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A nouveau une attaque contre les retraites, organisée cette fois par un gouvernement de gauche !!!

samedi 22 décembre 2012, par Robert Paris

A nouveau une attaque contre les retraites, organisée cette fois par un gouvernement de gauche !!!

Comme d’habitude, l’attaque commence par un énoncé « objectif » des trous dans les caisses de retraite. Pas un mot bien entendu pour nous dire que ces trous proviennent du fait que l’on a joué l’argent des retraites au casino de la bourse, que les patrons ne paient plus leurs cotisations, et même pas en trichant, seulement parce que l’Etat leur en fait le plus souvent cadeau, comme « aide à l’économie et à l’emploi… », ce qui ne les empêche même pas de licencier ! On l’a vu récemment avec les treize milliards et demi donnés à la banque PSA sans réduction de la masse des licenciements, qui au contraire passe de 8000 à 11500 suppressions d’emplois ! On l’a vu avec la décision gouvernementale de « crédit d’impôts » aux entreprises qui vient d’être adoptée par le parlement. Là aussi sans aucune compensation sur l’emploi, sans engagement des patrons.

Une fois de plus aussi, c’est un rapport sur le mauvais état des caisses de retraite qui lance l’attaque.

On se souvient qu’il y a avait eu trois attaques sur les retraites, attaques lancées par trois rapport : le rapport Rocard, le rapport Charpin (les deux fois la gauche) et le rapport du COR (cette fois la droite).

A chaque fois, les gouvernements avaient cherché des « constats partagés » avec les « partenaires sociaux » pour prétendre ensuite faire des « réformes inévitables et salvatrices » qui n’ont à chaque fois rien sauvé du tout.

Donc une « conclusion objective » consiste à nous dire que, malgré tous les sacrifices précédents présentés comme des sauvetages de retraites, les caisses ne sont nullement sauvées…
Pas un mot de justification là-dessus pour nous expliquer comment on a pu se tromper ainsi…

Le MEDEF pour sa part a anticipé en revendiquant une retraite à 63 ans…

La présidente du Medef Laurence Parisot a en effet revendiqué que l’âge légal de départ à la retraite soit rapidement relevé à 63 ans, et la durée de cotisation portée à 43 annuités, pour rééquilibrer le système des retraites dont les prévisions de déficit s’aggravent. « Nous ne pouvons accepter d’augmentation des cotisations, que ce soit côté entreprises ou salariés (...) donc il faut travailler sur l’âge légal et la durée de cotisation. L’idéal serait que dans les deux ans nous puissions augmenter l’âge légal à 63 ans et la durée de cotisation à 43 annuités », a déclaré Laurence Parisot devant la presse.
« Le déficit se creuse », « je propose que très vite, selon la modalité que voudra le gouvernement, s’organise soit un Grenelle des retraites, soit une conférence des retraites », a-t-elle ajouté. Le déficit du système de retraite à l’horizon 2020 pourrait osciller entre 20 et 25 milliards d’euros alors que la réforme de 2010 prévoyait un retour à l’équilibre à cet horizon, selon un document du Conseil d’orientation des retraites (COR) remis lundi à ses membres.
Une augmentation des cotisations « ne ferait qu’aggraver le gap (ndlr : l’écart en termes de coût du travail) qui nous sépare de nos principaux concurrents », a-t-elle expliqué. La réforme de 2010 a fixé à 62 ans l’âge légal de départ à la retraite, à partir de la génération née en 1955. Les annuités requises pour une retraite à taux plein sont de 41,5 pour les personnes nées à partir de 1955.
Donc le patronat ne veut pas payer d’impôts, pas de cotisations retraite, pas de cotisation santé, pas de taxe professionnelle, pas d’impôt sur la fortune.

Et, sur tous ces plans, elle emploie sans cesse gain de cause de la part du gouvernement Hollande.
Ce dernier baisse l’impôt sur la fortune, fait passer le « crédit d’impôts » et… cautionne l’idée d’une réforme des contrats CDI, fait passer la fin du CDI pour les jeunes, et augmente les impôts des salariés !!!

Le ministre de l’Économie Pierre Moscovici a confirmé ce mercredi 19 décembre sur RTL qu’il y aurait bien une nouvelle réforme des retraites durant le quinquennat pour assurer la pérennité du financement. Et ce le jour même où le Conseil d’orientation des retraites (COR) rend officiellement publiques ses nouvelles projections à l’horizon 2060. Le déficit global des régimes de retraite atteindrait 18,8 milliards d’euros en 2017 et 26,2 milliards en 2030.

Malgré la réforme de 2010, le déficit des régimes de retraite devrait atteindre 18,8 milliards d’euros en 2017, contre 14 milliards en 2011, estime le Conseil d’orientation des retraites (Cor), cité lundi par Le Monde.

