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Que signifie le nombre d’Avogadro et pourquoi cela été un argument majeur en faveur de l’atomisme ou discontinuité de la matière

mardi 29 janvier 2019, par Robert Paris

Que signifie le nombre d’Avogadro et pourquoi cela été un argument majeur en faveur de l’atomisme ou discontinuité de la matière

Le nombre d’Avogadro n’indique pas seulement une manière de mesurer la quantité de matière mais il affirme l’existence d’entités discontinues qui fondent toute matière, quel que soit le type d’atomes et de molécules concernés et sont une affirmation d’une propriété universelle de la matière puisque c’est le même nombre qui caractérise les divers atomes et molécules. C’était donc une affirmation très osée à une époque où l’existence des molécules était peu admise en chimie et encore moins en physique…

Le nombre d’Avogadro indique la grande quantité de molécules dans un volume donné et la dimension et la petitesse l’occupation d’espace d’une molécule.

Bernard Diu dans « Les atomes existent-ils » :

« Le célèbre nombre d’Avogadro N vaut environ six fois dix puissance 23, c’est-à-dire un six suivi de 23 zéros ! Ce nombre est celui des molécules qui contiennent une certaine quantité macroscopique d’un corps pur quelconque : par exemple, c’est le nombre de molécules qui occupent dix-huit grammes d’eau. Pour ce qui nous occupe ici, il suffira de savoir qu’un échantillon macroscopique d’un corps englobe un nombre fabuleux de molécules. Précisons ce point, qui va s’avérer capital. Dans une pièce ordinaire d’un appartement ordinaire, chaque millimètre cube d’air renferme trois fois dix puissance seize molécules (soit un nombre constitué d’un chiffre trois suivi de seize zéros)… Imaginons que nous voulions repérer dans l’espace toutes ces molécules par leur position et leur vitesse (avec trois coordonnées chacune), il faudrait connaître deux suivi de dix-sept zéros nombres. C’est totalement exclu. Songez qu’un ordinateur qui écrivait quarante nombres par ligne et une ligne par centimètre devrait utiliser cinquante milliards de kilomètres de papier pour répertorier un seul état instantané ! »

Le nombre d’Avogadro donne un ordre de grandeur de la molécule.

Bernard Diu, dans « Traité de Physique » :

« Les dimensions d’un atome sont de l’ordre d’un angström soit dix puissance moins dix-sept mètres. C’est déjà fort petit… Dix-huit grammes d’eau comprennent 6 fois dix puissance vingt-trois (nombre d’Avogadro) molécules et leur volume est dix-huit centimètres-cube (la masse volumique de l’eau est très voisine d’un gramme par centimètre-cube). Une division toute simple accorde à chaque molécule en moyenne un espace de 3 fois dix puissance moins vingt-trois centimètres-cube. »

Le nombre d’Avogadro est NA = 6,02214129 fois 10 puissance 23 molécules pour une mole, soit 602.214.129.000.000.000.000.000 molécules pour une seule mole, soit plus de six cent mille milliards de milliards de molécules !!!

Cela signifie que, quel que soit le corps pur considéré, dans un gaz il y a toujours le même nombre de molécules dans une quantité donnée de matière et on prend pour unité de matière « une mole ».

Une mole contient donc toujours le nombre d’Avogadro en nombre d’atomes mais pèse bien sûr différemment suivant les types de molécules.

Qu’est-ce qu’une mole ?

Plutôt que « mole », on trouvera aussi dans le texte l’ancien terme des chimistes de « molécule-gramme » pour désigner la masse moléculaire (ou masse molaire). Le nom de « mole » date de 1897.

Notons aussi que la définition du nombre d’Avogadro comme étant le nombre d’atomes dans 12 grammes de Carbone 12, cet atome état choisi désormais par convention, ne date que de 1971. Mais, dans la définition du principe d’Avogadro, la remarque d’Avogadro n’implique aucune particularité du Carbone 12 et s’applique à tous les « gaz parfaits »

L’hypothèse avancée par Amedeo Avogadro en 1811, affirmait que, « Deux gaz dans les mêmes conditions de température et de pression contiennent sous le même volume le même nombre de molécules ».

Avogadro écrit en 1811 :

« L’hypothèse qui se présente la première à cet égard, et qui paraît même la seule admissible, est de supposer que le nombre de molécules intégrantes dans les gaz est toujours le même à volume égal ou est toujours proportionnel aux volumes. »

MM. Doucet commentent :

« Si maintenant on envisage le volume molaire qui, dans le système des chimistes actuellement en usage est celui de 32 g d’oxygène dans les conditions normales, c’est-à-dire 22414 cm², on arrive à une définition simple du nombre d’Avogadro : c’est le nombre de molécules contenues dans le volume molaire d’un gaz parfait.
Cette définition s’applique aux corps composés gazeux.
Si l’on admet que le nombre de molécules ne change pas par liquéfaction puis solidification, on peut dire d’une façon générale : le nombre d’Avagadro NA est le nombre de molécules contenues dans la masse molaire d’un corps quelconque. Nous écrirons : 1 Mole = NA molécules. »

source

Friedrich-Albert Lange, dans « Histoire du matérialisme, et critique de son importance à notre époque » :

« Avogadro trouva (1811) que l’on ne pouvait s’expliquer l’uniformité avec laquelle tous les gaz se comportaient sous la même pression, à la même température et dans les combinaisons chimiques, qu’en admettant que le nombre des plus petites parties, dans un volume égal de gaz divers, était le même, à température et pression égales. Mais pour rendre cette hypothèse incontestable, il dut non-seulement admettre pour des gaz combinés une réunion de plusieurs atomes dans les plus petites portions de la masse, mais encore regarder, du moins en partie, les portions infiniment petites des gaz comme des groupes de plusieurs atomes. De la sorte, les molécules remplacèrent les atomes sous plusieurs rapports ; seulement elles n’étaient pas simples, mais composées d’atomes. Les plus petites portions d’un corps déterminé chimiquement étaient appelées molécules, tandis qu’on donnait le nom d’atomes aux plus petites parcelles de la matière en général. Ce n’est que dans des combinaisons et décompositions chimiques que les atomes se montrent pour ainsi dire individuellement ; ils changent de place et se groupent en molécules de compositions différentes. »

source

Dans une lettre du 30 avril 1814 à Berthollet, Ampère émet, sans le savoir, à peu près la même hypothèse qu’Avogadro :

« Lorsqu’un corps solide devient gazeux, les molécules qui constituent le gaz ne sont plus en interaction, à température constante, leur nombre est proportionnel au volume du gaz. »

En fait, les scientifiques sont encore divisés : la matière est-elle vraiment discontinue et composée de molécules, ils n’en sont pas sûrs du tout…

La loi d’Avogadro est la plus ancienne de ces lois physico-chimiques qui reposent sur l’hypothèse explicite que les molécules sont des choses réelles. Le retard avec lequel cette loi a été acceptée par les chimistes indique clairement leur résistance généralisée à l’idée de réalité moléculaire.

