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Vaccins et aluminium : encore un sale coup des labos pharmaceutiques

lundi 13 avril 2015

Vaccins et aluminium : encore un sale coup des labos pharmaceutiques

Une controverse existe à propos du rôle de l’aluminium vaccinal dans le déclenchement d’une affection neuromusculaire décrite (1) en France en 1998 sous la dénomination de myofasciite à macrophages (MFM). Cette appellation fait référence à la biopsie musculaire qui retrouve chez ces malades, au sein du site vaccinal, des inclusions persistantes d’aluminium. La plupart des vaccins contiennent en effet de longue date de l’aluminium, adjuvant qui a pour mission d’amplifier la réponse immunitaire déclenchée par l’injection de l’antigène vaccinal.

L’aluminium a été longtemps considéré comme sans danger pour l’homme du fait de son caractère ubiquitaire et de sa très faible absorption orale. Le rôle neurotoxique de l’aluminium a été démontré en 1978 devant l’apparition d’encéphalopathies attribuées à l’aluminium contenu dans le liquide de dialyse des insuffisant rénaux.

Un palier supplémentaire est franchi en 1998, date de la mise en évidence de lésions histologiques jamais décrites où se regroupent des cellules, les macrophages, contenant des inclusions d’aluminium, parfois des années après l’injection du vaccin réalisé au même site musculaire. Un regroupement des personnes touchées par ce syndrome émergent se met en place au sein d’une association. Depuis, la même équipe de neuro-pathologistes français (CHU de Créteil) a pu continuer à recenser plusieurs centaines de personnes venant toutes consulter pour des symptômes similaires à type de douleurs musculaires, fatigue chronique et troubles cognitifs. Toutes ces personnes ont aussi en commun un antécédent de vaccination préalable contenant un adjuvant aluminique (vaccin hépatite B et/ou DTPolio).

La parution des publications médicales correspondantes jette le trouble au sein des plus hautes instances médicales car l’image d’innocuité des vaccinations est mise à mal. L’académie de médecine, le comité technique des vaccinations, la pharmacovigilance nationale et même l’OMS réfutent l’existence de de ce nouveau syndrome. La lésion histologique ne serait qu’un simple « tatouage vaccinal » n’expliquant pas les plaintes décrites par les personnes atteintes de MFM.

Les expérimentations animales (souris) vont venir apporter un éclairage nouveau et important à la compréhension de la MFM. Lorsqu’il est injecté par voie intramusculaire, l’aluminium marqué reste dans le muscle pour partie et se distribue dans le système lymphatique, puis passe dans les macrophages sanguins pouvant alors migrer vers le cerveau où il peut s’accumuler.

Compte-tenu de ces éléments, le Ministère de la santé vient enfin, et sous la pression notamment de l’association E3M, de mettre en place un comité scientifique chargé de piloter la recherche sur les vaccins aluminiques et leur lien avec la MFM. En attendant, un premier rapport du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) prône la poursuite des vaccinations contenant de l’aluminium au nom du rapport bénéfice-risque, favorable aux vaccins utilisés depuis plus de 80 ans. Cet avis ne parle cependant plus d’innocuité absolue des vaccins aluminiques et laisse des questions en suspens (délai de résorption de l’aluminium, caractère pathologique des lésions persistantes…).

A partir de toutes ces constatations, le principe voudrait que l’on puisse choisir l’option de recevoir un vaccin DTPolio sans adjuvant aluminique, ce qui était encore possible il y a peu de temps.

Dominique LE HOUEZEC

(1) Gherardi RK. et coll. Lancet 1998 ; 352 : 347-52

La liste des vaccins contenant de l’aluminium

Trois personnes portent plainte contre l’aluminium dans les vaccins

Qu’est-ce que la myofasciite à macrophages ?

