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Qu’est-ce qui prouve que la matière n’est pas inerte, statique, fondée sur la conservation, tendant à l’équilibre stable, ou ne se transformant que par évolutions lentes, mais plutôt dynamique, créatrice de nouveauté

mardi 26 février 2019, par Robert Paris

Qu’est-ce qui prouve que la matière n’est pas inerte, statique, fondée sur la conservation, tendant à l’équilibre stable, ou ne se transformant que par évolutions lentes, mais plutôt dynamique, créatrice de nouveauté, fondée sur des forces de changement permanentes, menant à des révolutions

A l’instant même où un lecteur nous a posé cette question, et nous ne pouvons que l’en remercier, combien d’étoiles et de galaxies sont en train de naître, combien d’autres étoiles et d’autres galaxies sont en train de mourir, combien de planètes apparaissent et combien disparaissent, combien d’étoiles s’absorbent mutuellement et combien se divisent, combien d’étoiles explosent en supernovae. L’astrophysique nous dévoile tous les jours des mondes qui ne se contentent pas de se promener tranquillement et de manière inerte dans un ciel calme et inactif !!!

A l’autre extrémité des échelles de la matière, en microphysique, on constate que ce qu’on prenait pour la brique de base, la molécule, l’atome, le noyau ou la particule dite « élémentaire », loin d’être une brique immobile d’un simple jeu de construction, n’a nullement ce caractère inerte qui est censé caractériser la matière non vivante.

Quel lien entre matière et changement ?

Tout n’est que changement !!!

L’électron, le proton, le neutron, les particules durables ou éphémères, les fermions comme les bosons, les photons notamment, ne sont rien d’autre que du changement…

Seule est permanente la transformation, changement de forme, changement de structure, changement d’interaction, changement d’état, changement de position, changement de liaisons, etc….

Le changement est toujours discontinu, non linéaire, à la fois déterministe et aléatoire, ponctuel mais jamais complètement instantané, nécessitant un temps d’action et un temps de repos, inséparable de toute forme d’énergie et coûteux en énergie, à la fois facteur de désordre et cause de l’ordre, en même temps facteur de l’instabilité et de la stabilité…

Le mouvement n’est rien d’autre qu’une apparence liée au changement. La permanence, la constance, la continuité ne sont que des illusions produites par le changement.

Où voyez-vous ce changement, nous demandera le lecteur, éberlué de ne voir dans ce changement ni charge électrique, ni masse pesante, ni atome, ni molécule, ni lumière, ni énergie, etc. ?

Eh bien, oui, nous ne voyons en eux que des formes du changement, puisque ce ne sont rien d’autre que des propriétés des quanta et que ces derniers n’expriment rien d’autre que le changement !!!

Pourtant, les physiciens ont longtemps cru à la stabilité de la matière, considérée comme l’une de ses principales caractéristiques, fondée sur des lois de conservation et une tendance naturelle à l’équilibre. D’où l’expression « matière inerte » ! D’elle-même, sans action extérieure, la matière était censée rester inchangée, inactive et même immobile…

En fait, il s’avère que la matière est sujette en permanence à une agitation et même à des changements radicaux qui sont même la base de cette apparence de stabilité structurelle globale. Cela signifie que la matière conserve ses constantes caractéristiques grâce à des processus qui n’ont rien de constants et sont même une agitation extraordinairement animée.

On constate cette agitation dès qu’on descend au niveau de la microphysique, de la molécule, de l’atome, du noyau et de la particule.

Tout d’abord, il convient de rappeler que l’essentiel de la matière n’est pas l’apparente matière stable, durable, inchangée, dont l’apparence calme est aussi fausse que l’apparence inerte ou l’apparence compacte.

Non ! Il y a des millions de fois plus de matière éphémère que de matière apparemment « stable », « durable », « solide », « immobile », « inchangée », c’est-à-dire possédant une masse inerte.

Chaque type de particule existe aussi bien sous forme « stable » qu’éphémère. On la dit alors « virtuelle » mais ces particules virtuelles, qui peuvent être électrons virtuels, protons virtuels, neutrons virtuels ou même photon virtuel ou tout type de particule à l’état éphémère. Il existe aussi des particules dont la durée de vie, bien que très courte, permet parfois qu’ils soient observés. Mais les particules virtuelles ne peuvent pas l’être directement. Les phénomènes observés nous prouvent cependant avec certitude que ces particules éphémères existent bel et bien.

L’agitation de base de la matière consiste en apparitions et disparitions de matière dans le vide quantique.

