Le mouvement, qui paralyse le Liban avec la fermeture des banques, des institutions publiques et de nombreux magasins, a démarré de manière spontanée jeudi après l’annonce d’une taxe sur les appels effectués via WhatsApp. Partout, sous une nuée de drapeaux libanais, des foules compactes ont repris les slogans du Printemps arabe qui rythment désormais leur révolte : "Révolution, révolution", "le peuple veut la chute du régime"...
Le mouvement, qui paralyse le Liban avec la fermeture des banques, des institutions publiques et de nombreux magasins, a démarré de manière spontanée jeudi après l’annonce d’une taxe sur les appels effectués via WhatsApp. Partout, sous une nuée de drapeaux libanais, des foules compactes ont repris les slogans du Printemps arabe qui rythment désormais leur révolte : "Révolution, révolution", "le peuple veut la chute du régime"...