Le point des spécialistes sur la myofasciite à macrophages et le rôle des vaccins à base d’aluminum

Quelques vidéos :

Pour l’arrêt des vaccins à base d’aluminium

La Myofasciite à Macrophages, maladie causée par le vaccin à l’aluminium

Les risques de l’aluminium dans les vaccins n’ont pas été vérifiés

Les particules d’aluminum migrent vers le cerveau

Le point de vue de chercheurs internationaux

La toxicité de l’aluminum

La toxicité de l’alumium dans les vaccins

Les laboratoires s’organisent pour imposer leurs vaccins

Les victimes des vaccins ont besoin de s’organiser et de se défendre

L’industrie pharmaceutique s’est infiltrée partout

Colloque de l’assemblée nationale sur ce thème

Une grève de la faim pour des vaccins sans aluminium

Les médecins s’unissent pour un vaccin DTPolio sans aluminium

Messages

  • Le Conseil constitutionnel a déclaré le 20 mars 2015 que « les articles L. 3111-1, L. 3111-2 et L. 3111-3 du code de la santé publique sont conformes à la Constitution ». Cela signifie que l’obligation des trois vaccins est légale :

    – vaccin contre la diphtérie et le tétanos : la primovaccination à 2, 3 et 4 mois ainsi que le premier rappel à 18 mois sont obligatoires,

    – vaccin contre la poliomyélite : la primovaccination et les rappels sont obligatoires jusqu’à l’âge de 13 ans,

    – vaccin contre la fièvre jaune : la vaccination est obligatoire en France pour toutes les personnes résidant en Guyane.

    Les autres vaccins ne sont pas obligatoires.

  • A bas la vaccination obligatoire. Non aux injections à base d’adjuvants aluminisés.

    Les dirigeants des laboratoires et trusts pharmaceutiques sont des empoisonneurs de masse au même titre que ceux de l’amiante.

    Les malades des vaccins à l’aluminium sont des enfants & des adultes.

    Leur combat ne vaut pas moins que ceux victimes de l’amiante.

    les conseils scientifiques de ces labo devront être jugés pour empoisonnement contre l’humanité.

    Honneur aux médecins qui vaccinent les carnets.

    Honte à ceux qui prescrivent des vaccins non obligatoires sans avertir les patients ou parents sur les risques !

    Ils engagent leur responsabilité et ils seront poursuivis pénalement !

  • Le gouvernement australien menace de ne plus payer les allocations aux parents qui refusent de faire vacciner leurs enfants.

  • Une ineptie de plus de la part du HCSP (Haut Conseil de Santé Publique français) : celui-ci prétend en effet que les symptômes de réactions aux vaccins à base d’aluminium n’auraient pas été décrits chez les nourrissons qui sont pourtant le public le plus exposé au niveau du nombre et de la fréquence des vaccinations, à base d’aluminium notamment. A cela, il y a deux remarques logiques et limpides à faire : la première, c’est que les nourrissons sont incapables de verbaliser les malaises et les symptômes qu’ils peuvent présenter. Par conséquent, des douleurs articulaires ou musculaires chez des nourrissons peuvent rester purement et simplement indécelables par les médecins, ce genre de problèmes pouvant ne se traduire que par des pleurs, des modifications d’appétit, du sommeil, autant de symptômes secondaires qui ne permettront donc pas forcément de remonter aux symptômes primaires plus spécifiques au terme d’investigations diagnostiques plus poussées. Idem pour l’altération parfois subtile du développement neurologique des enfants due à l’aluminium neurotoxique des vaccins puisque ces effets pourront par exemple ne se remarquer vraiment qu’au fur et à mesure du développement neuro-cognitif des enfants concernés. La deuxième remarque à faire à ce niveau, c’est qu’il y a aussi un phénomène de bioaccumulation des métaux : le corps a une certaine capacité de supporter les poisons, à la manière d’un vase qui se remplit, jusqu’au jour où... le vase déborde ! Avec les vaccins, c’est aussi souvent ce qui peut se passer, et donc il n’est pas du tout impossible que ce phénomène soit aussi à l’oeuvre ici : un risque possiblement plus grand chez les adultes du fait d’une accumulation de vaccins à base d’aluminium qui accroît statistiquement et quantitativement ce risque au cours de la vie.

    On le voit : tout est fait pour blanchir l’aluminium et ne pas remettre la sombre politique vaccinale en cause. Dans le même temps, il s’agit d’essayer de faire "bonne figure" en préconisant officiellement d’autres recherches sur les adjuvants, d’éviter si possible le recours aux adjuvants pour les futurs vaccins pandémiques dont on parle décidément de plus en plus etc etc. La priorité n’est pas la sécurité publique mais la poursuite des relations amicales avec les pharmas, la poursuite aussi du suivisme docile par rapport aux diktats internationaux (OMS et cie), tout en minimisant aussi le risque juridique de procès en masse pour mise en danger des patients depuis des décennies avec ce genre d’imprudence caractérisée.