Le nombre N d’Avogadro est le nombre des molécules contenues dans une molécule-gramme d’un corps pur quelconque.

Qu’est-ce qu’une « molécule-gramme » ? Cela dépend du nombre d’atomes contenus dans la valeur en grammes du « nombre de masse » d’un corps simple. Le nombre de masse de l’hydrogène est un, celui de l’oxygène est six. Une molécule-gramme d’hydrogène, c’est deux grammes puisque la molécule contient deux atomes. Une molécule-gramme d’oxygène est 32 puisque le nombre de masse est 16 et qu’il y a deux atomes d’oxygène. Ainsi de suite, la vapeur d’eau correspond à 18 molécules-grammes.

Résultat : quelque soit la nature du gaz, une molécule-gramme de n’importe quel gaz dans les mêmes conditions de température et de pression occupe toujours le même volume.

Cette idée fut admise par les scientifiques lors du sommet de Karlsruhe de 1860.

Dmitri Ivanovitch Mendeleev, trente ans plus tard, que « La loi d’Avogadro a reçu par le biais du congrès un développement plus large, et bientôt après a conquis tous les esprits. »

En 1869, voici comment cette découverte était rapportée :

« Un chimiste italien, Amedeo Avogadro, ne tarda point à formuler la conception générale qui embrasse à la fois la loi de Dalton et celle de Gay-Lussac. Ses vues sont exposées dans un mémoire qu’il publia en 1811. L’idée synthétique d’Avogadro consiste à regarder tous les gaz simples comme renfermant le même nombre d’atomes sous le même volume ; dans les composés, les atomes s’unissent quelquefois deux à deux, et dans ce cas la combinaison a lieu par volumes égaux ; quelquefois ce sont deux ou trois atomes de l’un des composants qui se portent sur un seul atome de l’autre, et cette circonstance détermine le rapport des volumes : ainsi une relation étroite se trouvait établie entre la densité et le poids atomique des gaz.
La théorie d’Avogadro eut peu de retentissement, soit qu’il n’eût pas comme chimiste un renom suffisant, soit qu’il eût compromis son hypothèse en voulant lui donner prématurément. une trop grande extension et notamment en l’étendant aux corps solides. Elle fut reprise en 1814 par Ampère, et elle obtint sous ce nouveau patronage un peu plus de succès sans arriver cependant tout de suite à un assentiment universel ; de graves difficultés qu’elle laissait subsister ou qu’elle tranchait trop facilement devaient pendant longtemps encore contribuer à l’obscurcir. »

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Paul Langevin écrivait en 1904 :

« Cette hypothèse d’Avogadro et d’Ampère tellement singulière qu’on évite aujourd’hui bien souvent d’en parler malgré son importance essentielle… »

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En 1908, c’est Jean Perrin qui devait découvrir la valeur précise du nombre d’Avogadro :

« J’ai, en effet, obtenu, pour le « Nombre d’Avogadro » N, suivant les émulsions, des valeurs qui se placent entre 65.1022 et 72.1022. Mes mesures les plus sûres donnent 68.1022. Pour l’émulsion correspondante, l’élévation qui doublait la raréfaction était d’environ 6 microns, soit 1 milliard de fois plus faible que celle (6 kilomètres) qui double la raréfaction dans l’air à 0°.
Pour comprendre à quel point est significative la concordance avec le nombre 60.1022 obtenu (sans précision) par la théorie cinétique, il faut songer qu’avant l’expérience on n’eût certainement pas osé affirmer que la chute de concentration ne serait pas négligeable sur la faible hauteur de quelques microns, ce qui eût donné pour N une valeur beaucoup plus petite, et que par contre on n’eût pas davantage osé affirmer que les grains ne se ressembleraient pas tous au voisinage immédiat du fond, ce qui eût indiqué pour N une valeur beaucoup plus grande.
En ce qui regarde la précision de cette détermination de N, ce sera celle des expériences ; aujourd’hui de quelques centièmes, elle atteindra le millième quand on le voudra. Il n’en est pas de même pour la valeur que tire actuellement de la viscosité des gaz la théorie cinétique ; ici le perfectionnement des mesures ne diminuera pas l’incertitude qui tient aux hypothèses simplificatrices introduites pour faciliter les calculs. »

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Perrin utilisait pour faire sa mesure l’article d’Einstein sur le mouvement brownien, lui-même déjà une manifestation du mouvement des molécules. Dans sa thèse doctorale d’avril 1905, Einstein se proposait déjà de déterminer les dimensions des molécules et le nombre d’Avogadro à partir des propriétés de viscosité et de diffusion de l’eau sucrée. Puis le 11 mai 1905, Einstein publiait dans Annalen der Physik un article visant donner une interprétation stochastique de la diffusion des particules en suspension et d’en déduire une manière d’atteindre la connaissance du nombre d’Avogadro.

