Accueil > ... > Forum 33224

« Comment un observateur se déplaçant à la vitesse de la lumière (aux côtés du photon lumineux) voit-il le monde ? » ou le paradoxe de la relativité restreinte

5 février 2019, 15:31, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

RE Bonjour.

___Vous savez des lois on s’en passe quand on est révolutionnaire, sinon on avance pas. Je ne vais pas réécrire les lois de Napoléon, mais les dernières sûrement où on se passe de quanta pour dire que c’est le photon tout seul comme un grand qui peut générer des particules est assez curieux, et ce pour ne pas employer d’autres adjectifs.

___Je pense que vous grossissez et déformez mes propos, car entre anti-agglutination et le verbe interagir sont des notions différentes, car je n’essaie pas se compacter pas agglutination et donc ne pas rester coller, mais interagir par contact vont dans le même sens, car je n’ai jamais dit que la matière au sens large pouvait rester coller à une autre matière mais avoir des contacts sur une partie de ses éléments, sachant comme je l’explique que se sont des contacts par chocs et que forcément après ces chocs il n’est plus de contact. D’ailleurs j’ai parlé de chocs et d’échanges, et donc échange ne veut pas dire agglomérer mais justement repousser mais échanger quand même. Je me demande d’ailleurs si nos contacts ne sont pas des chocs, car à en voir vos réponses, les explications n’y sont pas vraiment, tant vous êtes empressé de répondre. Que le principe de Pauli empêche que la matière agglutine, et bien je n’ai pas dit le contraire, car ce que j’explique se sont des chocs et non des collages ou des agglutinations et des rassemblements de quoi que ce soit.

___C’est curieux de déformer à ce point mes propos, d’autant que vos réponses n’en sont pas vraiment, car si il y avait eu un article de ce Pauli exprimant cette impossibilité que la matière puisse s’agglomérer, et bien j’aurai lu, mais là rien de tel. Donc quelques fois vous êtes ouvert et quelques fois complètement fermé. Je me répète, mais j’ai dit qu’une partie de la matière au sens atome pouvait être en contact avec d’autres atomes, mais ces contacts ne définissent en rien une colle, car justement ce sont des chocs constants, et je dis bien que par ces chocs il y a des échanges, mais implicitement ces chocs ne sont pas de la colle, sinon il n’y aurait plus de choc. Ce qui est fou, c’est que je décortique mes phrases en les allongeant pour qu’il n’y ait pas de confusion, et vous les prenez dans le sens contraire. C’est à ne rien comprendre votre façon de lire, car sûrement vous vous buttez sur un mot ou trois, et après cela ne correspond plus à ce que j’ai expliqué. Mais je crois savoir votre mécontentement ou votre agacement qui est par cette phrase : : [Tout le problème quand on parle de matière, et bien on ne sait vraiment de quoi on parle, car cela reste trop vaste.]. Vous prenez la "MOUCHE" mon cher Paris, c’est du moins ce que je pense. Encore une expression idiote, mais c’est comme ça.

___Pour cette histoire de principe de Pauli, et bien je suis aller voir ce qui est dit : : Ce principe interdit d’avoir deux électrons dans le même état quantique pour un système donné. Comme un état est un ensemble d’attributs, et bien en gros Pauli interdit d’avoir deux électrons à la même position et ayant le reste des caractéristiques identiques. Cela détermine aussi le nombre d’électrons par couche dans l’atome et suivant la couche. Après cela se généralise avec les autres particules Voici ce qui est dit par ce Wikipédia, mais apparemment non par un retour sur une citation de ce Pauli et par vous : : [L’état quantique d’une particule est défini par des « nombres quantiques ». Le principe d’exclusion interdit à tout fermion appartenant à un système de fermions d’avoir exactement les mêmes nombres quantiques qu’un autre fermion du système.]. Et bien je pense que vous avez omis ce bout de phrase "appartenant à un système de fermions" comme aussi "autre fermion du système". Les chocs entre ces grains d’électrons sont dans des systèmes différents, car il faut comprendre que c’est le noyaux de l’atome et l’ensemble des électrons qui définit un système, et si il y a deux atomes, et bien cela fait deux systèmes, et rien n’empêche d’avoir des chocs de parties d’électron entre deux systèmes différents, et ce même si ces électrons ont des couches identiques et même des nombres quantiques presque identiques, car la restriction est fait pour le système et non pour d’autres systèmes, ce qui fait que deux systèmes peuvent peuvent très bien s’entrechoquer. Ce n’est pas drôle d’aller à la pêche quand vous êtes de mauvaise fois, car les mouches sans doute.

___Pour ces accélérateurs de particules, l’écrantage est justement supprimé car c’est le but de faire "courir" à des vitesses proche de la lumière des particules en sens inverse et de les faire collisionner. Et bien dans la nature cela est gratuit et ne demande pas de très grande énergie au niveau des atomes, car la vitesse de la lumière et peut être même plus grande, et le sens inverse y est aussi, mais il faut de la chance, mais pas tant que cela, et donc les collisions existent forcément. Maintenant on ne parle absolument pas d’électrons qui s’entrechoquent mais des parties d’eux-mêmes que sont les grains pour moi, et pour vous des nuages. D’ailleurs dans cette image de deux électrons nuageux entrechoquons c’est très choquant, car cette notion de nuage n’a pas de consistance, et on n’aboutit pas à des vrais chocs.

___Après avec votre dernière phrase qui est: : [Il a la "démographie" des fermions qui est anti-agglutination contrairement à la "démographie" bosonique qui est l’inverse.] et bien je ne comprends rien car je ne sais pas ce que vous voulez dire exactement car est-ce une loi, un principe, un constat ou autre.

___Je ne sais pas pourquoi vous me parler de gravitation à cette échelle. Au niveau des forces de répulsions et bien cela peut encore s’expliquer, mais on ne parle pas d’électron mais de ses constituants, et donc si l’union fait la force pour le simple électron, il faut que cette force soit moindre si elle est décomposée et divisée. De plus il y a un paradoxe, car dans certaines des citations comme les vôtres d’ailleurs un photon est porteur d’une particule positive et d’un autre de charge opposée, et le combat est le même que celui de la répulsion, car le photon doit aussi combattre l’attraction, car répulsion ou attraction, c’est identique au niveau des forces employées.

___[Il y a le fait qu’en des temps très courts, la propriété de masse saute à une autre particule et donc les deux particules dites réelles (portant la masse) ne peuvent pas s’attirer.] Cette phrase je ne la comprend pas car je ne sais pas de quelle particule dont on parle et qui saute d’une particule virtuelle à une autre, car de plus pour sauter d’un point à un autre il faut déjà être sur le point de départ qui est une particule mais laquelle.

___[Et j’en passe des meilleurs plus compliqués comme la force de répulsion du vide entre deux particules de matière..] Et bien ne passé pas M. Paris et donnez moi simplement les articles où je peux aller voir, ce dont vous voulez parler.

___Pour le redire encore, l’exclusion de Pauli est respectée, car deux grains de deux systèmes différents entrant en collision est possible, car rien que les directions opposées des grains sont déjà des données des nombres quantiques différents, et que la position par le chocs est une donnée parmi d’autres, de plus on ne s’adresse pas aux électrons, mais à leurs constituants. Donc médité Monsieur Paris et restez calme, car vous avez totalement le droit de refuser mes petites inventions, car cela n’est jeux de grains, mais qui peut quand même bloquer la machine. Je suis donc désolé pour sûrement vous avoir mis dans état non quantique, mais sûrement un état caustique.

Amicalement.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.