La précédente majorité avait décidé en 2010 de relever progressivement l’âge minimum légal à 62 ans pour effacer le déficit des régimes de retraite à l’horizon 2018.

Mais selon les prévisions que doit publier mercredi le Cor, et dont le Monde dit avoir obtenu une synthèse, cet objectif ne sera pas atteint, notamment en raison du "contexte macroéconomique dégradé".

C’est donc à nouveau un rapport du COR qui va lancer l’attaque et le gouvernement suit tous les rapports qu’il a commandé comme il asuivi les recommandations du rapport xxxxxx.

Tout cela n’est que poudre aux yeux. Il n’y aurait aucun trou dans les caisses de retraite si les patrons payaient toutes leurs cotisations, si l’Etat ne se servait pas dans les caisses de retraite et si les caisses ne jouaient pas l’argent en bourse !!!

Mais les caisses de retraite agissent comme des spéculateurs, comme les banques, comme les assurances et c’est elles qui creusent le trou.

Le COR, soi-disant organisme objectif pour discuter de l’avenir des retraites, est au contraire celui qui organise la mainmise sur l’argent des retraites.

N’oublions pas que c’est un vol manifeste puisque ceux qui devraient bénéficier de ces pensions ont payé des années avant par les cotisations. Ceux qui devraient passser en procès, c’est justement ceux qui ont joué avec l’argent des retraites !!!

Bien sûr, les concernés ont une réponse : la faute à la crise. Mais là aussi, les patrons sont gagnants de tous les côtés. C’est eux qui désinvestissent et licencient. Et c’est eux qui paieraient mois de cotisations retraite. C’est encore eux qui bénéficient sur les marchés financiers de l’argent des retraites.
Avec la gauche comme avec la droite, l’intérêt du capital est sacré et on voit tout le mensonge des syndicats qui avaient prétendu que le conflit des retraites ne pouvait pas gagner tant que Sarkozy était au pouvoir. Maintenant, c’est Hollande qui prépare ses ciseaux pour couper durement dans les retraites !!!

Alors, réduire les pensions, réduire les « bénéficiares » à la misère, une fatalité ?
Si nous refusons de nous attaquer à la classe capitaliste en menant la lutte des classes, oui, c’est une fatalité.

Si nous sommes prêts à lier la question des retraites, celle des emplois, celle des salaires, en nous payant sur le capital, en menaçant de refuser de payer l’impôt, en menaçant de retirer notre argent des banques, en meançant les capitalistes qui licencient dans leurs affaires et leurs entreprises, en saisissant les entreprises qui licencient, alors oui, rien n’est fatal et même tout est possible !!!

La classe ouvrière ne peut pas se défendre si elle renonce à tous ses moyens de défense :

 le refus de la loi du capital
 le refus du respect de la propriété des moyens de production

 le droit au boycott des intérêts capitalistiques, des banques et de l’Etat
 la grève de masse
 l’organisation de comités de salariés pour ortgnniser le lutte et décider des révendications

Pour défendre emplois, salaires, retraites, logements, santé, enseignement nous avons parfaitement le droit d’employer tous nos moyens, que sont le boycott, la msie à l’index, l’attaque contre le capital, la grève, l’occupation, la réquisition sans rachat, l’utilisation à notre propre profit des insatallations et des capitaux.

Les stratégies de toutes les directions réformistes, poltiiciennes et syndicales, ont d’avance renoncé à tous ces moyens. Autant dire que cela signifie qu’ils ont capitulé d’avance face à l’attaque violente des patrons.

Alors que les autorités et les patrons unis ne craignent pas de nous enlever notre gagne pain, nos comptes en banque, nos emplois, nos salaires, nois retaite, notre santé, l’avenir de nos enfants, nous avons-nous parfaitement le droit de metre en cause directement leurs intérêts sociaux, économiques et politiques, quitte à ne pas respecter leur légalité, enttièrement au service du grand capital…

Messages

  • Quelles leçons tirer des précédentes attaques et de la manière dont les dirigeants syndicaux ont prétendu riposter ?

    Lire ici

  • Le président de la République a admis que l’allongement de la durée de cotisation pour bénéficier d’un taux plein de 41 ans en 2012 et à 41,75 ans en 2020, est insuffisante pour maintenir l’équilibre du système de financement.

    Fin décembre, le Conseil d’orientation des retraites, le Cor, avait déjà agité le chiffon rouge en publiant des prévisions alarmistes : l’organisme table sur un déficit prévisionnel de 21 milliards dès 2017.

    Côté retraites complémentaires, ce n’est guère mieux : le déficit cumulé des deux régimes, Agirc (pour les cadres) et Arrco ( pour tous les salariés), s’élève à 6,5 milliards d’euros. Il passera à 10,5 milliards dès 2017. Surtout, si rien n’est fait, les réserves de l’Agirc seront épuisées dès 2017, et celles de l’Arrco en 2020.