Voici un exposé de la démarche d’Einstein

Jacobus Henricus van ’t Hoff dans « La Chimie physique et ses applications » :

« La loi d’Avogadro exprime que si dans un volume égal, on introduit une quantité d’un autre gaz, telle qu’à la même température elle exerce la même pression, les deux volumes contiendront le même nombre de molécules. »

Jean Perrin dans « Mouvement brownien et grandeurs moléculaires » :

« En résumé, la théorie moléculaire cinétique du mouvement brownien se vérifie de façon rigoureuse et conduit ; soit par l’étude de la distribution des grains, soit par l’étude de leur agitation, à la même valeur précise de la constante d’Avogadro, invariant essentiel de la structure de la matière. »

source

Jean Perrin dans « Mouvement brownien et réalité moléculaire » :

« Les atomes. La constante d’Avogadro. - Dès lors, comme on sait, on est conduit à admettre l’existence d’atomes par diverses considérations de Chimie et particulièrement par l’étude des substitutions. Quand par exemple on dissout du calcium dans l’eau, on chasse seulement la moitié de l’hydrogène qu’elle contient. L’hydrogène de cette eau, et, par suite, l’hydrogène de chaque molécule, se compose donc de deux parties distinctes. Aucune expérience ne conduisant à en distinguer davantage, il est raisonnable de penser que ces deux parties sont insécables par tous les moyens chimiques, ou, d’un mot, que ce sont des atomes. D’autre part, toute masse d’eau, et par suite toute molécule d’eau, pèse 9 fois autant que l’hydrogène qu’elle contient ; la molécule d’eau, qui contient 2 atomes d’hydrogène, pèse donc 18 fois plus que l’atome d’hydrogène. De semblable manière, on établirait, par exemple, que la molécule de méthane pèse 16 fois plus que ce même atome d’hydrogène. On peut atteindre ainsi, par voie purement chimique, en passant par la notion d’atome, le rapport 16/18 du poids de la molécule de méthane au poids de la molécule d’eau. Or, on arrive précisément à ce même rapport si l’on compare les masses de méthane et de vapeur d’eau qui occupent le même volume à l’état gazeux dans les mêmes conditions de température et de pression. Il faut donc que ces deux masses, qui ont même rapport que les molécules des deux sortes, contiennent l’une et l’autre autant de molécules. Ce résultat se généralise pour les divers gaz, en sorte que nous retrouvons, de façon expérimentale, la proposition célèbre énoncée sous forme d’hypothèse par Avogadro, il y a environ un siècle, et reprise un peu plus tard par Ampère : « Deux gaz quelconques, pris aux mêmes conditions de température et de pression, contiennent sous le même volume le même nombre de molécules. » Il est devenu habituel d’appeler molécule-gramme d’un corps la masse de ce corps qui, à l’état gazeux, occupe le même volume que 2 g d’hydrogène amenés à la même température et à la même pression. L’énoncé d’Avogadro équivaut alors au suivant :
Deux molécules-gramme quelconques contiennent le même nombre de molécules.
Ce nombre invariable N est une constante universelle qu’il semble juste d’appeler constante d’Avogadro. Si l’on connaissait cette constante, ou connaîtrait la masse d’une molécule quelconque ; on connaîtrait même la masse d’un atome quelconque, puisque nous pouvons savoir, par les divers moyens qui conduisent aux formules chimiques, combien il y a d’atomes de chaque sorte dans chaque molécule. Le poids de la molécule d’eau, par exemple, est 18/N, celui de la molécule d’oxygène est 32/N , et ainsi pour chaque molécule. De même, le poids de l’atome d’oxygène, obtenu en divisant par N l’atome-gramme d’oxygène, est 16/N, celui de l’atome d’hydrogène est (1,008)/N, et ainsi pour chaque atome. »

source

Paul Langevin dans « La notion de corpuscule et d’atomes » :

« Nous avons vu que la connaissance du nombre d’Avogadro N permet de calculer les dimensions des atomes, c’est-à-dire de la région occupée à l’intérieur de ceux-ci par les électrons ; on trouve ainsi pour les atomes supposés sphériques des rayons de l’ordre de 10 puissance moins 8 cm, et ce résultat est confirmé par diverses évaluations concordantes, en particulier par celles que fournit la diffraction des rayons de Röntgen dans les cristaux. L’extrême rareté des chocs exceptionnels capables de dévier notablement les particules alpha montre que la région où se trouve la plus grande partie de la masse de l’atome doit être beaucoup plus petite que l’atome lui-même. Du fait que les chocs exceptionnels sont cent millions de fois moins fréquents que les chocs ionisants, on déduit, en prenant la racine carrée de ce rapport pour tenir compte de ce que la section traversée est proportionnelle au carré du rayon, que le rayon de la région où se trouve concentrée la masse de l’atome est 10.000 fois plus petit que le rayon de l’atome lui-même, c’est-à-dire que les dimensions de ce noyau de l’atome sont de l’ordre de 10 puissance moins douze cm. »

Messages

  • Bonjour.

    ___Ce nombre d’Avogadro semble énorme pour définir un petit volume ou encore une masse. Mais cette constante n’est valable que dans notre référentiel qui est notre contexte dans cet environnement plus ou moins du système solaire. Plus on s’éloigne de ce système solaire, plus on s’éloigne de notre galaxie, plus on s’éloigne des galaxies, et plus ce nombre devrait être plus grand. Et son contraire est celui plus on se rapproche de masses très importantes comme celles des trous noirs, et plus ce nombre diminue, ou c’est l’inverse...à vous de choisir. Ce qui est sûr, pour ma part, est que cette constante du nombre d’Avogadro n’est valable que dans notre contexte de système solaire et proche de ce soleil, et ailleurs suivant les masses importantes ou son contraire, cette constante devrait varier. C’est exactement comme la gravitation, car toutes les constantes sont plus ou moins liées entre elles. Et pour le dire différemment nos constantes ne sont valables que fonction de notre environnement restreint.

    ___J’ai fait une réflexion du même ordre dans [10- Les bulles de vide et la matière] au [29 janvier 07:23], disant que les constantes sont de fausses constantes, car elles dépendent du référentiel où nous les constatons. Comme nous pouvons difficilement sortir de notre système solaire, difficile alors de tester ce concept, mais on peut toujours trouver des constats sur l’infiniment grand pour renforcer ce concept de constantes variables, ainsi le temps comme la gravitation dépendent déjà des masses qui déforment l’Éther et pour la quantique le vide de l’espace. Le nombre d’Avogadro est aussi en rapport avec le contenu de l’espace que l’on appelle vide, car ce nombre n’est pas une constante indépendante, mais dépend aussi de cet Éther qui peut être considéré comme une pression, et plus la pression est forte et plus le nombre d’Avogadro grandit et inversement plus cette pression est moindre, et moins le nombre est grand. Il y a donc une relation entre le vide du contenu de l’espace et la quantité de molécules ou d’atomes pour définir ce nombre.

