Quand l’entretien individuel à Renault tourne au procès…
… et au procès kafkaien, sans issue, sans règle, sans juge, sans avocat, sans loi, sans recours et dont l’accusateur est l’huissier, le garde, le ministère public, le parquet et les jurés à la fois ! Mais, dans son dernier tract, tout cela n’empêche pas la CFE-CGC, syndicat de salariés qu’on se le dise et pas officiellement la voix de son maître le patron, d’écrire que « l’entretien individuel doit être un moment privilégié de l’échange entre le manager et le collaborateur, et, en aucun cas, un moment de stress commun. » C’est se voiler la face. L’entretien est un procès à charge sans défenseur et sans témoin et le fait qu’aucun syndicat ne revendique sa suppression ne fait que juger ces derniers.
Quand l’entretien individuel à Renault tourne au procès…
… et au procès kafkaien, sans issue, sans règle, sans juge, sans avocat, sans loi, sans recours et dont l’accusateur est l’huissier, le garde, le ministère public, le parquet et les jurés à la fois ! Mais, dans son dernier tract, tout cela n’empêche pas la CFE-CGC, syndicat de salariés qu’on se le dise et pas officiellement la voix de son maître le patron, d’écrire que « l’entretien individuel doit être un moment privilégié de l’échange entre le manager et le collaborateur, et, en aucun cas, un moment de stress commun. » C’est se voiler la face. L’entretien est un procès à charge sans défenseur et sans témoin et le fait qu’aucun syndicat ne revendique sa suppression ne fait que juger ces derniers.