Cela sonne un peu comme de la magie mais ce n’est que de la physique !

Tout d’abord, rappelons que le vide est quantique et donc fait de quanta, quanta virtuels, aussi bien de matière que d’antimatière. Malgré ce terme d’ « antimatière », celle-ci est encore de la matière, avec seulement quelques caractéristiques identiques à la matière mais de signe opposé.

La matière et l’antimatière du vide quantique restent toujours en couple sous la forme : une particule et son antiparticule.

Les deux ne peuvent se séparer qu’en se réaccouplant avec un autre couple particule-antiparticule virtuel.

Le vide quantique est agité en permanence par ces particules et antiparticules chargées. Elles se désintègrent en se transformant en énergie.

Les photons (expression recouvrant plus généralement les bosons, c’est-à-dire les particules d’énergie et d’interaction, aussi bien réels que virtuels) sont eux aussi des couples particule-antiparticule.

Quelle relation ce vide quantique a avec la matière habituelle, dite inerte, durable, solide et autres qualificatifs fallacieux ?

On sait que la matière usuelle est faite de molécules, elles-mêmes constituées d’atomes reliés entre eux par des échanges de photons, ces atomes sont formés d’un noyau (couplage de protons et de neutrons par des échanges de gluons qui sont des bosons) entouré d’électrons qui sautent, aussi bien au sein d’une couche atomique que d’une couche à une autre (en émettent ou en absorbant des photons).

Les particules (électrons, protons, neutrons, neutrinos et autres) ont eux aussi un fonctionnement de base extraordinairement agité, ce que ne décrit pas le fait de dire que leurs caractéristiques mathématiques sont constantes !!

En effet, ces particules ont une masse au repos donnée, une charge donnée, un spin donné et bien d’autres caractéristiques fixes mais ils n’ont pas du tout d’identité fixe !!! Et ce n’est pas rien. Ils n’ont pas de position fixe. Ils n’ont pas d’énergie fixe. Ils n’ont pas de vitesse fixe. Ils n’ont pas de déplacement simple et mécanique.

Et, pire que tous, les particules peuvent apparaître et disparaître !!! Donc le nombre de particules, en physique quantique, n’est pas fixe !!! Et leur identité non plus. Ils peuvent s’échanger, changer de nature, changer d’état et tous ces changements sont discontinus, brutaux, extrêmement rapides, quasi instantanés. Ce sont les fameux « sauts quantiques » qui ont tant perturbés les physiciens qui les ont découverts…

En fait, si on isole une particule des voisines, on ne peut pas l’isoler du vide quantique avec lequel elle échange sans cesse cette identité !!!

En effet, la particule n’est jamais la même…

La propriété de « particule réelle » n’appartient pas à une particule donnée : elle saute d’une particule virtuelle à une autre via le boson de Higgs. La stabilité de la matière a donc pour condition son instabilité !!!

Comment cette propriété peut-elle « sauter » ainsi ?

Eh bien, elle fait avec des particules virtuelles proches d’elle, qui appartiennent à ce que l’on appelle son « nuage de polarisation ». La particule « réelle » s’accouple avec l’antiparticule et détache ainsi la particule « virtuelle » qui reçoit le boson de Higgs, cette énergie supplémentaire la rendant « réelle ».

Voilà le ballet permanent des échanges entre particules réelles et vide quantique.

En fait, ce n’en est qu’une partie. Les autres particules virtuelles et aussi les antiparticules ne cessent jamais d’échanger d’autres bosons avec la particule réelle. Les interactions sont permanentes et modifient l’apparence de la particule réelle, écranter ainsi les charges électriques en l’entourant de couches en oignon successivement positives ou négatives.

Ainsi, la charge électrique qui semble constante est en fait variable en fonction de la distance d’approche.

Le caractère « virtuel » ou « réel » lui-même n’est pas stable. Pour une particule réelle ayant une certaine énergie, la particule virtuelle apparaît comme réelle.

En tout cas, la matière est le siège d’une agitation permanente car on ne peut pas séparer la matière du vide, les deux s’échangeant sans cesse, et le vide étant le siège des fameuses fluctuations d’énergie qui manifestent les apparitions et disparitions de couples particule et son antiparticule virtuels.

En ce sens, bien sûr, la matière n’est pas identique à la vie, mais il est beaucoup moins étrange que la matière qui produit sans cesse des structures nouvelles ait finalement produit la vie.