    ●●[Nous avons vu que la connaissance du nombre d’Avogadro N permet de calculer les dimensions des atomes, c’est-à-dire de la région occupée à l’intérieur de ceux-ci par les électrons ; on trouve ainsi pour les atomes supposés sphériques des rayons de l’ordre de 10 puissance moins 8 cm,]

    ___Comme ce nombre d’Avogadro change suivant les référentiels, cela veut dire aussi que les dimensions de l’atome changent également, ce qui paraît très surprenant, et qui est forcément une vérité. Donc les rayons moyens de l’atome, qui sont aussi des constantes, varient comme ce nombre d’Avogadro, comme le temps, comme plein de constantes... Pour le redire encore, nos constantes ne sont valables que dans notre environnement, et ne sont pas des constantes universelles comme il est dit, car déjà nous avons du mal à comprendre ce qu’est la vraie étendue de notre monde, alors parler d’univers qui est l’ensemble de toutes les étendues que l’on peut appeler mondes. Donc pour reprendre cette notion de dimension, et bien même les électrons changent de dimensions suivant les référentiels où ils se trouvent.

    ●●[Du fait que les chocs exceptionnels sont cent millions de fois moins fréquents que les chocs ionisants, on déduit, en prenant la racine carrée de ce rapport pour tenir compte de ce que la section traversée est proportionnelle au carré du rayon, que le rayon de la région où se trouve concentrée la masse de l’atome est 10.000 fois plus petit que le rayon de l’atome lui-même, c’est-à-dire que les dimensions de ce noyau de l’atome sont de l’ordre de 10 puissance moins douze cm.]

    ___Et bien ces rapports sont ceux de notre contexte qui est notre référentiel, mais ces rapports sont totalement différents dans des contextes extrêmes, car c’est comme le temps qui peut aller plus vite que notre contexte en se rétrécissant, mais surtout comme peut aller au ralenti, voir même s’arrêter complètement !!!

    ___Alors mon cher Paris est-ce que ce concept est assez délirant pour enfin être valable, comme vous le dites ?? Est-ce que les délires sont valables pour justifier des concepts ??

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE Bonjour.

    ___Ce n’est pas des visions différentes suivant les échelles qu’il faille voir, mais bien une structuration différente des éléments de l’atome suivant les référentiels, qui est en gros est une sorte d’homothétie sans que cela soit réellement cela, car on ne connaît pas comment est l’atome assez proche d’un trou noir, où pour l’opposé comment est l’atome dans ces bulles de vide sans matière, où normalement aucune matière n’existe. Ce qui est important de comprendre c’est que nos constantes ne sont que celles de notre environnement et si on change de référentiel et non forcément d’échelle, et ayant des particularités différentes par rapport à notre contexte, et bien les constantes n’ont plus les même valeurs. Donc de parler de constantes universelles est assez rigolo, car l’univers possède des tas de constantes qui sont variables suivant les environnements, mais que ces constantes ont un lien entre elles, et que si une constante change un peu, et bien les autres changent aussi automatiquement, et ce sans pourvoir les affiner, car elles dépendent d’un ensemble, et on ne peut pas faire varier l’une plus qu’une autre. Je ne dis pas par contre que toutes les constantes recensées sont dépendantes des autres, car je n’ai pas analysé ce qu’était ces constantes, mais que je suppose qu’une grande parties des constantes sont liées entre elles, même si on ne voit pas directement les liens. On sait aujourd’hui que le temps s’écoule différemment suivant des environnements de vitesse ou de masses, et que cela a été vérifié expérimentalement. Cela est même une preuve que la structure de l’atome change, car les horloges sont fabriquées de la même façon et calibrées de la même façon, et pourtant, suivant les expériences les horloges allant à de grandes vitesses par rapport au horloges dites fixes sur terre, différent bien en temps, et ce temps est aussi et forcément une déformation de l’atome, car il n’y a aucun mystère, car la cadence du temps pour les atomes comme celles des particules virtuelles changent de cadencement. Et donc que le temps que nous ne comprenons pas, change de cadence, mais cela n’est pas que le temps, mais les éléments formant l’atome comme protons, neutrons, électron... et où les dimensions diffèrent forcément cr le temps accroché aux objets, mais ce sont les objets qui changent par leur mouvement ralenti dans le cas de grandes vitesses et proches d’objets massifs.

    __Au niveau des échelles, on ne peut pas aller scruter les atomes dans les galaxies les plus lointaines, car ce que l’on voit de es des objets ne sont que des photons émis par ces objets formés d’atomes, mais d’atomes un peu différent des atomes de notre contexte sur terre, et où le temps diffère comme les dimensions de ces atomes sont aussi légèrement différentes car les constantes sont différentes des nôtres. Cette différence de cadence de temps, comme différence de taille des tailles atomes, les physiciens ne veulent rien savoir, car cela démocratiserait la seconde, la vitesse de la lumière et des tas de choses. Donc on fait comme si les constantes sont universelles, mais elles ne le sont pas !!! Remettre en cause les physiques parce que la seconde devient une variable serait impossible comme conception, alors on fait comme si tout est fixe et constant avec de belles constantes. Ceci est aussi vrai pour cette quantique qui élimine temps, vitesse, parcours, trajet car ingérable à cette échelle.

    ___Restez stoïque et indifférent de mes concepts car cela ne gène en rien mes points de vues, dans la mesure où il n’y a pas de démonstration disant que cela ne peut pas fonctionner, et dans ces petits exposés je n’ai pas vraiment abordé à ma petite théorie des extrêmes, mais quelques taches sont portées dans vos articles.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Je ne comprend pas, par ailleurs vous considérations sur le type de vide et le nombre dAvogadro. Il n’y a de nombre d’Avogadro que là où il y a des molécules !!! C’est donc un état bien précis du vide, celui qui entoure la matière.

  • Bonjour.

    ___Voici un Copier/Coller d’un message envoyé le 29 janvier à 15:35 de ce même article, et qui n’a pas été publié, ou alors une fausse manip de ma part, ce qui est encore fort possible. En tous cas je réitère mon envoie, car il manque au dialogue, même si il ne suit plus la chronologie du temps, car on ne peut pas intervenir dans le passé, malgré que certaine personnes disent le contraire, car on peut aller dans le futur d’un passé, qui est en fait son présent comme tous les présents, mais un présent relatif au votre...
    Suite à votre retour du [29 janvier 17:59], je répondrai un peu plus tard...
    Voici le message qui s’est dilué et qui n’est pas arrivé à bon port : :

    RE Bonjour.

