Le véritable combat de Nietzsche : contre Socrate !
15 février 2015, 10:39
Il ne pouvait donc que détester Socrate :
"Nous croyons façonner la cité heureuse, non pas en prenant à part un petit nombre de ses habitants pour les rendre heureux, mais en la considérant tout entière."
Socrate dans "La République de Platon
A une société de maîtres d’esclaves, il déclarait :
« Je n’ai jamais été le maître de qui que ce soit. »
Socrate rapporté dans « Apologie » de Platon
« Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde. » aurait même dit Socrate.
Ce n’est pas Nietzsche mais Socrate qui détruisait les idoles religieuses :
« L’homme est le seul animal à croire à des dieux. »
Il était opposé à regarder l’homme comme un être à part :
– Socrate : Maintenant, ne borne pas ton enquête aux hommes, si tu veux découvrir plus aisément la vérité ; étend la à tous les animaux et aux plantes, bref à tout ce qui a naissance et voyons, en considérant tout cela, s’il est vrai qu’aucune chose ne saurait naître que de son contraire, quand elle a un contraire.
Il affirmait encore :
« Je suis le produit de sept tromperies : la prétendue supériorité de l’homme sur l’animal, de l’homme sur la femme, de l’homme libre sur l’esclave, de l’homme oisif sur l’homme qui travaille, du penseur sur l’homme de la rue, de l’Athénien sur l’homme de l’Hellade et, enfin, de l’Hellène sur le reste des humains. Croyez bien que je n’en tire aucune fierté, car je suis un animal, une femme, un ignorant, un esclave et un homme de peine. Je n’appartiens à aucune cité et suis un citoyen du monde. »
Il ne pouvait donc que détester Socrate :
"Nous croyons façonner la cité heureuse, non pas en prenant à part un petit nombre de ses habitants pour les rendre heureux, mais en la considérant tout entière."
Socrate dans "La République de Platon
A une société de maîtres d’esclaves, il déclarait :
« Je n’ai jamais été le maître de qui que ce soit. »
Socrate rapporté dans « Apologie » de Platon
« Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde. » aurait même dit Socrate.
Ce n’est pas Nietzsche mais Socrate qui détruisait les idoles religieuses :
« L’homme est le seul animal à croire à des dieux. »
Il était opposé à regarder l’homme comme un être à part :
– Socrate : Maintenant, ne borne pas ton enquête aux hommes, si tu veux découvrir plus aisément la vérité ; étend la à tous les animaux et aux plantes, bref à tout ce qui a naissance et voyons, en considérant tout cela, s’il est vrai qu’aucune chose ne saurait naître que de son contraire, quand elle a un contraire.
Il affirmait encore :
« Je suis le produit de sept tromperies : la prétendue supériorité de l’homme sur l’animal, de l’homme sur la femme, de l’homme libre sur l’esclave, de l’homme oisif sur l’homme qui travaille, du penseur sur l’homme de la rue, de l’Athénien sur l’homme de l’Hellade et, enfin, de l’Hellène sur le reste des humains. Croyez bien que je n’en tire aucune fierté, car je suis un animal, une femme, un ignorant, un esclave et un homme de peine. Je n’appartiens à aucune cité et suis un citoyen du monde. »