Durant la campagne présidentielle de 2016, Trump a promis de « rebâtir une armée plus forte qu’on ne l’a jamais vue ». Il s’est aussi engagé à éliminer le « séquestre », terme qui désigne le plafonnement des dépenses militaires imposé par une loi de 2011. En vertu du Budget Control Act, les crédits pour la défense devraient être limités à 609 milliards de dollars en 2018, dont 60 milliards pour les opérations extérieures. En décidant une dérogation de plus de 80 milliards, le Congrès n’a pas formellement abrogé la loi. Mais pour mettre en œuvre le plan de Trump, le think-tank conservateur American Enterprise Institute (AEI) a calculé qu’une rallonge de 250 à 300 milliards de dollars sur quatre ans serait nécessaire.
Durant la campagne présidentielle de 2016, Trump a promis de « rebâtir une armée plus forte qu’on ne l’a jamais vue ». Il s’est aussi engagé à éliminer le « séquestre », terme qui désigne le plafonnement des dépenses militaires imposé par une loi de 2011. En vertu du Budget Control Act, les crédits pour la défense devraient être limités à 609 milliards de dollars en 2018, dont 60 milliards pour les opérations extérieures. En décidant une dérogation de plus de 80 milliards, le Congrès n’a pas formellement abrogé la loi. Mais pour mettre en œuvre le plan de Trump, le think-tank conservateur American Enterprise Institute (AEI) a calculé qu’une rallonge de 250 à 300 milliards de dollars sur quatre ans serait nécessaire.