    Il y a donc urgence. François Hollande a d’ailleurs annoncé dès le printemps, la tenue "d’une concertation sur le financement des retraites".

  • La loi de financement de la Sécurité Sociale 2013, adoptée le 3 décembre dernier, prévoit l’instauration d’une nouvelle taxe sur les pensions de retraite, de préretraite et d’invalidité servies à compter du 1er avril 2013. La Casa (Contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie) sera prélevée à hauteur de 0,3% sur les pensions de retraite. Elle s’applique sur toutes les pensions des régimes de base (Cnav, MSA, RSI...), mais aussi complémentaires (Agirc, Arrco...).

    Aucune démarche n’est nécessaire pour le paiement de la taxe : elle sera prélevée directement sur la pension de retraite.

    Retraite : qui paiera la nouvelle taxe ? Mais toutes les pensions de retraite ne seront pas amputées par ce nouveau prélèvement. La Casa concerne uniquement les retraités qui, du fait de leur assujettissement à l’impôt sur le revenu, sont redevables de la cotisation sociale
    généralisée (CSG) à taux plein de 6,6%, ce qui représente environ la moitié des retraités français.

    Les préretraités soumis à ce taux de CSG sont également concernés par la Casa.

    Les retraités dont la cotisation d’impôt sur le revenu de l’année précédente est inférieure au seuil de mise en recouvrement de cet impôt (61€ en 2012, avant imputation des crédits d’impôt) ne seront pas assujettis à la Casa.

    Enfin, il est prévu de ne pas appliquer la Casa à ceux qui, du fait de leur situation, sont exonérés de CSG. Il s’agit notamment des personnes titulaires de l’APSA, du minimum vieillesse ou de l’allocation supplémentaire d’invalidité.

    Retraite : pourquoi la Casa a-t-elle été mise en place ?

    Cette nouvelle taxe a été mise en place dans le but de financer la perte d’autonomie et la dépendance des personnes âgées et handicapées qui séjournent à domicile ou en maison de retraite. Elle alimentera ainsi la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et en particulier le Fonds de solidarité vieillesse (FSV).

    La Casa devrait rapporter 450 millions d’euros en 2013, puis 600 millions d’euros à partir de 2014.

    Mais pourquoi notre gouvernement pioche t’il dans la poche des retraités alors qu’il y a encore des gisements de millions d’euros ailleurs ? S’il veut la liste, on la lui donnera : suppression du sénat, réduction du nombre de députés, suppression des voitures de fonction, des réceptions coûteuses, etc...

    Nous recevons ce jour (pour certains d’entre nous) de notre caisse de retraite l’information suivante : une nouvelle contribution (CASA) contribution additionnelle de solidarité sera prélevée aux retraités, à compter du 1er mai 2013.

    Cette cotisation concerne les retraités assujettis à la CSG aux taux fort de 6,6% et s’appliquera aux sommes versées dès le premier mai prochain.

    Bravo à notre gouvernement pour ce geste anti-social et obligatoire.

    Les retraités s’en souviendront !!!

  • Le rapport commandé sur le sujet par Jean-Marc Ayrault à Yannick Moreau est sur le point d’être bouclé. Augmenter les cotisations patronales, aligner le taux de CSG des retraités sur celui des actifs, revoir les règles de calcul des pensions des fonctionnaires… Le rapport de l’ex-présidente du Conseil d’orientation des retraites (COR), qui sera remis la semaine prochaine au gouvernement, contiendra des propositions détonantes.

    D’après des sources syndicales qui ont eu accès à son contenu, le rapport propose une série de mesures qui mettraient à contribution tous les Français pour redresser les comptes à court terme. Les retraités d’abord, via la suppression de l’exonération d’impôt de 10% pour frais professionnels dont ils bénéficient comme les salariés de manière injustifiée, la fiscalisation des pensions majorées de 10% pour les parents de trois enfants et plus, ou encore l’alignement du taux réduit de CSG des retraités aisés sur celui des actifs. Attention, ces mesures que rapporte Yannick Moreau ne seraient pas forcément cumulatives.

    Les actifs seraient eux aussi mis à contribution en travaillant plus. Si Yannick Moreau ne tranche pas entre report de l’âge légal de retraite et allongement de la durée de cotisation pour prétendre à une retraite à taux plein, la présidence de la commission sur l’avenir des retraites penche plutôt en faveur de la seconde option, plus dans l’air du temps et en phase avec les orientations déjà avancées par le gouvernement.

