La fiesta qui devait annoncer le début des festivités du 50 eme anniversaire de l’indépendance, à travers le jeu des feux d’artifice qu’avait organisé une société chinoise au champ des courses "Attia Ghellab’’, a vite tourné au cauchemar, engendrant une dizaine de blessés parmi les policiers et une cinquantaine parmi des émeutiers. Près dune quinzaine de jeunes a été interpellée par la police.
Les jeunes, empêchés d’accéder au champ de course du chahid 2Attia Ghellab, pour des considérations inconnues, ont pris d’assaut les lieux, ciblant les policiers, qui, à leur tour ,ont riposté pour endiguer les centaines d’émeutiers qui accouraient par dizaines des quartiers périphériques de M’sila,à l’image de ceux de Mouilha, Concasseur, Chebilia, les cites du 5 juillet, en saccageant les locaux de la société des courses qui s’y trouvaient, et ont défoncé le mur de clôture à l’aide d’un camion subtilisé à l’APC, avant de mettre le feu à l’engin.
D’aucuns pensent,que cette réaction des jeunes est l’expression du rejet de l’opulence afficher, à travers ce jeu des feux d’artifice, au moment où des populations entières, poussées par la pauvreté avaient envahi ces quartiers périphériques vivant seules, l’acuité de leur précarité séculaire.
M’sila : Des émeutes à la veille du 5 juillet
La fiesta qui devait annoncer le début des festivités du 50 eme anniversaire de l’indépendance, à travers le jeu des feux d’artifice qu’avait organisé une société chinoise au champ des courses "Attia Ghellab’’, a vite tourné au cauchemar, engendrant une dizaine de blessés parmi les policiers et une cinquantaine parmi des émeutiers. Près dune quinzaine de jeunes a été interpellée par la police.
Les jeunes, empêchés d’accéder au champ de course du chahid 2Attia Ghellab, pour des considérations inconnues, ont pris d’assaut les lieux, ciblant les policiers, qui, à leur tour ,ont riposté pour endiguer les centaines d’émeutiers qui accouraient par dizaines des quartiers périphériques de M’sila,à l’image de ceux de Mouilha, Concasseur, Chebilia, les cites du 5 juillet, en saccageant les locaux de la société des courses qui s’y trouvaient, et ont défoncé le mur de clôture à l’aide d’un camion subtilisé à l’APC, avant de mettre le feu à l’engin.
D’aucuns pensent,que cette réaction des jeunes est l’expression du rejet de l’opulence afficher, à travers ce jeu des feux d’artifice, au moment où des populations entières, poussées par la pauvreté avaient envahi ces quartiers périphériques vivant seules, l’acuité de leur précarité séculaire.