    ___Vous êtes dur en affaire Monsieur Paris. Et bien OUI à un certain contexte l’atome n’existe pas, et non à une certaine échelle. Dans le cas proche d’un trou noir ou le contexte est complètement dilaté comme le temps d’ailleurs, et bien l’atome est dilaté à tel point que ne reste que ces éléments de base qui sont pour moi des grains. Ainsi le trou noir n’est pas un tas d’atomes compressés mais des tas de grains compressés ne laissant rien passer. Ce que les trous noirs avalent, qui est une façon de parler, ne sont pas des atomes, mais des décompositions d’atomes, car dans ce contexte qui est un référentiel tout se décompose, et les électrons comme les noyaux d’atome, comme les quarks n’existent simplement plus. Ce qui fait que l’évaporation de ces trous noirs d’après un certain monsieur que vous affectionnez, n’existe simplement pas. Les échelles sont sans rapport avec les référentiels, mais comme cela a l’air de vous plaire, et bien pourquoi pas. Apparemment rien ne vous étonnes même si mes idées sont délirantes, car délires ou pas, et en reprenant votre phrase : : [Cela n’est pas fait pour nous étonner.], et c’’est pourquoi je dis que vous êtes dur en affaire. De voir les galaxies très lointaines n’est pas un problème d’échelle, mais que dans ce passé lointain, les contextes étaient différents du notre, sans pour autant tomber dans des extrêmes de trous noirs. Je dis simplement que les contextes des galaxies lointaines ne sont pas équivalents au contexte de notre présent, et peut importe l’échelle, car on peut voir l’ensemble des étoiles de notre galaxie, comme notre propre galaxie, comme aussi les galaxies proches de la notre, mais plus on va loin et plus on remonte le temps, et donc on s’éloigne de notre présent. Je pense que je ne vous étonnerais jamais, mais cela n’a peu d’importance, car vous avez le savoir, et moi j’ai autre chose que l’on apprend pas, et qui est simplement d’être sur une planète.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Réponse à votre retour du [29 janvier 17:59].

    ___Définition de Wikipédia sur le nombre d’Avogadro : :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_d%27Avogadro
    [En chimie et en physique, le nombre d’Avogadro, (ou mieux la constante d’Avogadro, car elle a une dimension), nommé en l’honneur du physicien et chimiste Amedeo Avogadro, noté NA1, est défini comme le nombre d’entités élémentaires (atomes, molécules, ou ions en général) qui se trouvent dans une mole de matière.
    (...)
    Exposé simplifié
    La masse de l’atome est pratiquement égale à celle du noyau, pour deux raisons :
    les électrons sont moins nombreux que les nucléons (c’est-à-dire les constituants du noyau : protons et neutrons) : dans l’atome neutre il y a bien autant d’électrons que de protons, mais aux protons se rajoutent les neutrons ;surtout, le neutron a presque la même masse que le proton, alors que l’électron est 1 836 fois plus léger.
    On obtient par conséquent une mesure assez précise de la masse de l’atome en multipliant son nombre de nucléons (appelé nombre de masse et noté A) par la masse d’un nucléon, environ 1,67 × 10−24 g. Un gramme de matière contient donc environ six cent mille milliards de milliards de nucléons (11,67 × 10−24 ≈ 6 × 1023) ; ce nombre est proche du nombre d’Avogadro, noté NA.
    Ainsi, la masse de NA molécules est proche de A grammes où A est le nombre de nucléons de la molécule. Par exemple, la molécule d’eau (constituée de deux atomes d’hydrogène H et d’un atome d’oxygène O) comporte 18 nucléons (1 nucléon pour chaque H et 16 nucléons pour l’O, en négligeant les isotopes), donc 18 grammes d’eau contiennent six cent mille milliards de milliards de molécules. L’isotope du fer, le fer 56comporte 26 protons et 30 neutrons, donc 56 grammes de fer 56 contiennent environ six cent mille milliards de milliards d’atomes. En réalité, les différents isotopes naturels des éléments (qui diffèrent par leur nombre de neutrons, le nombre de protons étant caractéristique d’un élément) font que la masse de NA atomes d’un élément X peut être assez différente : par exemple une mole de fer a une masse moyenne d’environ 55,846 g, et non 56 g.
    (...)
    Autres utilisations...
    La constante des gaz parfaits est le produit de la constante de Boltzmann k par le nombre d’Avogadro.
    La constante de Faraday est le produit de la charge élémentaire e par le nombre d’Avogadro.]

    ___Définition de Wikipédia sur l’unité mole : :
    [La mole (symbole : mol1) est une des unités de base du Système international, adoptée en 19712, qui est principalement utilisée en physique et en chimie. La mole est la quantité de matière d’un système contenant exactement 6,022 140 76 × 1023 entités élémentaires. Ce nombre est appelé nombre d’Avogadro (ou constante d’Avogadro), son symbole est NA et sa dimension est l’inverse d’une mole (mol−1).
    Pour donner un ordre de grandeur, le même nombre de grains de pop-corn permettrait de recouvrir la surface des États-Unis d’une couche uniforme d’une épaisseur d’environ 14 km4.
    Les résolutions prises par le BIPM lors de la 26e CGPM en novembre 2018, décrètent qu’à partir du 20 mai 2019 une mole contient exactement 6,022 140 76 × 1023 entités élémentaires. Cette nouvelle définition vient remplacer la définition de la mole en vigueur depuis 1971. Ce nombre, appelé « nombre d’Avogadro », correspondra à la valeur numérique fixée de la constante d’Avogadro, NA, lorsqu’elle est exprimée en mol-15 .]

    ___Ces petits Copier/Coller d’extraits de Wikipédia rejoignent ce que j’ai déjà exprimé, qui est : :
    _Que les constantes sont plus ou moins liées entre elles, et dépendent les unes des autres (dernières phrases du premier extrait).
    _Que ce nombre de 1836 qui est le rapport entre la masse d’un électron et celui d’un neutron, n’est pas une de mes trouvailles, mais à été un constat plus ou moins vrai, car suivant les articles même de ce Wikipédia, les rapports sont quelques fois différents, comme aussi les masses d’ailleurs...mais de dire que le proton et le neutron sont constitués d’électrons et de positrons, là c’est une vraie nouveauté et qui n’est même pas de moi, mais ce qui est de moi est d’avoir trouvé que ce nombre de 1836 est MAGIQUE, permettant des constitutions par paquets autre que 3 quarks... Et d’ailleurs la personne qui a trouvé ou repris cette idée d’électrons et de positons rentrant dans la constitution de proton et neutron était contre les fameux quarks, et c’est en lui donnant comme argument que ce nombre 1836 pouvait être divisé par plusieurs nombre que cette personne en a fait même un article en se rabibochant avec cette notion de quark.
    _Que ce nombre d’Avogadro, s’adresse aussi bien aux molécules que ceux des atomes, même si à l’origine il ne s’adressait qu’aux molécules.

