Contribution au débat sur la philosophie dialectique du mode de formation et de transformation de la matière, de la vie, de l’homme et de la société
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Crétin, fasciste et écrivain : Michel Houellebecq
Avertissement : à l’occasion de la sortie d’un nouveau torchon, Houellebecq est à nouveau encensé par les mêmes médias qui dénoncent les gilets jaunes et les accusent de racisme, de fascisme et d’homophobie. Curieusement, Houellebecq est justement un auteur raciste, fasciste et homophobe et ne s’en cache nullement !!! Autre curiosité : ces médias prétendent que son nouveau roman serait une anticipation (dans un sens favorable) aux gilets (...)
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L’article précédent s’achevait sur le récit-témoin de Besancenot décrivant la première des journées révolutionnaires de février 1917, le jeudi 23.
Le militant bolchévique Kaiourov est catastrophé car les ouvrier(e)s ne suivent pas les consignes de son parti et rentrent en révolution. Kaiourov est passif, spectateur, totalement inactif.
Or la réalité est différente. Bien que Kaiourov comme tous les révolutionnaires ait été surpris par l’arrivée de la (...)
Notes de lecture du Garap¸ Groupe d’Action pour la Recomposition de l’Autonomie Prolétarienne
L’horreur managériale - Gérer, instrumentaliser, détruire, de Etienne Rodin
Une violence éminemment contemporaine, de Jean-Pierre Garnier
Mon père n’est pas un singe ? Histoire du créationnisme, de Cédric Grimoult
Marxisme et philosophie, de Karl Korsch
L’insurrection prolétarienne de 1830 en Belgique
Islam politique, sexe et genre, de Chahla Chafiq
Un rebelle dans la révolution, (...)
« Pour qui sonne le glas », un roman d’Hemingway sur la guerre contre la révolution d’Espagne, mais pas sur celle-ci !
Il est fréquent de présenter ce roman d’Hemingway comme s’il y avait pris parti pour la révolution espagnole, ce qui est complètement faux. Le seul passage du roman, qui prétend décrire la révolution dans un village d’Espagne soi-disant racontée par un de ses leaders, la décrit comme une horreur ultra-violente, menée par des ivrognes, des hâbleurs et des tueurs, avec des (...)
Anne Perry, un exemple d’intellectuelle européenne qui justifie le nationalisme guerrier de 1914-1918 contre le pacifisme et la révolution sociale
On ne s’attend pas nécessairement à voir des auteurs littéraires, écrivant des romans historiques, reprendre les thèses nationalistes, cultivant la défense nationale lors de la première guerre mondiale, la justifiant contre les thèses pacifistes ou révolutionnaires de l’époque. Et pourtant…
Pourtant, Anne Perry, auteur anglais bien connu de (...)
On a vu dans les deux articles précédents (Besancenot au pays des Soviets (1) et Besancenot au pays des Soviets (2) que Besancenot prétend réhabiliter les masses en mettant au premier plan leur rôle dans la révolution. Nous avons montré qu’il le fait à la manière de l’anarchisme petit bourgeois d’un Stirner, en usant continuellement des terme de « masses », « peuple » de manière abstraite, comme faire-valoir, sans leur donner réellement la parole. Ceci est confirmé par le fait que le (...)
Cet article est la suite de Besancenot au pays des Soviets (1)
Besancenot est-il vraiment révolutionnaire, voire commnuniste ?
Un des aspects trompeurs du livre de Besancenot est que son auteur fait tout pour apparaitre comme un partisan de la révolution en général, de la « révolution russe » en particulier ; comme réprésentant moderne patenté du « communisme » et de la « révolution », donc un héritier et porte-parole des maîtres : les Victor Serge, Trotsky, Rosa Luxemburg et (...)
Besancenot, un « ami de la révolution russe de 1917 », héritier des « amis de l’URSS » de l’époque stalinienne
Les lignes suivantes de Trotsky nous semblent être d’actualité concernant de nombreuses publications « de gauche » occasionnées par le centenaire de la Révolution russe de 1917, concernant le livre de Besancenot Que faire de 1917 ? Une contre-histoire de la révolution russe en particulier. Les « Amis de l’URSS » furent de vrais amis de Staline, de faux amis de la Révolution (...)
Diverses éditions :
Lire Ernst Glaeser, le romancier révolutionnaire
Ecrivain communiste révolutionnaire, capable de raconter de manière saisissante, criante de vérité, toute l’évolution politique et sociale de l’Allemagne de la première guerre mondiale (décrite dans « Classe 1922 ») à la révolution et à la chute du Kaiser (décrite dans « La paix »), à la république de Weimar avec la montée de la contre-révolution fasciste (décrite dans « Le dernier civil »), il a cependant plié, pour (...)
« Et Vsévolod Ivanov ? Après Partisan, le Train blindé, les Sables bleus, malgré toutes leurs fautes de construction, leur style haché, et même leurs artifices, n’avons-nous pas mieux connu et mieux senti la Russie dans toute son immensité, son infinie variété ethnique, son état arriéré et sa puissance ? Cette connaissance directe, imagée, peut-elle vraiment être remplacée par les hyperboles des futuristes, ou le chant monotone des courroies de transmission, ou ces petits articles de (...)