En effet, c’est spontanément, sans aucune action extérieure que se forme la matière, qu’elle fonde des atomes, des molécules, des états (solide, liquide, gaz, etc.), des surfaces, des cristaux, des structures, des configurations de la matière, des liens divers, qu’elle forme des roches, des planètes, des étoiles, des galaxies, des amas de galaxie, etc.

La capacité spontanée de reproduire un ordre n’est pas née avec le vivant. Et pas non plus la capacité spontanée de créer un ordre nouveau, émergent, un ordre auto-organisé issu du désordre.

La vie n’est bien qu’une des formes auto-organisées de la matière.

Les transformations de la matière que nous observons sont le produit de multiples transformations agissant de manière ultra-rapides et insensibles à notre échelle. Quand une particule diffuse sur une autre, quand une particule chargée attire ou repousse une autre, quand un choc matière-matière se produit, etc., il se produit déjà des quantités d’échanges à échelle de temps très inférieures et que nous et nos instruments sont encore incapables de capter et d’observer directement.

Ce sont toutes ces interactions en temps extrêmement courts qui expliquent les « sauts quantiques » et leur durée très courte. Au cours des interactions, des particules éphémères, virtuelles ou pas, sont produites puis disparaissent.

Ce sont les propriétés du nuage virtuel qui donnent à la particule ou au groupe de particules ses propriétés, ses constantes caractéristiques. C’est donc bel et bien une extraordinaire agitation sans répit, sans stabilité, sans équilibre, loin même de l’équilibre, qui fondent l’apparente stabilité de la matière dite durable.

Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

La matière, pas si inerte que ça !

Faut-il opposer diamétralement la matière vivante et la matière inerte ?

Les discontinuités révolutionnaires de la matière

Révolutionnaire, la matière ?

Quelles révolutions de la matière ?

Lumière et matière, des lois issues du vide

Qu’est-ce que la masse de la matière ?

Qu’est-ce que l’émergence de la matière au sein du vide quantique ?

Que sont les fluctuations du vide quantique ?

Qu’est-ce que le virtuel ?

Qu’est-ce que le vide quantique

Le vide, … pas si vide

Pourquoi la matière s’organise spontanément (émergence de structure) et de manière stable ?

Des structures émergentes au lieu d’objets fixes

La fin de la mystification de la matière physique, ou chosification

Qu’est-ce qu’un électron ? Une fractale !!! Un monde à plusieurs niveaux hiérarchiques d’organisation...