    ___Si on se rapporte à la référence (5) que donne Wikipédia sur la valeur numérique du nombre d’Avogadro (mole) : :
    https://www.bipm.org/utils/common/pdf/CGPM-2018/26th-CGPM-Resolutions.pdf
    Et bien les révisions et mises à jour de cette SI ne sont pas que pour ce nombre, mais aussi pour la mesure de la seconde, qui est réalisé par rapport à notre référentiel sur terre, et ne correspondant pas à la notion d’Einstein de temps physique. On généralise donc une mesure de seconde pour calculer des temps qui sont en dehors de notre environnement terrestre, et cela est assez curieux comme démarche, mais normal, car personne ne comprend que le battement de l’atome est fonction de son environnement et que dans d’autres environnements la fréquence de ce radium 133 comme les autres atomes d’ailleurs, n’ont absolument pas les mêmes fréquences, les mêmes temps, les mêmes distances...

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Egalement entièrement d’accord pour dire « Que les constantes sont plus ou moins liées entre elles, et dépendent les unes des autres ».

    Plusieurs constantes construisent d’ailleurs cette relation avec les autres, comme la constante de structure fine.

    Les constantes fondamentales sont celles du vide quantique !!!

  • Bonjour.

    ___Il est certain que les constantes fondamentales sont celles du vide quantique ou pas quantique d’ailleurs, mais que ce vide quantique peut avoir plusieurs échelles d’interprétation, qui est pour vous des niveaux hiérarchiques. Mais ces constantes fondamentales que l’on dit même universelles, ne sont que celles de notre environnement, de notre contexte, de notre référentiel, et que ces mêmes constantes ont forcément d’autres valeurs, dans d’autres environnements, dans d’autres contextes, dans d’autres référentiels, et donc que les constantes sont donc des variables, car elles ne sont valables que localement et dans des contraintes déterminées, même si ce localement est semble t-il grand. D’aller très vite dans notre propre contexte donne déjà des constantes différentes. Qui dit avoir des constantes différentes dit aussi d’avoir des vides quantiques différents. Ainsi l’homogénéité de ce vide quantique, n’est absolument pas uniforme, car il dépend des masses des objets où sont présent ces objets dans ce vide quantique, et dépend aussi des vitesses de ces mêmes objets... TOUT EST RELATIF même les constantes. Difficile alors d’avoir de vraies physiques, car les constantes peuvent changer et devenir des variables, et rien que cette histoire de temps change tout, mais que ce temps n’est qu’une constante variable parmi d’autres !!! Pour les gens qui ne veulent pas s’évader tout est fixe avec de belles constantes, et pour d’autres la réalité n’est pas une vérité, car cette réalité peut être vu différemment.

    ___Pour le redire plus fermement, il n’y a pas de constantes fondamentales du vide quantique, car le vide lui même peut être différent suivant son contexte. Désolé...

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Les constantes du vide sont :

      c = vitesse de la lumière dans le vide

      h/2 est un quanta du vide

      Perméabilité magnétique du vide μ0 ≡ 4π×10-7 kg•m/A²s² (ou H/m)

      Conductance du vide = 1/119,916 983 2•π S ≈ 2,654 418 729 438 07×10-3 A²s³/kg•m² ≡ 1/μ0c

      Permittivité du vide ε0 = 1/35 950 207 149•π F/m ≈ 8,854 187 817 620 39×10-12 A²s⁴/kg•m³ ≡ 1/μ0c²

      Impédance caractéristique du vide Z0 = 119,916 983 2•π Ω ≈ 376,730 313 461 770 68 kg•m²/A²s³ ≡ μ0c

      Constante magnétique, également nommée perméabilité du vide ou encore perméabilité magnétique du vide = μ0 = 4π × 10−7 kg m A−2 s−2

      Charge électrique élémentaire = e = 1,602 176 fois dix puissance moins dix-neuf C

      Constante de structure fine = alpha = 7,297 352 566 fois dix puissance mois trois qui relie entre eux le quanta, la charge électrique élémentaire, la permittivité et la vitesse de la lumière

  • Bonjour.

    ___Pour le redire une dernière fois ::TOUT EST RELATIF MÊME NOS CONSTANTES.

    ___Dire que nos constantes sont universelles, devient donc un très mauvais qualificatif, car déjà on mélange notre Monde et l’Univers qui peuvent être des notions différentes, et de plus que ces constantes soient fondamentales, et bien elles le sont mais relatives car pour un contexte très précis. Difficile de dire nos VARIABLES FONDAMENTALES ou même encore nos VARIABLES UNIVERSELLES, et pourtant c’est bien ce qui devrait être dit. Pour que ces variables puissent devenir de vraies CONSTANTES UNIVERSELLES ou FONDAMENTALES, et bien elles devraient être prises où la matière n’existe pas comme aussi loin de toute matière, et c’est que ce que veux exprimer ce M.Einstein en parlant de temps physique. En gros dans ces bulles de vide sans matière à très grande échelle, ou encore entre ces fils de matière entourant ces bulles où sont alignées nos galaxies, où là il n’y a aucune perturbation, et où rien n’est déformé, et où il existe quand même un temps, comme une gravitation, comme d’autres notions encore. Mais comment prendre des mesures dans ces environnants ?? Impossible !!! On peut par contre calculer ces CONSTANTES UNIVERSELLES fonction de nos constantes liées à notre contexte, et calculer également d’autres constantes sur des contextes différents du notre. Si au niveau des infinis on ne sait pas où s’arrête les constantes du quantique qui est l’infiniment petit, par contre on sait très bien où s’arrête ces constantes dans le domaine du très grand, qui d’ailleurs n’est même pas une histoire d’échelle mais de position dans l’espace hors de toutes matière et de plus en étant immobile. De se trouver entre deux galaxies n’est pas encore un vrai vide absolu, car ces galaxies s’influencent elles-mêmes et forcément les objets qui se trouvent entre ces galaxies. Pour comprendre cela, il faut se placer hors de tout et voir ces fils de matière que sont ces galaxies, où une sorte de rayonnement se créer rien que par les étoiles. De voir de notre terre des galaxies très lointaines, et bien celles-ci n’ont plus d’influence sur nous en tant que gravitation, car cette gravitation à une portée très grande, mais pas infinie, et que à une certaine distance des masses, cette gravitation redevient normale, sans être modifiée par les objets, ainsi que le temps, comme d’autres notions. Donc cela n’est même pas un problème d’échelle mais d’isolement par rapport à la matière.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE Bonjour.