  • Portée par le Pr Henri Joyeux, une pétition signée par 470.000 personnes avance des arguments contre les dangers de la vaccination.

    Deux mois après l’avis du Conseil constitutionnel confortant l’obligation vaccinale, il s’agit à nouveau de le contester. Cette fois, la polémique vient d’un chirurgien-oncologue. Dans une pétition adressée à la ministre de la Santé, le Pr Henri Joyeux dénonce la pénurie des vaccins ne protégeant que contre les maladies à vaccination obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite). Le seul produit désormais disponible, affirme-t-il, coûte « sept fois plus cher » et exposerait les enfants à des dangers « inutiles ». Ce texte avait déjà recueilli jeudi soir près de 470.000 signatures. Le Pr Joyeux, ex-président de l’association Familles de France s’exprime au nom de l’Institut pour la protection de la santé naturelle, un organisme privé controversé basé à Bruxelles.

    Le seul vaccin disponible contre les trois maladies à vaccination obligatoire (diphtérie, tétanos, poliomyélite), dénonce le Pr Joyeux, serait l’Infanrix hexa de GSK, qui contient trois vaccins supplémentaires (coqueluche + haemophilus + hépatite B).

    Le vaccin couvrant uniquement les trois maladies obligatoires, le DTPolio de Sanofi Pasteur, a effectivement été retiré du marché en 2008 avec l’accord de l’ANSM, en raison de réactions allergiques. Quant aux vaccins tétravalents (DTPolio + coqueluche ) et pentavalents (tetra + haemophilus ), ils souffrent de difficultés d’approvisionnement en raison d’une hausse de la demande d’antigène coquelucheux lié à une épidémie mondiale, et les autorités ont adapté la stratégie vaccinale début mars.

    Le vaccin hexavalent est certes le plus facile à se procurer. Le produit étant en rupture de stock depuis janvier, l’Agence du médicament a fait savoir début mai qu’un produit de substitution, importé du Canada, était mis à la disposition des patients français aux mêmes conditions.

    En France, seules les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite sont obligatoires. Les autres vaccins (rougeole, coqueluche, hépatite B…) sont « recommandés ». Mais le Haut Conseil à la santé publique a remis en cause en septembre la pertinence de cette distinction qui peut donner l’impression que ces derniers sont superflus, alors qu’ils sont « indispensables », rappelait alors au Figaro le Pr Jean-Louis Koeck, responsable du centre de vaccination de l’hôpital d’instruction des armées Robert-Picqué (Bordeaux) et fondateur du site mesvaccins.net. La coqueluche et l’haemophilus représentent désormais une menace plus forte pour les nourrissons que la diphtérie ou la poliomyélite, rappellent le Dr Koeck et le Dr Odile Launay, vice-présidente du comité technique des vaccinations. « Il faut les vacciner dès que possible, à partir de 8 semaines », explique cette dernière. Quant à l’hépatite B, un nourrisson présente peu de risques d’infection, mais vacciner tôt permet une meilleure immunité et participe à l’effort d’éradication de la maladie.

    Henri Joyeux reproche à l’Infanrix hexa de contenir aluminium et formaldéhyde, « deux substances dangereuses », et de contenir le vaccin contre l’hépatite B,« soupçonné d’un lien avec la sclérose en plaques ». Enfin, vacciner des enfants contre six maladies à la fois augmenterait le risque de réaction immunitaire « incontrôlée » ou de maladie auto-immune.
    Utilisé en adjuvant, l’aluminium est accusé de pouvoir provoquer une myofasciite à macrophages, une maladie rare. Mais le Haut Conseil à la santé publique a récusé tout lien de causalité dans un rapport, en août 2013. L’Agence du médicament a toutefois accordé des fonds à un chercheur, Romain Gherardi, pour qu’il poursuive ses études sur cette maladie qui a probablement des causes génétiques.

    Le formaldéhyde « est présent dans le vaccin en quantités infinitésimales et sert à inactiver certains micro-organismes. Cela a toujours existé et les données montrent que c’est sans danger », réagit le Dr Launay.

    Les soupçons de lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques, nés au début des années 1990, ont fait l’objet d’une enquête officielle lancée en 1994 par l’Agence du médicament et d’études internationales dont aucune n’a « établi de lien causal entre ces événements indésirables et la vaccination contre le VHB », rappelait l’ANSM sur son site en 2012.

