour les communistes révolutionnaires :
– militer en développant le maximum de liens avec la classe ouvrière et pas seulement avec ses militants organisés
– ne jamais s’isoler de la masse des travailleurs et les faire juges de nos positions, de nos orientations et de nos combats par tous les moyens (prises de paroles, affiches, tracts publics)
– participer à l’activité syndicale mais en ayant conscience que l’on intervient en terrain miné, en préparant les camarades non seulement aux combats avec les bureaucrates mais aux pressions multiples et aux déformations que représente la participation aux organismes syndicaux
– ne jamais participer à des responsabilités syndicales tant qu’on n’a pas de groupes autour de soi sur des bases politiques claires et tant que l’on n’a pas de parution publique régulière communiste révolutionnaire sur l’entreprise
– ne briguer des responsabilités syndicales que sur la base d’un soutien clair et sur des objectifs écrits et votés des travailleurs
– s’interdire de diriger une lutte en tant que syndicaliste sans se donner les moyens d’organiser tous les travailleurs en lutte en faisant élire des organes de direction de cette lutte.
– Et ne jamais oublier que prôner la grève générale et même la révolution sans l’organisation de comités de grève, de comité central de grève, de comité d’usine et de soviets, c’est envoyer la classe ouvrière à la défaite et même bien pire…
– Démarcation claire sur le rôle de l’Etat bourgeois qu’ils n’appellent pas à agir en faveur des travailleurs et des milieux populaires et sur lequel ils ne sèment aucune illusion
– Démarcation claire vis-à-vis de tous les appareils institutionnels de la bourgeoisie, y compris les appareils syndicaux
– Développement de la conscience politique de classe au travers de tous les événements petits et grands et de toutes les luttes, petites et grandes
– Diffuser les leçons de ces luttes et, en particulier, montrer que l’organisation indépendante des travailleurs est la clef des succès futurs
– Aider dans toutes les circonstances possibles à l’auto-organisation des travailleurs et des milieux populaires même si ces derniers ne sont pas spontanément portés vers ce type d’organisation
– Face à l’effondrement actuel du capitalisme, ne semer aucune illusion sur la pérennité du système qui fait croire qu’il veut seulement nous faire payer un peu mais parviendra à se maintenir au travers de "la crise".
Les tâches pour les communistes révolutionnaires :
– militer en développant le maximum de liens avec la classe ouvrière et pas seulement avec ses militants organisés
– ne jamais s’isoler de la masse des travailleurs et les faire juges de nos positions, de nos orientations et de nos combats par tous les moyens (prises de paroles, affiches, tracts publics)
– participer à l’activité syndicale mais en ayant conscience que l’on intervient en terrain miné, en préparant les camarades non seulement aux combats avec les bureaucrates mais aux pressions multiples et aux déformations que représente la participation aux organismes syndicaux
– ne jamais participer à des responsabilités syndicales tant qu’on n’a pas de groupes autour de soi sur des bases politiques claires et tant que l’on n’a pas de parution publique régulière communiste révolutionnaire sur l’entreprise
– ne briguer des responsabilités syndicales que sur la base d’un soutien clair et sur des objectifs écrits et votés des travailleurs
– s’interdire de diriger une lutte en tant que syndicaliste sans se donner les moyens d’organiser tous les travailleurs en lutte en faisant élire des organes de direction de cette lutte.
– Et ne jamais oublier que prôner la grève générale et même la révolution sans l’organisation de comités de grève, de comité central de grève, de comité d’usine et de soviets, c’est envoyer la classe ouvrière à la défaite et même bien pire…
– Démarcation claire sur le rôle de l’Etat bourgeois qu’ils n’appellent pas à agir en faveur des travailleurs et des milieux populaires et sur lequel ils ne sèment aucune illusion
– Démarcation claire vis-à-vis de tous les appareils institutionnels de la bourgeoisie, y compris les appareils syndicaux
– Développement de la conscience politique de classe au travers de tous les événements petits et grands et de toutes les luttes, petites et grandes
– Diffuser les leçons de ces luttes et, en particulier, montrer que l’organisation indépendante des travailleurs est la clef des succès futurs
– Aider dans toutes les circonstances possibles à l’auto-organisation des travailleurs et des milieux populaires même si ces derniers ne sont pas spontanément portés vers ce type d’organisation
– Face à l’effondrement actuel du capitalisme, ne semer aucune illusion sur la pérennité du système qui fait croire qu’il veut seulement nous faire payer un peu mais parviendra à se maintenir au travers de "la crise".