Messages

  • ▬JFP 20230211. Bonjour Mr Paris.
    ▬Articles mis en jeux par ce commentaire pour comprendre la formule de Einstein E=Mc2 et donc Énergie et masse :
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5361 Comprendre les bases de la Physique Quantique...
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5108 Quelle relation entre matière et énergie ?
    https://www.matierevolution.org/spip.php?article6182 Quelle relation entre matière et énergie ?
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5011 D’où vient l’énergie ?
    https://www.matierevolution.org/spip.php?article6101 D’où vient l’énergie ?
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5120 Qu’est-ce qui prouve que la matière n’est pas inerte...
    https://www.matierevolution.org/spip.php?article6198 Qu’est-ce qui prouve que la matière n’est pas inerte...
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6728 Comment résoudre la question de la « catastrophe du vide »...
    ▬Je suis sur l’un des articles conseillés par le biais d’une de mes interrogations, à savoir cette belle formule de E=mc2 et où le départ vient de commentaire d’un certain A. Mantoux, qui relance le débat sur la phrase donnée par Einstein : Einstein rappelait qu’il fallait une image intuitive de la réalité pour « comprendre » la Physique. Comme j’ai répondu avec ironie sur son commentaire, le soupçonnant d’être virtuel, j’en suis arrivé à me demander, comment ce génie de Einstein est arrivé à cette formule de E=Mc2, et ce que cela veut dire.... Faire une équivalence entre une masse et une énergie, et utiliser la vitesse c au carré, ne me donne pas vraiment une image intuitive de la réalité. mais si il y a un lien entre vitesse c et masse sans parler de charge, cela implique forcément la gravitation ...
    ▬Ces articles proposés sur lesquels je suis, où j’avais répondu quelques âneries, sont assez clair, mais ne répondent pas à ma question sur cette formule de Einstein qui est E=mc2.
    ▬J’ai noté qu’une seule phrase qui me parait importante, et qui me semble aussi floue :
    ►►►La matière n’existe pas sans la lumière et la lumière n’existe pas sans la matière éphémère du vide…◄◄◄
    ▬Comme déjà exprimé, les particules virtuelles du vide quantiques ne sont pour moi que des restes ou poussières de particules dites réelles, qui n’ont pas pu se rassembler pour formées de nouvelles particules réelles, et donc ces restes ou résidus stationnent proche de la matière, où des échanges se font en permanence entre le monde réel et ce monde virtuel quantique. Je vois ce monde virtuel, non comme vous Mr Paris, car pour vous tous les types de particules réelles se retrouvent dans le monde virtuel quantique et non pour moi...
    ▬Pour ma part le monde virtuel est constitué de couple ou paire de particules virtuelles de charges opposées, et ces entités sont les bases même de tous ce qui existe, aussi bien fermions que bosons, car ces entités que j’ai appelé poussières, graines, briques et autres, sont les bases les plus petites de ce qui peut exister. Ainsi une particule dite réelle n’est qu’une grande quantité calibrée en nombre de ces couples de charges opposées, et que cela soit des fermions ou même des bosons, la constitution de ces particules réelles dites particules élémentaires, sont toujours ces couples de graines de base de charges opposées, ce qui résulte de ces couples, est que leur charge devienne neutre, mais la neutralité n’entraîne pas pur autant une uniformisation de la forme de ces couples, car les charges opposées ne donnent pas pour autant une forme homogène unique, cela entraîne que ces couples s’orientent suivant les autres couples, comme s’orientent encore fonction des charges des particules dites réelles, et les nuages de polarisation dont vous parler souvent, sont ces couples entourant toutes particules élémentaires.
    ▬Pour ma part ces particules virtuelles qui apparaissent et disparaissent, sont ces couples de graines élémentaires de charges opposées, mais l’énergie électromagnétique de ces micro-particules assemblées en paire, n’est pas l’énergie résultante des particules réelles, car l’énergie dont parle Mr Einstein par sa formule E=Mc2, est sans rapport avec les charges ou forces électromagnétiques, il y a donc une énergie autre pour faire correspondre la masse à l’énergie que celle-ci est censée avoir. D’ailleurs que ce monde virtuel soit définit autrement, cela ne change en rien l’équivalence entre masse et énergie. La seule chose qui me parait essentielle dans les descriptions de vide quantique est que des entités apparaissent et disparaissent sans pouvoir mesurer quoi que ce soit, et cette énergie recherchée est bien celle là, et d’ailleurs quand on parle d’apparition ou de disparition, cela n’est aucunement une création et une annihilation, mais simplement un transfert très rapide de position et donc de sauts de ces couples de graines élémentaires.
    ▬Ces apparitions et disparitions d’entités du vide quantique, est un lien avec ce que je cherche à comprendre, car ce n’est pas les entités elles-mêmes qui portent des charges opposées qui donnent pour autant cette notion d’énergie recherchée pour des masses données, mais bien leurs apparitions et leur disparitions, qui sont liée non d’elles-mêmes mais forcément d’autre chose, et ce n’est pas encore une fois ces entités virtuelles du monde quantique, qui fait que l’atome vibre par ses électrons. Si l’atome vibre par ces électrons et de même que son noyau, cela ne provient pas directement des particules dites virtuelles, car elles-mêmes sont sujet à faire des sauts sans en connaître la nature du saut. Le nuage de polarisation d’une particule élémentaire, n’est pas du tout statique, mais au contraire dynamique et même chaotique, et ce chaos ne vient pas des particules de tous genres, mais d’autre chose, et si cela influe la particule élémentaire, ce n’est pas vraiment son environnement qui influe sur elle, mais ces sauts de ce nuage de polarisation, qui devrait être statique et stabilisé, et qui pourtant ne l’est pas, et donc une force ou énergie vient perturber ces charges de graines polarisées et elles influent sur les particules élémentaires, et cette agitation du vide quantique comme de sa fluctuation n’est pas liés aux particules elles-mêmes mais aux sauts de ces particules libres virtuelles.