  • La pétition lancée par le Pr Henri Joyeux a récolté plus de 500 000 signatures en une semaine. Adressée à la ministre de la Santé, elle a pour objet de protester contre le monopole de fait du vaccin Infanrix hexa. En cause, le fait que ce vaccin combiné adjoigne à la vaccination obligatoire Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite (vaccin DT-Polio) une vaccination facultative contre trois autres maladies. Le vaccin DT-Polio a cessé d’être produit en 2008, offrant désormais aux parents des vaccins combinés à couverture plus large : tétravalent (Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche), pentavalent (Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Hib), ou hexavalent (Diphtérie-Tétanos-Polio-Coqueluche-Hib-Hépatite) comme l’Infanrix hexa.

    En réponse à la controverse, la ministre de la Santé s’est exprimée sur le sujet, condamnant sans surprise les propos du Pr Joyeux. La ministre ne transige pas sur la nécessité de la vaccination : « La vaccination, cela ne se discute pas, a-t-elle déclaré sur Francetv info. Il ne faut pas avoir de doute par rapport aux vaccins, ce qui n’exclue pas la transparence et la recherche pour toujours améliorer la qualité de nos vaccins. »

    Dès son lancement, la pétition du Pr Joyeux avait créé la polémique. Ses communications ont été vivement critiquées, Le Figaro parlant notamment de « campagne de désinformation », le site Rue 89 publiant pour sa part un article intitulé « Vaccin DT-Polio : pourquoi il ne faut pas signer la pétition du professeur Joyeux », issu du blog scientifique Rougeole Epidémiologie. Rappelons que l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) a mis en place, depuis le mois de mai, une solution de remplacement au vaccin hexavalent. Le médecin peut alors commander, auprès du laboratoire Sanofi Pasteur MSD, un kit combiné DT-Vax + Imovax Polio fourni gratuitement, qui permet aux parents qui le souhaitent d’assurer la couverture vaccinale obligatoire (DT-Polio) sans vacciner contre des maladies supplémentaires. Le discours ferme de Marisol Touraine vise à apaiser le débat sur la question de la vaccination, dans un contexte français que l’on sait historiquement sensible. Le Pr Joyeux quant à lui, n’en est pas à ses premiers éclats sur le sujet de la vaccination : il s’était par exemple déjà mobilisé en 2014 contre la vaccination massive des enfants contre le papillomavirus (HPV).

    Marisol ne nous vaccine pas contre les sales coups des labos !!!

  • Un tribunal de Lyon a jugé le vaccin contre l’hépatite B responsable de la maladie handicapante d’une femme de 65 ans, en arrêt de travail depuis 6 ans.