    Sur le long terme, le pilotage du régime pourrait être réalisé via cette sous-indexation, comme c’est déjà le cas pour les retraites complémentaires des salariés et des cadres Agirc et Arrco. Le Conseil d’orientation des retraites proposerait par exemple en période de crise de sous-indexer davantage les salaires portés au compte, et le gouvernement trancherait.
    Modifier le calcul des retraites des fonctionnaires

    Le rapport s’attaque aussi aux inégalités entre salariés du privé et fonctionnaires. Il propose que les pensions de ces derniers soient calculées sur les traitements (leur salaire) des 10 dernières années, et non plus des six derniers mois. En échange, les primes, qui représentent une grande partie de la rémunération des fonctionnaires de certains ministères (jusqu’à la moitié pour certains agents de l’Économie), seraient mieux prises en compte dans le calcul. De quoi faire hurler, là, les syndicats de fonctionnaires…

    Au sujet de la pénibilité, sujet cher au gouvernement, le rapport Moreau propose deux solutions : mettre en place des congés de fin de carrière ou un système d’acquisition de suppléments de retraite. À noter, le rapport retiendrait deux types seulement de situation de travail pénible : le travail de nuit et l’exposition à des substances cancérigènes.

    Enfin, pour réduire les inégalités homme femme, le rapport Moreau préconise de réformer les avantages familiaux liés au nombre d’enfants. Ce système, proportionnel au niveau de la pension, favorise en effet plus les hommes que les femmes. Un comble alors que ce sont ces dernières qui arrêtent de travailler le plus souvent pour s’occuper de leurs enfants. Le rapport propose donc la forfaitisation de ce système.

    Ce rapport fera office de boîte à outils dans laquelle le gouvernement piochera les mesures qui lui semblent les plus opportunes, et aussi politiquement acceptables, à prendre.

  • Le patronat se prépare à la guerre... de classe

    Pour la prochaine université d’été du Medef, son nouveau patron, Pierre Gattaz, ne fait pas dans la dentelle. Ainsi le programme des conférences que l’on trouve sur le site du Medef est explicite : « faire partager le goût du combat », « chasser en meute », « l’art de la guerre »... et Pierre Gattaz a sollicité la participation de militaires de haut rang et de spécialistes du renseignement pour prendre place dans le débat.

    Eh oui, le patronat considère la défense de ses intérêts comme une guerre. Aux travailleurs de préparer leur défense.

    • De préparer leur défense en s’organisant et en ne comptant pas sur les syndicats pour remplacer cette organisation...

    • Se défendre, attendre les coups dans les cordes, baisser la tête, esquiver....quel programme enthousiasmant !

      La perspective et la tactique d’un perdant ?

      Même Mohamed Ali qui avait appliquer cette tactique de "défense" contre Foreman à Kinshasa, au Zaïre en 1974 , ne l’avait surtout pas annoncer de cette manière..défaitiste.

      Il s’était effectivement entrainer pendant des semaines à recevoir beaucoup de coup de poing, pour accroitre sa résistance,, face à un adversaire que tout le monde disait "une vraie machine à KO".

      Mais M.Ali a été malin et il a gagné contre toute attente. (et cela a toujours été sa perspective profonde)

      Même pour se défendre correctement, il faut avoir en tête autre chose, mais pour l’instant LO est le plus mauvais entraineur qui soit, car le seul combat qu’elle prépare s’appelle les élections, autant dire celui qui est le plus truqué et le moins favorable à la classe ouvrière.
      Le combat sur le terrain de la lutte de classe, elle en laisse la tête aux syndicats, y compris les pires ceux qui sont les assassins des travailleurs.

      Extrait de Wikipédia

      "Ali a peu de chance de venir à bout de Foreman qui, de façon expéditive et brutale, a gagné contre Frazier et Norton, les deux seuls hommes à avoir vaincu Ali et si celui-ci a pris sa revanche, il ne l’a pas fait par KO.

      Étudiant avec soin le style de Foreman, il trouve son point faible : la fatigue. Ali parcourt la capitale et le bord du fleuve Congo en courant pour renforcer son endurance sous les acclamations du public alors que Foreman se contente de s’entraîner en frappant au sac et en martyrisant ses sparrings partners. Ali s’entraîne à encaisser des coups violents avec son ami Larry Holmes (qui par la suite deviendra champion) et lance une opération de désinformation envers Foreman en faisant croire à tout le monde qu’il allait vaincre par sa vitesse et sa mobilité. Ali devient rapidement le favori de la foule de Kinshasa pour son action envers la cause des Noirs, ce qui vexera Foreman.

      Surnommé « The Rumble in the Jungle », le combat a lieu le 30 octobre 1974. Ali, dont le meilleur coup est le jab et dont le principal atout est la mobilité, reste la majeure partie du combat dans les cordes et surprend Foreman en lui envoyant dans les premiers rounds plus de directs du droit que du gauche. La garde haute, encaissant avec douleur les coups violents du champion et rebondissant contre les cordes, Ali trouve le moyen d’épuiser Foreman et de l’obliger à combattre plus de 5 rounds. À bout de souffle, il tombe au 8e round et se relève 1 seconde trop tard. Ali reprend ainsi son titre dix ans après son premier combat contre Liston40.