    ___Je ne remet absolument pas ces constantes en cause que vous me citez, car elles sont celles que nous connaissons qui sont celles de notre environnement sur terre et même proche de la terre. La notion de π par exemple ne sera pas remis en cause car c’est un rapport géométrique qui reste valable dans toues les échelles et de tous les contextes. Dès que l’on emploie la seconde par exemple dans les expressions mathématiques ou les constantes et bien si le contexte n’est pas le même que celui de notre terre ou celui proche, et bien si cette seconde varie même légèrement et bien toutes les constantes rattachées au temps raviront. Et comme ce temps est aussi utilisé pour la vitesse de la lumière et bien cette vitesse qui est la célérité serra aussi changée, ce qui parait complètement anormale mais qui pour moi me le parait totalement normale même si cela paraît démentiel.

    ___Donc si contexte ou référentiel est multiplié par deux par exemple et bien les constantes sont soient multipliée pas deux ou divisées pas deux ou encore voir le carré de ces vitesse et donc : :
     c = vitesse de la lumière dans le vide *** Changée car seconde.
     h/2 est un quanta du vide *** Sûrement changé car voir de quoi dépend h.
     Perméabilité magnétique du vide ***Changée car seconde au carré.
     Conductance du vide *** Changée car seconde et masse changée.
     Permittivité du vide *** Changée car seconde et masse changée.
     Impédance caractéristique du vide ***est changer car seconde et masse changée.
     Constante magnétique, ***est changer car seconde et masse changée.
     Charge électrique élémentaire = e = ***Changée car seconde si le C est une vitesse.
     Constante de structure fine ***Changée car seconde et vitesse changée.

    ___Et oui même la MASSE des particules est aussi changée ce qui parait incroyable !!!
    ___Et tous ces changements ne sont pas mon œuvre mais ceux de M.Einstein qui n’a sûrement pas voulu tout remettre en cause, ou encore qu’il n’avait pas compris l’ampleur de ses formules, mais j’en doute pour un physicien aussi fort et aussi démentiel que ce personnage. OUI la masse change aussi quand les référentiels sont différents, et cela n’a rien d’extraordinaire, car vous savez très bien que cette masse n’est pas intrinsèque à la particule mais dépend de son environnement, et si celui-ci change et bien la masse change, ainsi la particule proche d’un trou noir ne pèse presque rien, et son inverse est vrai aussi car si cette même particule se trouve dans une bulle de vide sans matière à grande échelle, et bien cette particule pèse plus lourd que sur terre.

    ___Je n’arrête pas de dire presque la même chose, et je pense que vous ne lisez pas vraiment ce que j’écris, car survol je pense de votre part sur mes commentaires. Le temps, la masse et d’autres notions changent, mais les longueurs, les surfaces, les volumes ne changent pas, mais par contre les dimensions changent qui sont celles des objets et qui sont sans rapport avec longueur, surface, volume qui sont des notions géométriques sans objet. Donc l’objet change en dimension mais le mètre reste se qu’il est, comme le kilomètre, le micron, et toutes les divisions des unités de longueurs.

    ___Il est curieux que vous ne comprenez pas ce que j’écris, mais je pense que c’est tellement gros, que vous passé à coté de mes écritures. Maintenant toutes les abréviations comme les signes des expressions mathématiques, et bien je ne les connais pas, et donc difficile pour moi de savoir si tel signe peut changer de valeur ou pas.

    __Si M.Einstein à dit que les masses déformaient l’espace, et que le temps était associé à cet espace, et que maintenant ce n’est plus l’Éther de l’espace qu’il faille utiliser et déformer mais le vide quantique qui remplit cet espace, et bien si le temps se déforme, par obligation les vitesses se déforment. Maintenant je vais un peu plus loin que les explications de ce grand Einstein, car je pense que si il avait dit que plein de notions se déforment, cela n’aurait pas eu cette acceptation des physiciens de l’époque, car tout aurait été remis en cause. Et puis comme déjà dit ce grand Einstein est un malin. En tout cas si le temps se déforme, et cela a été prouvé, et bien forcément les vitesses se déforment, et la vitesse de la lumière ne fait pas exception !!! Mais de dire que la vitesse puisse changer n’aurais pas été acceptée à son époque, et pourtant cela en découle et que personne relève vraiment ce problème. La vitesse lumière que nous constatons est fonction de notre contexte, mais si ce contexte change diminuant la seconde ou l’augmentant, et bien la célérité change.

    ___Ce que je constate encore c’est que la chronologie des commentaires et de vos retours sur commentaires ne sont pas respectée, car si on se donne comme lecture du haut vers le bas de page, et bien les le dernier message devrait au plus près de notre présent, ce qui n’est pas le cas, car des messages sont intercalés en heure et date...

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir.