  • Dans une interview exclusive au Parisien-Aujourd’hui en France, la nouvelle ministre de la Santé fait le point sur ses priorités, et assure qu’elle réfléchit à « rendre obligatoires 11 vaccins ». cette médecin, spécialiste du sang (Fabius et Dufoix aussi l’étaient aussi à leur manière), a sur le haut de la pile l’explosif dossier de l’obligation vaccinale pour les enfants.
    Le Conseil d’Etat exige que le gouvernement revoie sa copie sur les vaccins pour nourrissons. Que comptez-vous faire ?
    Agnès Buzyn. Aujourd’hui, seuls trois vaccins infantiles sont obligatoires (diphtérie, tétanos, et polio). Huit autres, dont la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, sont seulement recommandés. Ce double système est une exception française. Cela pose un vrai problème de santé publique. Aujourd’hui, en France, la rougeole réapparaît. Il n’est pas tolérable que des enfants en meurent : dix sont décédés depuis 2008. Comme ce vaccin est seulement recommandé et non obligatoire, le taux de couverture est de 75 % alors qu’il devrait être de 95 % pour prévenir cette épidémie. On a le même problème avec la méningite. Il n’est pas supportable qu’un ado de 15 ans puisse en mourir parce qu’il n’est pas vacciné. Nous réfléchissons donc à rendre obligatoires les onze vaccins* pour une durée limitée, qui pourrait être de cinq à dix ans. L’Italie l’a fait la semaine dernière. * Polio, tétanos, diphtérie, coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C.
    Onze vaccins obligatoires ? Une eurodéputée s’interroge « sur le cadeau fait aux laboratoires » (a ce niveau c’est plus qu’un cadeau c’est une tentative de sauvetage de cette industrie)
    Mais une partie des Français y est hostile...
    C’est paradoxal. D’un côté, les Français veulent un vaccin dès qu’un virus apparaît, comme Ebola ou Zika. De l’autre, ils sont méfiants face aux existants. Cela me trouble car ils ont sauvé des milliards de vies, mais on l’a oublié. On ne retient que des effets secondaires, dont beaucoup n’ont pas été prouvés ( les enquêtes ont été menées par les spécialistes des labos pharmaceutiques) Pasteur, leur inventeur, se retournerait dans sa tombe (oui surtout en pensant à l’aluminium qu’on y a ajouté !!). Il faut vraiment faire oeuvre de pédagogie. La vaccination, ce n’est pas seulement l’intérêt qu’on y trouve soi-même, c’est un enjeu de solidarité, une façon de protéger l’ensemble de la société. (c’est vrai que les gouvernements et l’Etat ont 1 tradition de protéger les intérêts des empoisonneurs comme ceux qui ont produit ou utilisé l’amiante depuis plus d’un siècle !!) Faut-il vraiment en passer par l’obligation ? Je déteste la coercition, ce n’est pas dans mon tempérament. Mais là, il y a une urgence. Une quinzaine d’enfants sont hospitalisés à cause de la rougeole, cela m’inquiète. Il y a des fois où l’obligation est une bonne chose pour permettre à la société d’évoluer. Je pense à l’égalité hommes-femmes. On n’aurait jamais réussi à progresser dans la parité sans l’imposer dans les conseils d’administration.
    Ne craignez-vous pas de faire la part belle à l’industrie pharmaceutique ? Je refuse qu’on me colle cette étiquette. Oui, les industriels gagnent de l’argent (juste un peu...? et comme les scandales sanitaires le montrent c’est toujours en nuisant à la santé et en commercialisant des produits dont ils connaissent parfaitement les dangers !), mais on ne peut pas réduire la question de la vaccination à l’intérêt des laboratoires. Cette obligation pourrait-elle être étendue à la grippe qui a encore tué 21 000 personnes cet hiver ? Je me pose la question tous les jours pour les professionnels de santé. Je ne comprends pas ceux qui ne s’immunisent pas, ils font courir un risque à leurs patients. On réfléchit à ce que cela devienne obligatoire pour eux. J’en discuterai avec l’ordre des médecins et des pharmaciens.. 1er remarque : cette ministre devrait être radié de l’ordre des médecins si le principe d’hyprocate était réellement appliqué "J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences."

  • L’ALUMINIUM, LES VACCINS
    ET LES 2 LAPINS…
    Un film documentaire de Marie-Ange POYET

    90 mn – 2016 – VOSTFR
    Coproduit par Entre2Prises et E3M
    Disponible en ligne, gratuitement,
    du 23 juin au 6 juillet

    La nouvelle ministre de la santé « réfléchit » à élargir l’obligation vaccinale à onze pathologies.
    Cela signifierait que chaque enfant recevrait, entre 0 et 7 ans, 3,635 mg d’aluminium neurotoxique.

    Chacun doit prendre conscience des alertes scientifiques, des conséquences de la neurotoxicité de l’aluminium
    et des solutions qui existent pour le remplacer. C’est pourquoi nous avons décidé
    de mettre en ligne gratuitement notre film documentaire pendant 15 jours.

    Bon visionnage et n’hésitez pas à le partager autour de vous !
    E3M , Association d’Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages

  • On a reçu cinq sur cinq l’annonce par la ministère de la Santé, Agnès Buzyn, d’une loi qui rendra obligatoires 11 vaccins pour les enfants, contre trois actuellement, à la « fin de l’année » avant une entrée en vigueur début 2018.

    Fini la liberté de choix, très limitée, précédente !

    Merci pour les trusts pharmaceutiques !!!

    Buzyn, spécialiste du conflit d’intérêt toutes catégories : son mari en croque !!

  • Dans un rapport jamais rendu public depuis mars, des scientifiques pointent les risques induits par la présence d’aluminium dans les vaccins.

    On y lit des échanges cordiaux mais surtout un débat âpre et passionné. Ces documents que nous nous sommes procurés, c’est l’avis du conseil scientifique de l’ANSM, le gendarme du médicament, et l’ensemble des discussions que les spécialistes ont mené sur l’étude de l’équipe du professeur Gherardi, chef du service neuromusculaire à l’hôpital Henri Mondor de Créteil, évaluant la neurotoxicité de l’aluminium présent dans les vaccins.

