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Onze vaccins infantiles obligatoires en France depuis le 11 janvier 2018 soit presque quatre fois plus qu’avant !!! Quel bilan plus de trois ans après, mis à part les profits des labos ?

vendredi 7 mai 2021

Onze vaccins infantiles obligatoires en France depuis le 11 janvier 2018 soit presque quatre fois plus qu’avant !!! Quel bilan plus de trois ans après, mis à part les profits des labos ?

On est effectivement passés en France en 2018 de trois vaccins infantiles obligatoires à… onze vaccins, quel saut ! Et pour quel raison ? Et avec quel bilan ?

C’est la ministre Buzyn qui a engagé cette « réforme » brutale :

https://sante.lefigaro.fr/article/la-ministre-de-la-sante-reflechit-a-rendre-obligatoires-11-vaccins-infantiles/
Elle a été au service des labos pharmaceutiques pendant quatorze ans officiellement…

http://www.libreactu.fr/agnes-buzyn-a-ete-remuneree-par-les-labos-pendant-au-moins-14-ans/

Et ensuite officieusement !!!

L’enquête de Pascale Pascariello pour Médipart révélait il y a plus d’un an les déclarations de l’actuelle ministre de la Santé sur la qualité de l’expertise médicale et les conflits d’intérêts avec le milieu industriel, lors d’une rencontre organisée par un cabinet de lobbying.
Alors présidente de l’INCa, la professeure en hématologie déclarait que “l’industrie pharmaceutique joue son rôle, et je n’ai jamais crié avec les loups sur cette industrie. Il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l’industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts.“
Ces déclarations laissent sous-entendre que la qualité des expertises des institutions publiques, telles que le Haut conseil de la santé publique (HCSP), la HAS elle-même, ou l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), est dépendante des liens des experts avec les industriels. Autrement dit, on pourrait remettre en cause, selon la ministre, la qualité des avis et des recommandations par des experts qui n’entretiennent pas de lien avec l’industrie.
Cette position discutable a été confirmée par la ministre lors de son audition devant le Sénat, rappelant que les déclarations publiques d’intérêts, pierre angulaire d’un système d’expertise qui contrôle peu, devenaient trop handicapantes.
Selon l’enquête de Médiapart, Mme Buzyn déclarait que les experts ne supportaient plus la lourdeur administrative de déclarer leurs liens d’intérêts, obligeant les institutions à s’excuser de recaler un expert à la lumière de ses liens d’intérêts.
https://www.dur-a-avaler.com/agnes-buzyn-ministre-sante-ancienne-conseillere-industrie-pharmaceutique/

Le conflit d’intérêt existait avec son poste à la tête de la santé et son mari Yves Lévy…

https://www.asso-malades-thyroide.fr/wordpress/index.php/2018/05/17/du-rififi-au-plus-haut-niveau-de-ladministration-de-la-sante/

On pouvait y lire :

« Après l’apothéose vaccinaliste, il semblerait que certaines positions ministérielles caricaturales posent enfin problème aux autorités en charge du sanitaire républicain. La Ministre de la santé et son époux, le PDG de l’INSERM, sont peut-être allés un peu trop loin. En effet, qu’une Ministre fasse passer une Loi obligeant à vacciner chaque année 800000 bébés (avec pas moins de onze vaccins) pour la plus grande satisfaction de l’industrie des vaccins (ça s’appelle constituer un marché captif) en faisant semblant d’avoir organisé une concertationcitoyenne est une chose. Que les vrais experts vraiment indépendants n’aient pas été consultés ou entendus en est une autre. Mais que son époux et PDG de l’INSERM appuie grossièrement cette Loi en est une ultime qui n’est pas banale. Que dit ce PDG ? »

Où est le conflit d’intérêt :

https://fdgpierrebe.over-blog.com/2017/05/notre-syteme-de-sante-gravement-menace-le-fric-les-grands-groupes-pharma-et-les-us-sont-dans-la-place.html