    ___J’ai bien peur que vous ne vouliez pas comprendre ce que j’explique, car si la seconde n’a pas la même durée dans un référentiel autre que le notre et qui a été réalisé et vérifier avec des horloges atomiques mobiles a grande vitesse, c’est bien que le temps s’écoule différemment. Si l’horloge restée sur terre affiche un temps normale, et celle envoyée dans l’espace à grande vitesse et revenant sur terre et que son temps a un retard, c’est bien que le temps s’est écoulé différemment. D’ailleurs ces tests ont été réalisés pour vérifiés de ce que disait M.Einstein, et il y a eu validité des tests pour confirmer la relativité générale de M.Einstein. Maintenant si le temps ne s’écoule pas de la même façon suivant des contextes différents, et bien la vitesse de la lumière ne va pas à la même vitesse suivant les contextes. Car une vitesse est un rapport entre distance parcourue et une référence de temps comme la seconde. Ainsi si la seconde s’allonge dans le référentiel en mouvement rapide, et bien la vitesse augmente, car pour une seconde de l’horloge fixe, il faut moins d’une seconde pour l’horloge en mouvement pour parcourir la même distance, ce qui veut bien dire que la vitesse augmente si le temps s’allonge. Et ces tests et les résultats de ces tests et ce n’est pas de mon invention. Ce qui est totalement incroyable ces que ces scientifiques ne veulent pas comprendre et admettre que la vitesse de la lumière n’est pas une constante, et pourtant les tests réels le prouvent, mais il vrai que que l’on parle de retard sur l’horloge en mouvement et donc de seconde allongée, mais jamais de vitesse !!! Si vous ne comprenez pas cela et bien difficile d’aller plus loin, car j’ai dû répéter cela au moins dix fois dans vos différents articles. Restez comme ces scientifiques à dire que l’horloge en mouvement à pris du retard et donc que le temps s’est allongé, et puis en rester là sans mettre en relation une distance parcourue par l’horloge en mouvement. Car tout cela ne sont pas mes hypothèses mais celles de M.Einstein qui est même une théorie, et si le constat de vérifier sa théorie reste à dire que les horloges en mouvement prennent du retard, et bien c’est maigre comme réflexion. Et quand vous dites [Je dis "dites vous" parce qu’en fait vous n’en savez rien.] et bien je pense que vous vous moquez de moi, ou alors vos études n’ont servie à rien. Car je ne prétends pas, j’affirme !!! Même ces rapporteurs qui sont des journalistes scientifiques, et qui embellissent leur articles, restent quand même cohérents, car le fond est toujours le même pour dire que proche des trous noirs le temps ralentit énormément et s’allonge aussi énormément. Car on se trouve dans des extrêmes de déformation de l’espace liée à la gravitation de M.Einstein. Donc je n’invente rien, mais je renverse la situation, car personne ne veut parler de vitesse, et pourtant si la cadence du temps change, la vitesse change également. C’est d’ailleurs par cette déformation moindre lié aux satellites que les calculs sont fait pour ne pas se planter sur terre par ces GPS qui émettent et qui reçoivent de l’information. Je ne rentrerai pas dans des détails car je ne suis qu’un petit amateur, mais j’ai bien peur que ces vrais scientifiques se cachent la face pour ne pas voir la relation entre temps déformé et distance constante, donnant forcément des vitesses différentes, et même pour celle de la lumière, qui n’est pas plus extraordinaire, que la vitesse des neutrinos ou d’autres particules fines d’ailleurs.

    ___De plus vous trichez avec cette phrase : : [Aucune expérience ne prouve qu’ailleurs il y ait une autre valeur de c, de h, de e, de alpha, etc...], car la seconde n’est pas une constante comme je viens de l’expliquer et qui est reconnu par la communauté scientifique, donc je ne fais que mettre en relation cette seconde modifiée et une distance, et que cette distance soit la distance que met la lumière en une seconde, ou même les neutrinos, une même distance pour des secondes déférentes donne toujours des vitesses, mais des vitesses différentes. J’arrête d’expliquer la même chose car j’ai l’impression de tourner en rond. Désolé...

    Bonne soirée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___En réponse au [1er février 07:55] et au [1er février 10:47] : :

    ___J’ai bien peur (façon de parler) que vous soyez plus têtu qu’un breton, sans parler d’âne. J’ai bien peur (toujours façon de parler) que vous retombiez toujours sur vos pattes. Pour reprendre exactement vos 2 phrases sur le retour du [1er février 07:55] que voici : : [Enfin un point d’accord : « J’ai bien peur que vous ne vouliez pas comprendre ce que j’explique » !!! Je blague !!!]
    et bien je ne sais pas si vraiment vous blaguer, car avoir un tel refus sur ce qui est tester et vérifier en ce qui concerne les horloges atomiques démontrant qu’il y a décalages anormaux du temps, entre celles fixes et celles en très grands mouvements, vous donnera comme à tous, la seule compréhension que le temps c’est dilaté, et puis c’est tout, sans pour pour autant gratter un peu à chercher plus loin à comprendre quoi que ce soit, sur cet effet semble t-il anormal. Cette phrase encore démentielle [Pour moi, ce que l’on sait déjà me paraît démentiel et pas vos propositions !]. Effectivement tout est démentiel, sauf moi qui suis sur une autre planète, car comment peut-on avoir des dialogues et des échanges si on occulte les plus grosses parties des échanges. Vous avez soit disant fait des études poussées en science, non moi. Vous me dites que ce nombre d’Avogadro ne concerne que les molécules, et j’essaie de vous convaincre que c’est faux, car si on recherche un peu dans ce dictionnaire de Wikipédia, et bien on trouve le contraire de ce que vous dites, et qu’après vous occultez l’échange, comme aussi ces particules virtuelles sans masse que l’on retrouve dans vos phrases de vos articles, et qu’en dernier lieu ces masses dépendent de h/2 et non de h de Planck... et bien comment pouvoir dire quoi que ces soit, car vous ne voulez pas être un maître, mais la façon dont sont vos retours, et bien ils sont celui d’un maître qui a toujours raison, et ne peut avoir tord. Je ne veux rien vous prouver, car je m’en moque, car je ne fais que soulever des points, et qu’il y en ait un seul ou des milliards, le point par excellence ne pèse rien, car sans volume, ça c’est démentiel et pourtant très simple !!!

    [En répondant à cette question vous débloquerez le débat.] Et bien je ne veux pas ou plus répondre car cela n’est pas un interrogatoire, car je pense être encore plus libre que vous, surtout quand il y a mauvaise foi, car ne pas entendre l’autre, et écrire sur les autres, me semble anormale. Vous êtes sûrement une machine sans que vous le sachiez vous-même, car vous produisez, produisez et toujours produire. Mais pour qui et pourquoi ? Vestiges de vos études en science ne vous donne pas pour autant l’ardeur d’aimer les sciences, car vous faites des ponts sans conviction.
    Donc simplement déçu sur ma petite planète, mais je trouverai sûrement d’autres machines plus humaine qui seront aussi des génératrices de caractères, mais des machines sans ce besoin d’être absolument lu pour exister.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

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