      Ce fut sa plus grande victoire tactique, qui fut récompensée comme combat de l’année, et Ali fut nommé une fois de plus « boxeur de l’année ». Il a également reçu la Hickok Belt de 1974 récompensant le meilleur athlète professionnel de l’année, ainsi que le trophée du sportif de l’année du magazine Sports Illustrated"

  • 38.5 / 40/ 41/43 —>le patronat en a rêvé, la gauche l’a fait !

    Nos enfants n’auront pas de boulot ou que du précaire, du black , etc..

    Les anciens, les parents se font virer, les boites ferment, ou font des heures sup à gogo, travaillent 6 jours sur 7.

    Il y a de moins en moins de fonctionnaires et le public se privatise à vitesse grand V.

    Voilà l’avenir ? On nous prend pour quoi ?

    le gouvernement prépare des guerres à l’autre bout du monde, mais au nom de quoi ? avec quel argent ?

    La France pays des millionnaires, de la fraude fiscale, des politiciens et patrons qui payent 0 euros d’impots.

    La police tape sur les licenciés, les immigrés, et les syndicalistes.

    La gauche s’en prend aux travailleurs qu’ils soient ouvriers ou cadres. Avec ou sans papiers !

    Le FN et la gauche sont la main dans la main—> ce sont les mêmes brigands qui nous raconte que demain on rase gratis, qu’on peut sortir de la crise, que c’est la faute aux étrangers, à la mondialisation patati patata, et au final :

    ce sont toujours les mêmes qui payent !

    Les syndicats signent les yeux fermés et la CGT en 2010 nous avait dit d’attendre ...la gauche.

    L’extrème gauche continue à défiler derrière ces faux cul de la CGT, qui trinquent a l’Elysée et à Matignon avec le MEDEF.
    La CFDT est carrément au gourvernement.
    Tous visent des postes et veulent négocier ...quoi ? qu’on travaille jusqu’à ce que mort s’en suive ! ou qu’on vive dans la misère.

    Organisons nous , mais pas derrière des perdants, ni syndicats, ni extrème gauche ou droite.

  • A bas la politique du gouvernement Hollande et supplétifs qui, de l’Afrique au Proche Orient et à la France, mènent la guerre du Capital contre le Travail !

    Le changement c’est maintenant ! avait promis F. Hollande avant son élection. Le seul changement et le seul retour à la croissance qu’on a observé sont dans le discours et l’intensité du ton anti-ouvrier, anti-pauvre de la gauche gouvernementale PS-Ecologistes. Et il s’intensifiera avec l’enlisement dans la crise.

    Travaillez plus longtemps pour gagner moins ! Ce gouvernement, comme le précédent, s’appuie sur la soi-disant fatalité des chiffres pour justifier le blocage, voire la baisse des salaires, allocations, pensions qui toucheront chaque travailleur individuellement. C ela ne résorbera bien sûr absolument aucun des déficits organisés. Nous ne résoudrons donc aucun problème en les acceptant au nom du « on n’a pas le choix ». Cela n’a qu’un objectif politique : gagner du temps, affaiblir économiquement chaque travailleur, pour affaiblir politiquement la classe ouvrière dans son ensemble.

    Non au report de l’âge de la retraite au-delà de 62 ans ou à la baisse des retraites complémentaires !

    Non à la baisse des allocations chômage, familiales ! C’est l’augmentation des salaires, la baisse des bénéfices du Capital qui combleraient les déficits !

    Subissez plus de précarité pour être plus facilement licenciés ! C’est le fond de l’accord ANI signés le 11 janvier entre syndicats et patronat puis transcrit dans la loi. La précarité on la connaissait déjà, mais la contrepartie, bien sûr on ne la verra pas. Car le problème dans la crise n’est pas le travail, c’est le capital qui ne veut plus s’investir. Ces accords ont eux aussi un but politique : créer la peur du lendemain, faciliter les licenciements au goutte-à-goutte, procédés vieux comme le capitalisme pour affaiblir la capacité de défense collective des travailleurs.

    Non à la dégradation des statuts dans le public et des contrats de travail dans le privé, qui ne défend pas l’emploi ! Non à l’insécurité au travail !

    Payez plus d’impôts pour moins de service public ! A côté des baisses de revenus, de la hausse de l’insécurité qui sont programmées, les plans de démantèlement des services publics se poursuivent. Ce sont les salaires, les statuts des personnels, le niveau des services rendus au public qui sont dégradés. Derrière toutes ces « restructurations » il y a des cadeaux aux patrons du BTP. Des bâtiments flambants neufs, des gares, des hôpitaux, des routes, des voies ferrées sont construites ou rénovés. Aide au capital, attaque contre le travail avec pour conséquences : manque de personnel, transports surchargés, calvaire quotidien pour les banlieusards ; réseau routier sous-équipé qui a obligé le gouvernement à déguiser en quasi « catastrophe naturelle » une banale chute de neige en hiver.

