Parmi les atteintes aux libertés, les tentatives de casser la lutte des classes pour lui substituer la lutte des races, des religions, des ethnies, des communautés, il faut remarquer la recrudescence des politiques racistes, anti-Roms, anti-migrants, anti-banlieues, anti-jeunes, attaques encore aggravées dans la nouvelle mouture de l’Etat d’urgence, dans la nouvelle loi contre les migrants, dans les nouveaux discours nationalistes, blancs, guerriers et catholiques, des gouvernants. On ne peut que remarquer le silence assourdissant des centrales syndicales sur ces questions qui sont une véritable complicité scandaleuse et, là encore, un rejet de toute conception d’un syndicalisme de lutte des classes. Belle démonstration que le vote Macron ne pouvait pas être un vote antifasciste alors que certains réformistes politiques et syndicaux l’ont prétendu !
Parmi les atteintes aux libertés, les tentatives de casser la lutte des classes pour lui substituer la lutte des races, des religions, des ethnies, des communautés, il faut remarquer la recrudescence des politiques racistes, anti-Roms, anti-migrants, anti-banlieues, anti-jeunes, attaques encore aggravées dans la nouvelle mouture de l’Etat d’urgence, dans la nouvelle loi contre les migrants, dans les nouveaux discours nationalistes, blancs, guerriers et catholiques, des gouvernants. On ne peut que remarquer le silence assourdissant des centrales syndicales sur ces questions qui sont une véritable complicité scandaleuse et, là encore, un rejet de toute conception d’un syndicalisme de lutte des classes. Belle démonstration que le vote Macron ne pouvait pas être un vote antifasciste alors que certains réformistes politiques et syndicaux l’ont prétendu !