Le nouveau pape François 1er est élu mais la papauté est loin d’être sauvée... Tant mieux : qu’elle crève ! Ce pilier de la réaction mondiale, hostile aux droits des femmes, aux travailleurs, aux droits sociaux, haut lieu de tous les complots fascistes, pilier de l’homophobie, réseau pédophile mondial, réseau de la finance véreuse mondiale, véritable verrue sur le monde issue d’un passé hideux, n’a qu’à tomber...

EUTHANASIE ET AVORTEMENT : Primat d’Argentine, Jorge Bergoglio a toujours été opposé à l’avortement et à l’euthanasie, se déclarant "en faveur de la vie de la conception jusqu’à la mort digne et naturelle".

"Une femme enceinte ne porte pas dans son ventre une brosse à dents, ni même une tumeur. La science nous indique que depuis le moment de la conception, le nouvel être possède un code génétique complet", a-t-il encore déclaré. L’avortement reste prohibé en Argentine, sous la pression de l’Eglise.

PRESERVATIF : Bergoglio a toujours été contre le port du préservatif, dans la droite ligne de la position de l’Eglise, y compris dans le cadre de la prévention du sida.

CELIBAT DES PRETRES : "Le célibat est un choix de vie comme serait, par exemple, la vie dans la pauvreté", a estimé Jorge Bergoglio, reconnaissant que ce choix peut devenir "critique à certains moments, lorsque qu’un prêtre rencontre une femme dont il croit être amoureux dans sa paroisse".

PEDOPHILIE : Il ne s’est jamais prononcé sur les scandales de pédophilie qui ont secoué l’Eglise ces dernières années.

MARIAGE HOMOSEXUEL : Jorge Bergoglio fut un féroce détracteur de la loi sur le mariage de personnes du même sexe proposée par le gouvernement de Cristina Kirchner et approuvée en juillet 2010. "Ne soyons pas naïfs : il ne s’agit pas d’un simple combat politique ; il y a une finalité destructrice du plan de Dieu", avait déclaré l’archevêque de Buenos Aires peu avant le vote du texte.

IDENTITE SEXUELLE : Le nouveau pape a vivement combattu la loi, votée en 2011, permettant aux travestis et transsexuels argentins de s’enregistrer librement à l’Etat civil selon le sexe qu’ils auront choisi.

DICTATURE : "J’ai fait ce que j’ai pu, compte tenu de mon âge et de mes maigres relations, pour plaider en faveur des personnes disparues" pendant la dictature (1976-1983), a déclaré Bergoglio, cité dans l’ouvrage "Le Jésuite" (de Sergio Rubin et Francesca Abrogetti) en réponse à des accusations de complicité le visant au sujet de l’emprisonnement de deux jésuites.