    Non à la casse des services publics et à leur privatisation rampante ! Non à l’aide publique massive aux grands patrons du BTP, aux dépens des personnels et des usagers !

    Engagez-vous ! claironnent les sergents-recruteurs du gouvernement dans des campagnes publicitaires, en direction de la jeunesse ouvrière au chômage : « Pour faire voler nos avions, il faut toute une armée, l’armée de l’air recrute » Même des militaires ont compris que sans un personnel nombreux aucun avion de Dassault ne peut fonctionner ! La France est encore en guerre au Mali,au Nigéria et la soi-disant victoire n’a rien apporté. On ne nous montre d’ailleurs aucune image, encore moins que pendant la guerre d’Algérie.

    Un pape proche des pauvres mais surtout ami des dictateurs, un Hessel travaillant avec Mitterrand en 1954 au service de « l’Algérie Française », des soldats de l’ex-armée coloniale « civilisant » l’Afrique, des banquiers rackettant les chypriotes, c’est l’idéal offert à la jeunesse au chômage ! C’est la guerre contre les pauvres, la guerre entre les pauvres, que l’armée et les banques de la France coloniale, impérialiste, appuyée par des gauches gouvernementales, organise depuis 200 ans, de l’Indochine à l’Algérie, du Rwanda à la Syrie. Rien d’autre !

    A Chypre, dont des banques sont au bord de la faillite, les ministres des finances de la zone euro somment leurs collègues de trouver des milliards pour les renflouer, sur le dos de la population, par une ponction directe. Ce racket organisé par les Etats au profit des banques sera un coup direct contre les classes modeste à Chypre, mais c’est aussi un coup indirect contre les travailleurs d’ici. C’est en notre nom, soi-disant dans notre intérêt, comptant sur notre soutien ou notre indifférence que ce racket est organisé.

    Indignons-nous donc haut et fort :

    Non à l’aide aux banques ! Non à la guerre aux peuples, par l’impôt en Europe ou par les armes en Afrique ! Pas un homme, pas un euro pour les sales guerres du capital sur toute la planète ! Oui à la guerre de classe contre le capital !

  • Le Medef, la CGPME et l’UPA souhaitent une décote définitive sur les pensions pour les départs avant 67 ans, des réversions plus tardives et la fin de la caisse des cadres.

    Le patronat a bouclé de nouvelles propositions sur les régimes de retraite complémentaire Agirc-Arrco avant la séance de négociation prévue mercredi : décote définitive sur les pensions pour les départs avant 67 ans, réversions plus tardives et fin de la caisse des cadres. Révélée vendredi par « L’Opinion », cette liste de mesures drastiques pour renflouer les caisses de l’Agirc-Arrco formulées par le Medef, la CGPME et l’UPA devrait être transmise dans la journée aux syndicats.

    Les partenaires sociaux ont jusqu’à fin juin pour trouver un accord. L’Agirc (caisse des cadres) et l’Arrco (celle de tous les salariés du privé) sont en graves difficultés financières.

  • Le patronat propose un régime sec pour enrayer le déficit des retraites complémentaires. Quelles en seraient les conséquences ?

    Pas question pour le patronat de taxer les entreprises pour combler le déficit des retraites complémentaires. Le Medef, la CGPME et l’UPA, les trois principales formations patronales, viennent de boucler un ensemble de propositions de réforme pour l’Arrco (qui gère toutes les retraites complémentaires du privé) et l’Agirc (qui gère celles des cadres du privé). Un traitement de choc qui, s’il était repris par le législateur, raboterait radicalement les retraites des salariés du privé.

    Arrco et Agirc, deux grands malades. Lorsque vous êtes salarié du privé, votre patron et vous-même reversez une part de votre salaire en guise de cotisation pour votre retraite. Une grande partie de ces cotisations est reversée à la Sécurité sociale, qui gère le régime général des retraites. Une autre est versée à l’Arrco, qui gère les retraites complémentaires, voire à l’Agirc, si vous êtes cadre. Pour un salarié gagnant environ 1.600 euros par mois par exemple, la Sécu percevra 6,65% du salaire, l’Arrco 3%. Mais face à l’afflux de retraités et la hausse du chômage, les finances de l’Agirc et l’Arrco diminuent comme peau de chagrin. Si rien n’est fait, leurs réserves seront épuisées à l’horizon 2018 pour l’Agirc et 2027 pour l’Arrco.