    Si cet essai n’est en rien - au contraire - contre les vaccins, il pointe des risques inhérents à l’aluminium que contiennent la majorité d’entre-eux. Et pose des pistes, notamment génétiques, dont les experts s’accordent à dire qu’elles doivent être « poursuivies » et « approfondies ». Mais voilà, ces conclusions datent de... mars et depuis « rien », souffle Guillemette Crépeaux, chercheuse à l’Inserm et coauteure de l’essai, qui a eu accès au compte-rendu final il y a à peine trois jours !

    Bien que financé par l’ANSM - avec donc des deniers publics -, en plein débat mouvementé sur l’extension de l’obligation vaccinale à onze vaccins infantiles, et à la « stupéfaction » des associations de patients, ce rapport n’a pas été rendu public. « Les avis consultatifs du conseil scientifique n’ont pas vocation a être publiés. Cela ne veut pas dire qu’on cherche à les cacher », défend de son côté l’ANSM. Voici ce qu’on y découvre.

  • A l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), le professeur Romain Gherardi travaille sur les risques liés à l’aluminium contenu dans la plupart des vaccins, depuis plusieurs années et son récent essai a fait l’objet d’un avis de la part du conseil scientifique de l’ANSM en mars. Un avis qui n’a pas été rendu public mais qui a été dévoilé la semaine dernière par Le Parisien. Ce dernier n’est pas sans relancer la polémique sur la dangerosité des adjuvants dans les vaccins puisque, bien que mené sur des souris, l’essai du professeur Romain Gherardi indique que l’aluminium pouvait gagner le cerveau et s’y accumuler. Mais à la suite de cette annonce, l’ANSM a tenu à faire savoir sur son site internet que ces résultats ne modifiaient pas le rapport/bénéfice risque positif des vaccins contenant de l’aluminium. "Aucun signal de sécurité n’a conduit à ce jour à remettre en cause ce rapport, en France et à travers le monde. Ces vaccins sont administrés à des centaines de millions de personnes dans le monde depuis près d’un siècle", indique-t-elle.

    Lutte ouvrière dit la même chose ; vulgaire copié collé d’une agence d’un Etat dont l’industrie pharmaceutique est une des plus importantes au monde...la même agence qui a couvert tous les scandales de santé avec des démissions et des jugements en faveur des patients (levothyrox , mediator et la liste des medicaments dangereux certifiée par l’ANSM fait l’objet de livre entier).

    En médecine, le premier principe est de ne pas nuire : cela fait parti du serment d’Hypocrate que font tous les médecins. Elle indique que le médecin a pour devoir préalable à toute intervention de ne pas aggraver la situation de son patient par un acte ou une préconisation inadaptés. Selon ce principe, le médecin dispose du droit de ne rien faire s’il juge que le risque encouru par le patient n’est pas mesurable ou suffisamment contrôlé. Des traces de ce précepte remonteraient à Hippocrate qui dans son traité "Epidémies" écrivait : "Avoir, dans les maladies, deux choses en vue : être utile ou du moins ne pas nuire".

    Avec l’ANSM et les labos , le premier principe c’est ...faire du profit.

  • Des experts américains estiment que le faible niveau de protection du vaccin contre la grippe l’année dernière serait lié au mode de fabrication.

    L’an dernier, l’efficacité vaccinale a été de 43 % aux États-Unis et 38 % en Europe. Lorsque le vaccin est optimal, l’efficacité avoisine 60 à 70 %, tous âges confondus.

    « Un important excès de mortalité, supérieur à 20.000 décès, a été observé en France lors de l’hiver 2016-2017 » d’après le bulletin épidémiologique hebdomadaire du 10 octobre 2017.

    Cela de la préparation des vaccins sur des œufs et que les experts américains ne retrouvent pas lorsque l’on produit les vaccins à partir de cultures de cellules. « Les mutations qui se produisent sur des cultures cellulaires ne sont pas forcément les mêmes que celles qui ont lieu sur des œufs », explique Vincent Enouf, « mais la production de vaccins sur cellules n’est pas du tout adaptée à grande échelle ». « Il y a d’abord un problème de rendement. Sur cellule, il n’est que de 20 % de celui obtenu sur des œufs », détaille le Pr Bruno Lina, virologue au CHU de Lyon et responsable du CNR des virus des infections respiratoires (dont la grippe), « L’autre problème, c’est le coût final, beaucoup plus élevé. »

  • Selon un sondage mené en 2016 à travers 67 pays et publié dans la revue EBioMedecine, la France arrive en tête des pays se méfiant de la vaccination. 41 % des Français interrogés jugeaient que les vaccins ne sont "pas sûrs". Un taux plus de trois fois supérieur à la moyenne mondiale, de 13 %.