    ▬Ces sauts quantiques n’ont de raison d’être que si une force externe contraint le vide quantique à s’agiter et créer un chaos d’agitation permanent, cette force, cette énergie vient simplement de la gravitation par ces gravitons dynamiques sans charge, et qui agitent ce monde quantique, et qui permet de faire vibrer les atomes. L’énergie du vide quantique, ne vient pas de lui-même, mais d’une couche inférieure que sont les gravitons dynamiques sans charge, et qui agitent tout ce qui est possible d’agiter à cette échelle...
    ...
    ▬Pour reprendre le dernier commentaire d’un article d’un certain Mr A. Mantoux, qui nous dit textuellement que : "Einstein rappelait qu’il fallait une image intuitive de la réalité pour « comprendre » la Physique"...
    ▬Eh bien si ce grand Einstein nous dit cela, c’est que forcément il avait une idée de ce que pouvait être la gravitation, mais de ce grand génie magistral, on ne connaît pas ce qu’il pensait de la gravitation, car nous n’avons que des formules mathématiques et équations, sans la moindre explication de son image intuitive de la réalité, et cela est assez déroutant et même frustrant d’essayer encore de nos jours, d’essayer de comprendre ce que peut être cette gravitation physiquement. Si Einstein avait une image intuitive de cette réalité de la gravitation, il s’en est bien gardé pour ne pas nous la donner, et a gardé pour lui ce qu’il avait imaginé. On peut comprendre alors entre ce génie qu’il était, que la différence est très grande entre ses formules et ses dires, et que sa notoriété de grand physicien est remise en cause par son absence totale d’explication. Il en va de cette équivalence entre masse et énergie, où toutes personnes connaissent cette formule magnifique et plus que célèbre de E=Mc2, mais sont incapables de comprendre ce que cela peut être physiquement. M étant la masse, et peu importe le type de cette masse, car toutes les masses imaginées ont la même valeur, et c2 accolé à M, veut dire que c’est la célérité de la lumière au carré dans le vide, qui est multiplié par M, et qui nous donne une énergie liée à la masse. Cette très belle formule de E=Mc2, je n’y crois pas du tout, mais cela démontre qu’une masse est une fausse forme d’énergie. D ailleurs le signe égal de cette formule est faux, car ce n’est pas une égalité proposée mais une équivalence, ce qui est tout à fait différent.
    ▬Cette énergie venant de la masse c’est quoi au juste ? Une masse est forcement constituée d’atomes sans parler de cette matière noire, mais un atome et peu importe son type, est déjà une énergie en lui, ou du moins l’équilibre neutre entre le noyau de charge positive et les électrons de charge négative est une énergie électromagnétique, et le noyau lui-même est une énergie, sous une force différente, et tout ce qui constitue l’atome, est un ensemble d’énergies et donc de forces, où se mêle même ce vide quantique local à l’atome, donc d’où vient cette énergie simplement liée à la masse, sans même parler des forces ou énergies incluant cette masse ?
    ▬Pour ma part la masse n’est pas une énergie comme on le conçoit habituellement et conventionnellement, car la masse n’est qu’une barrière à ce qu’est la gravitation de l’espace, et on ne peut pas considérer une barrière comme une énergie, c’est exactement l’inverse, car un barrage retenant l’eau n’est pas une énergie, il n’est qu’une barrière à retenir l’eau, et la masse est du même genre qu’un barrage. La masse comme le barrage n’emmagasine pas de l’énergie, et n’en reçoit pas non plus, car la véritable énergie vient de l’extérieur, qui est la retenue d’eau et donc la pression de l’eau, et la masse ne fait rien d’autre que faire barrage à l’extérieur qui est une vraie force et donc une vraie énergie. On concentre donc l’énergie venant de l’extérieure dans la masse, mais celle-ci n’est pas une énergie, et comme la belle formule nous donne une équivalence et non une égalité, l’équivalent d’un barrage ou d’une masse n’est pas de l’énergie, mais une force qui n’en est pas une. Si le barrage s’effondre cela devient un trou noir, ne laissant plus d’énergie passer qui est exactement le contraire d’un vrai barrage, car toute l’énergie de la pression de l’eau est évacuée...
    ▬E=Mc2 n’est rien d’autre que la masse empêche que le vide traverse cette masse, car une partie du vide traverse bien cette masse mais une partie est bloquée par cette masse, et donc la masse ne joue qu’un rôle de barrage au vide, ceci veut dire que la masse n’est pas une énergie comme le conçoit Einstein, mais une équivalence à faire barrage à l’énergie du vide, qui n’est rien d’autre que la gravitation, sans même parler des autres forces ou énergies.
    ▬La gravitation est une énergie ou une force mécanique/cinétique, et l’électromagnétisme ne rentre pas en jeux dans cette mécanique, sauf que les entités chargées donnant lieux à l’électromagnétisme s’en trouvent bousculées...
    ▬La masse n’est rien d’autre qu’un barrage à la gravitation, mais ce barrage n’est pas étanche et fuit laissant passer une partie de ce qu’il retient, et la force de la masse est ce qu’elle retient....
    ▬Si la matière n’est pas inerte, c’est que c’est le vide l’active, et ce vide n’est pas lié à l’électromagnétisme !!!
    ▬Amicalement. JFP/Jean-François Pouliquen

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