    Pas de taux plein avant 67 ans ? L’objectif du patronat est donc clair : décaler l’âge de départ à la retraite pour faire des économies. Le Medef et ses deux alliés proposent ainsi une batterie de mesures douloureuses pour les retraités et futurs retraités, pour un montant total d’économies évalué à 8,3 milliards d’ici à 2020, 12,1 milliards d’ici à 2030 et 17 milliard d’ici à 2040.

    La mesure la plus douloureuse consiste à reculer à 67 ans l’âge auquel les futurs retraités (à partir de la génération née en 1957) pourront toucher une retraite complémentaire à taux plein, contre 62 ans aujourd’hui et 60 ans pour ceux ayant commencé à travailler tôt. Si vous souhaitez partir à la retraite avant, votre retraite complémentaire subirait alors une décote : de 40% pour un départ à 62 ans, puis de 30% à 63 ans, 18% à 64 ans, de 2% à 65 ans et de 1% à 66 ans.

    Prenons un exemple. Imaginons que vous souhaitez partir à la retraite à 62 ans, et non à 67. Vous avez cotisé 42 anuités, et vous pouvez donc prétendre à une retraite du régime général (celle versée par la sécu) à taux plein. Avec la réglementation actuelle, devez toucher 2.000 euros de pensions du régime général, et 1.000 euros de retraites complémentaires, soit 3.000 euros au total. Si la réforme du Medef entrait en vigueur, et si vous voulez toujours partir à 62 ans, vous ne toucheriez plus que 40% des 1.000 euros de la retraite complémentaire. Votre retraite totale s’élèverait alors à 2.400 euros, contre 3.000 euros aujourd’hui.

    Les veufs mis à contribution ? Les autres mesures demandent aussi de lourds efforts aux futurs pensionnaires. Aujourd’hui, les retraites complémentaires sont par exemple revalorisées en fonction de l’inflation. Le patronat propose de garder le chiffre du montant de l’inflation… et d’y soustraire 1,5 point, afin qu’elles augmentent moins vite. Autre piste : le relèvement de 55 ans à 60 ans de l’âge minimum pour toucher une pension de réversion, la part de la pension d’un défunt versé à sa veuve ou son veuf. Le taux de cette pension serait également abaissé.

    Les négociations s’annoncent serrées. Patronat et syndicats ont jusqu’à fin juin pour se mettre d’accord. Les négociations s’annoncent serrées et il y a peu de chance que l’intégralité des mesures du patronat soient reprises dans leur intégralité. Mais en plaçant la barre haute, le Medef et ses alliés comptent obtenir des avancées réelles. Et donc des efforts côtés salariés. "On savait que la négociation ne serait pas simple, elle se complexifie", juge ainsi Philippe Pihet de FO, estimant que le ton du Medef s’est "durci". "On est d’accord sur une partie des solutions, mais les efforts demandés sont excessifs", a pour sa part commenté Jean-Louis Malys (CFDT), qui enchaîne : "on a l’impression que le patronat veut le beurre et l’argent du beurre".

    Les syndicats savent ce que veut le patronat et ce que veut le gouvernement mais ils font quand même semblant de négocier !!!

  • Ils négocient sur l’avenir des retraites. Qui ? Patronat, syndicats et gouvernement ! Et ils sont d’accord sur l’objectif : économiser 6,9 milliards d’euros d’ici 2020 ! Le but commun de ces gens est de « ramener les régimes à l’équilibre »…. Equilibre financier des caisses qui ne veut pas dire équilibre financier (entre dépenses et rentrées) pour les retraités !!!

  • Pour la rentrée, le gouvernement Hollande-Valls programme une nouvelle attaque contre les retraites !!!

    Comme à chaque fois, cela démarre par un "rapport" d’un comité chargé du suivi sur le financement des retraites.

    Comme à chaque fois, on constate que les réformes précédentes n’ont pas fonctionné et que cela ne suffit pas...

    Dans son « avis » annuel, remis lundi 13 juillet à Manuel Valls, le Comité de suivi des retraites (CSR) constate que pour les régimes obligatoires de base et le fonds de solidarité vieillesse (FSV), « le retour à l’équilibre en 2018 ne paraît pas possible », sauf à prendre à des mesures nouvelles - ce qui n’est absolument pas à l’ordre du jour d’ici à la fin du quinquennat de François Hollande. Or, l’an passé, le propos de cette instance laissait entrevoir des lendemains plus rieurs : s’agissant des régimes de base, écrivait le CSR dans son « avis », « la trajectoire de retour à l’équilibre financier d’ici 2020 reste accessible ». Mais à une condition, ajoutait-il prudemment : il faut que les « prévisions macroéconomiques » retenues par l’exécutif se réalisent.