    Aux origines de cette particularité française ? Plusieurs scandales, controverses et échecs sanitaires ayant marqué les années 1990 et 2000. Les scandales du Mediator, des pilules contraceptives de troisième et quatrième génération ou encore de la Dépakine constituent autant d’épisodes ayant ébranlé l’actualité et la confiance en l’industrie pharmaceutique. D’autres affaires ont plus particulièrement mis en cause l’efficacité et l’innocuité des vaccins.

    Depuis le 1er janvier 2018, tous les enfants de moins de deux ans doivent obligatoirement être vaccinés contre onze maladies. Auparavant, la loi exigeait seulement qu’ils soient vaccinés contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Désormais, il faudra vacciner les nouveaux nés contre huit autres pathologies : la coqueluche, le virus de l’hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae (à l’origine des méningites), le pneumocoque, le méningocoque C, la rougeole, les oreillons et la rubéole.

    Selon le ministère de la Santé, cette décision d’étendre l’obligation vaccinale de trois à onze vaccins s’explique par plusieurs constats : la baisse du taux de couverture vaccinale, les décès et les handicaps provoqués par la rougeole et la méningite et la défiance grandissante envers les vaccins.

    Mais la réalité est tout autre : il faut financer à coups de fonds publics les trusts pharmaceutiques !!!

  • Alors que le ministère recevait ce mercredi les patients victimes de la nouvelle formule de Merck du générique du Levothyrox, une association assure que le médicament controversé de la thyroïde contient des métaux lourds.

  • Un an après le début de la crise du Levothyrox, des milliers de malades, des femmes en très grande majorité, se sont plaintes d’effets secondaires, comme des nausées, des maux de tête, des troubles gastriques. Aujourd’hui, elles n’ont pas retrouvé le confort de leur vie d’avant la mise sur le marché de la nouvelle formule du médicament, selon l’AFMT. "Un an après la mise sur le marché de cette prétendue ‘meilleure thérapeutique’ de nombreux patients n’ont pas encore pu retrouver un équilibre hormonal satisfaisant", écrivait le 26 avril dernier l’association sur son site internet. Par ailleurs, de nombreux patients ont fait le choix de s’alimenter en ancienne formule du Levothyrox à l’étranger, en Belgique, en Italie, en Suisse ou encore au Luxembourg. Quitte à se passer du remboursement par la Sécurité sociale.

  • Mercredi, l’AFMT a apporté un fait nouveau. Elle a appelé la justice à examiner le rôle que pourraient avoir selon elle des nanoparticules de métal dans les effets secondaires de la nouvelle formule du médicament. "On met en évidence des nanoparticules avec des alliages fer-chrome, chrome-nickel, fer-chrome-silicium, ferrochrome-aluminium, alors que dans l’ancienne formule il y avait seulement quelques débris d’acier", a expliqué lors d’une conférence de presse le docteur Jacques Guillet, qui a mené des analyses à la demande de l’AFMT.

    Au côté notamment de la comédienne Anny Duperey, qui a énormément contribué à médiatiser le mal-être des patientes (notamment sur Europe 1) ce spécialiste de médecine nucléaire a précisé avoir passé sous son microscope et à la spectrométrie "plusieurs dizaines de comprimés" de Levothyrox nouvelle formule et ancienne formule (aujourd’hui appelée Euthyrox). Il a aussi répondu au laboratoire Merck, qui a rappelé dans un communiqué que "tous les contrôles se sont révélés conformes aux spécifications". "Il n’y a aucune spécification sur ces métaux dans les textes réglementaires", a rétorqué le Dr Guillet.

  • Dans cette affaire, depuis le début, la ministre de la Santé (des labos) se fait l’avocat des trusts pharmaceutiques !!!

