Depuis plusieurs semaines, le pays est secoué par une vague de mouvements de protestations, issus notamment de secteurs sociaux, ouvriers et enseignants, entre autres, alors que le gouvernement se limite, pour le moment, à des promesses.
Des ouvriers de la branche textile ne cessent de réclamer un ajustement salarial à 800 gourdes et menacent même de reprendre, dans les jours qui viennent, la mobilisation dans les rues pour exiger la satisfaction de leurs revendications.
Ils réclament également des accompagnements et d’autres avantages sociaux non-négociables en faveur du secteur ouvrier.
Le président de la république, Jovenel Moïse a promis de créer des conditions pour sortir la population de la misère et augmenter la production de richesses au bénéfice de tous.
Le peuple travailleur d’AYITI ne peut se nourrir de promesses politiciennes !!!
Depuis plusieurs semaines, le pays est secoué par une vague de mouvements de protestations, issus notamment de secteurs sociaux, ouvriers et enseignants, entre autres, alors que le gouvernement se limite, pour le moment, à des promesses.
Des ouvriers de la branche textile ne cessent de réclamer un ajustement salarial à 800 gourdes et menacent même de reprendre, dans les jours qui viennent, la mobilisation dans les rues pour exiger la satisfaction de leurs revendications.
Ils réclament également des accompagnements et d’autres avantages sociaux non-négociables en faveur du secteur ouvrier.
Le président de la république, Jovenel Moïse a promis de créer des conditions pour sortir la population de la misère et augmenter la production de richesses au bénéfice de tous.
Le peuple travailleur d’AYITI ne peut se nourrir de promesses politiciennes !!!