    Tel ne fut pas le cas. Le gouvernement tablait sur une augmentation du PIB de 1,7 % en 2015 et de 2,25 % en 2016 lorsqu’il a envoyé, l’an dernier, à Bruxelles son programme de stabilité 2014-2017. Aujourd’hui, ses ambitions sont plus modestes : respectivement +1 % et +1,5 %. Du coup, le CSR prévoit un déficit pour les régimes obligatoires de base et le FSV de 2,9 milliards d’euros en 2018, « en dégradation par rapport à 2017 ». « Ce solde négatif pourrait augmenter entre 2018 et 2020 », complète-t-il, du fait, notamment, de « l’arrêt des hausses de cotisations d’assurance-vieillesse » et de « la fin progressive du relèvement de l’âge légal » de départ à la retraite.

  • Et ils nous disent maintenant que si rien n’est fait, les réserves de l’Agirc pourraient être intégralement asséchées « dès 2018, voire 2017 », écrit le CSR dans son « avis ». En l’absence d’accord, le déficit de l’Agirc-Arrco pourrait se situer en 2020 dans une fourchette comprise « entre 8,4 milliards et 11,2 milliards d’euros », suivant les hypothèses retenues. C’est un « enjeu financier clef », martèle le CSR « qui insiste sur la nécessité d’améliorer les soldes [des régimes complémentaires] de manière suffisante dès le court terme » et de conclure un accord « avant la fin de l’année 2015 ».

    L’ensemble du système de retraites ne reviendra pas à l’équilibre avant le milieu des années 2020, explique le CSR, qui reprend les conclusions du rapport annuel du Conseil d’orientation des retraites (COR), publié le 11 juin. Et encore : il s’agit là des scénarios les plus optimistes (avec un taux de chômage de 4,5 % et un accroissement de la productivité du travail oscillant entre 1,8 % et 2 % par an). « Avec des hypothèses de croissance plus faibles (moins de 1,5 % pour la productivité), l’équilibre ne serait pas atteint sans mesure complémentaire », souligne le CSR.

  • La situation des retraités s’aggrave...

    Il y a le nouvel accord des retraites complémentaires signé par certains syndicats...

    Il y a la situation inadmissible des nouveaux retraités. De jeunes retraités attendent des mois avant de toucher leur première pension, leurs courriers restent sans réponse et leur dossier sont perdus par des caisses de retraites débordées.

    Il y a de plus en plus de retraités qui ne touchent pas leur retraite et dont le niveau de vie s’effondre...

  • Les retraités, souvent en dessous de 1.000 euros, ont eu la mauvaise surprise, en découvrant leur avis d’imposition, de constater qu’ils devraient désormais s’acquitter de la taxe foncière, dont ils étaient exonérés jusqu’à présent. Les montants réclamés "peuvent aller de 500 euros à 1.000 euros".

  • La CARSAT (ex-Caisse régionale d’assurance maladie) Nord-Picardie accuse un retard dans le traitement des dossiers de ses nouveaux retraités. Résultat : les mensualités de 3000 personnes sont en attente.
    La Carsat du Nord-Picardie a été contrainte de faire appel aux autres caisses pour la seconder et de prendre des mesures d’urgence : pré-versement des pensions sans que leur dossier ait été préalablement traité, octroi d’une aide d’urgence aux plus démunis, accueil seulement sur rendez-vous... Et cela va durer.

  • Dans les années à venir, il y a une forte probabilité que le montant des pensions s’oriente à la baisse. En fait, cette diminution est même déjà enclenchée, de façon insidieuse, avec des mesures comme la sous-indexation des retraites par rapport à l’inflation. Pour les générations à venir, ce mouvement se conjugue avec d’autres dispositifs, comme la réforme des retraites complémentaires, qui vont aboutir à pénaliser ceux qui ne souhaiteront pas travailler plus longtemps.

    Sur un temps long, deux phénomènes vont accentuer cette tendance. Le premier, c’est le constat de plus en plus largement partagé que notre système est injuste. Ainsi, une infirmière du privé doit travailler jusqu’à 62 ans, celle du public peut prendre sa retraite à 57 ans. La résorption de ces écarts embarrassants passe par une harmonisation des règles sur la durée de cotisation ou le calcul des pensions.

    La seconde raison, la plus profonde, c’est le déséquilibre du système malgré les nombreuses réformes conduites depuis 1993. Le déficit annuel prévisible sera encore autour de 5 milliards d’euros en 2020, le double en 2025 Pour en sortir, il n’y a que trois leviers : le taux de cotisation, la durée de cotisation et le montant des pensions. On le sait, le taux de cotisation a beaucoup grimpé au fil des décennies. Le choix des gouvernants qui reste est donc entre une augmentation du nombre d’annuités ou une réduction des pensions.

  • Pour l’OCDE, il faut aligner les régimes de retraite public et privé. Aligner ne veut pas dire vers le haut !!! Il s’agit bien sûr d’affirmer que les fonctionnaires seraient des privilégiés !

  • Macron veut remplacer les retraites par une épargne retraite. Inutile de demander comment seraient payés les actuels retraités !!!

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