  • La ministre de la santé Agnès Buzyn a été rémunérée par les laboratoires pharmaceutiques pendant au moins 14 ans ! Peut-on accepter qu’une ministre de la Santé présente de tels conflits d’intérêts avec le « Big Pharma » ? Comment peut-on imaginer que la médecine puisse être libre et indépendante vis-à-vis des intérêts financiers colossaux des laboratoires pharmaceutiques ?

    Roselyne Bachelot a été ministre de la santé de mai 2007 à novembre 2010. Elle aussi avait de gros conflits d’intérêts avec les trusts pharmaceutiques. Elle avait par conséquent voulu nous imposer un vaccin contre le virus de la grippe H1N1. Elle nous avait fait une propagande terrible pour nous faire très peur de cette grippe. Elle disait que par conséquent tout le monde devait être vacciné contre cette grippe qui allait tuer beaucoup plus de personnes que les grippes des années précédentes.

    Finalement, à cause des conditions moyenâgeuses dans lesquelles elle avait décidé de vacciner tout le monde, ce vaccin a été refusé. Presque personne n’a subi ce vaccin, et en fait, cette grippe H1N1 a tué beaucoup moins de personnes que les grippes précédentes.

    Mais la France avait quand même acheté pour deux milliards d’euros de vaccins qui n’ont pas été utilisés et ont dû en conséquence être jetés à la poubelle. 2 milliards d’euros de gaspillés par la France, mais 2 milliards d’euros empochés par les trust pharmaceutiques. Normal, Roselyne Bachelot avait travaillé pendant de très nombreuses années pour Big-Pharma !!!

  • Des scientifiques viennent de découvrir que la vaccination répétée, chaque année, contre l’influenza pourrait moduler l’immunité d’une manière insoupçonnée. Cette découverte étonnante permet d’espérer mieux comprendre le casse-tête qu’est la prévention de la grippe.

    Bien que son taux d’efficacité (variant de 30 à 60 %) laisse à désirer, le vaccin contre la grippe saisonnière sauve bien des vies, chaque année.

    Or, les scientifiques ont récemment mis le doigt sur une limite inattendue de ce moyen de prévention. On observe en effet que dans certaines circonstances, les personnes vaccinées régulièrement sont moins bien protégées que les autres contre certaines souches du virus.
    Il est important de noter que l’effet observé est inconstant et qu’on ne comprend pas le mécanisme en cause. Il faut dire aussi que dans les pires cas imaginables, l’effet de la vaccination répétée ne serait tout de même pas considérablement nuisible.

    Les nouvelles données ne remettent en cause ni la sécurité ni même l’intérêt du vaccin. Elles pourraient cependant ouvrir la porte à une meilleure compréhension de la grippe, à de meilleurs vaccins et à une meilleure protection de la population.

  • Le vaccin est-il efficace contre la grippe actuelle ? Il est prouvé que bien des fois, le vaccin n’était pas efficace car la grippe avait muté mais les gouvernants se gardaient de nous le dire, pour ne pas plomber les bénéfices des labos pharmaceutiques. Ils nous inoculaient inutilement des anciennes grippes bénignes sans nous protéger de la grippe actuelle !!! Parmi les morts de la grippe, une forte proportion était vaccinée !!

  • Un médecin généraliste de La Londe (Seine-Maritime) a été interdit d’exercer durant trois ans par l’Ordre des médecins pour avoir refusé de vacciner une petite fille de trois ans, du fait de contre-indications générale à la vaccination !!!

    Vacciner, c’est un… ordre !!! Même si on inocule de l’aluminium ou d’autres saletés !!!

    https://www.egora.fr/actus-pro/faits-divers-justice/65824-radie-trois-ans-pour-avoir-refuse-de-vacciner-un-bebe

  • "Sommes-nous tous égaux face à la vaccination ?" A écouter une émission radio de 2016 qui traite du problème de la toxicité de l’aluminium dans les vaccins. France culture LA CONVERSATION SCIENTIFIQUE par Etienne Klein . Invité : Romain Gherardi, biologiste, chef de service du Centre expert en pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor (à Créteil). Il est l’auteur de Toxic story (Actes Sud, 2016). "La France a été au cours des années 90 le lieu ou il y a eu le plus d’injection vaccinale dans le monde, puisque 90 millions de dose du vaccin contre l’hépatite B ont été administrées. Il n’y a pas d’autres exemples d’une telle vaccination de masse" ...jusqu’en 2021 !

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-conversation-scientifique/sommes-nous-tous-egaux-face-la-vaccination

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