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Le nouveau pape François 1er est élu mais la papauté est loin d’être sauvée... Tant mieux : qu’elle crève ! Ce pilier de la réaction mondiale, soutien de tous les fascismes du monde, hostile aux droits des femmes, aux travailleurs, aux droits sociaux, haut lieu du dernier complot fasciste en Italie, pilier de l’homophobie, réseau pédophile mondial, réseau de la finance véreuse mondiale, véritable verrue sur le monde issue d’un passé hideux, n’a qu’à tomber...

15 mars 2013, 04:45

A rappeler aussi le lien de la papauté avec la loge maçonnique P2 et son complot fasciste en Italie et l’assassinat du pape Jean Paul premier...

Pourquoi aurait-on éliminé le Saint-Pontife, si le Vatican dans les années 70 n’était pas devenu le lieu géométrique de toutes les "combinazioni" de la Mafia qui y blanchissait son argent, de la loge maçonnique P2 qui y déployait ses filets, de la Banco Ambrosiano et de l’Institut pour les Oeuvres de la Religion qui y faisaient fructifier ses deniers d’origine plus ou moins sacrée ? Le banquier Roberto Calvi, "suicidé" en juin 1982 à Londres, l’homme d’affaires Licio Gelli, "évadé" mystérieusement par la suite des prisons helvétiques, Monseigneur Marcinkus, maître d’oeuvre omniprésent et omnipotent croisent dans ces pages ministres et cardinaux, tueurs et saintes gens, banquiers et hommes de main.

Le crack du Banco Ambrosiano marquait le début d’une affaire énorme où se trouvaient mêlés le Vatican, la loge maçonnique occulte P2 et la mafia.

On sait aujourd’hui que le banquier a été assassiné pour l’empêcher "d’exercer un pouvoir de chantage envers les référents politico-institutionnels de la maçonnerie, de la Loge P2 et du IOR, avec lesquels il avait géré des investissements et des financements de fortes sommes d’argent", soutient aujourd’hui le ministère public. Cinq personnes sont accusées du meurtre : l’ex-caissier de la mafia Pippo Calò, l’homme d’affaires Flavio Carboni, son ancienne compagne Manuela Kleinszig, l’ex-boss du milieu romain Ernesto Diotallevi et l’ex-contrebandier Silvano Vittor.

"Un grand nombre de gens ont un tas de comptes à rendre, dans cette affaire", avait menacé Calvi avant de s’enfuir. Le banquier, qui se vantait d’avoir aidé le Pape au cours des opérations financières en faveur de Solidarnosc en Pologne, ne voulait visiblement pas jouer le rôle d’un simple fusible.

Le 5 juin 1982, 13 jours avant sa mort, Calvi écrit directement au pape Jean-Paul II, Karol Woytila :
"Votre Sainteté, c’est moi qui me suis chargé du lourd fardeau des erreurs ainsi que des fautes commis par les représentants actuels et passés du IOR... C’est moi qui, ayant été chargé avec précision par vos représentants autorisés..." (...)

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