Cette décision a été prise pour défendre les labos contre une action des parents contre les adjuvants dangereux à l’aluminium dans les vaccins !!!

https://www.monde-diplomatique.fr/2018/01/SHAHSHAHANI/58252

Pour justifier sa décision, Mme Buzyn s’appuie sur les conclusions du comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination, dont le fonctionnement a été dénoncé comme « une véritable opération de propagande (...) menée pour inciter les Français à se vacciner » par l’ancien secrétaire général de la Conférence nationale de santé Thomas Dietrich. Lors de sa démission fracassante, le 19 février 2016, ce haut fonctionnaire s’était alarmé des conséquences de l’absence de démocratie sur les questions de santé : « De plus en plus de parents renonceront à vacciner leurs enfants, prédisait-il, faute de pouvoir disposer d’une information qui ne soit pas entachée du soupçon de la partialité et du conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques ».
De fait, l’agence de presse médicale APMNews révélait quelques mois plus tard, en décembre 2016, que trois médecins du comité d’orientation avaient déclaré des liens d’intérêts avec des laboratoires commercialisant ou développant des vaccins, et que l’un d’eux n’avait « pas mentionné une dizaine de conventions avec MSD, huit avec Sanofi et des avantages avec ces deux laboratoires et Pfizer ». Il apparaissait également que le président du comité, M. Alain Fischer, n’avait pas noté dans sa déclaration publique d’intérêts avoir reçu, en 2013, un prix Sanofi-Institut Pasteur de 100 000 euros. En outre, les conclusions présentées par celui-ci n’étaient pas le reflet de la concertation sur des points majeurs. Le jury de professionnels de la santé estimait, par exemple, que « le principe d’obligation vaccinale n’instaure pas la confiance », le jugeant même « contre-productif ». Le jury de citoyens suggérait, lui, d’explorer la piste de vaccins sans adjuvant aluminique, situant cette question « au cœur de la controverse ». Le comité a conclu que « les recherches en cours n’ont pas pour but de remplacer les sels d’aluminium, dont l’efficacité et la sécurité d’utilisation sont bien démontrées dans les vaccins existants ». Selon l’association pour une information médicale indépendante Formindep, cette concertation constitue « un échec complet » et traduit « un tableau alarmant de notre “démocratie sanitaire” ».
Pour justifier sa mesure, la ministre de la santé a aussi plusieurs fois évoqué « une couverture vaccinale qui ne cesse de baisser ». Mais les données officielles de Santé publique France indiquent le contraire : en 2015, la couverture des enfants de 2 ans contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche et Haemophilus influenzae B dépassait les 95 % (alors qu’elle oscillait entre 87 et 91 % entre 2000 et 2013). Inférieures, les couvertures pour les autres vaccins progressaient également. En outre, confirme l’organisme, la primo-vaccination du nourrisson (98 % ou plus) est « très élevée et conforme aux objectifs de santé publique ». D’après le « Baromètre santé 2016 » — soit avant l’obligation —, seuls 2 % des Français étaient opposés à toute vaccination, et 41 % à certaines (grippe et hépatite B en tête). Ils étaient 53 % en 2010.

https://www.monde-diplomatique.fr/2018/01/SHAHSHAHANI/58252

On peut lire dans cet article :

« Dans une lettre ouverte aux députés, des généralistes estiment disproportionnée la privation de collectivité pour des enfants non vaccinés au vu des risques « inexistants ou infinitésimaux » de certains vaccins obligatoires, et ajoutent que, pour les infections à méningocoque C, notamment, « la vaccination universelle risque de provoquer plus d’effets indésirables graves chez les nourrissons que de bénéfices dans la population générale ». A contrario, la varicelle — très contagieuse — cause une vingtaine de morts par an, mais reste considérée par les autorités françaises et l’ensemble du corps médical comme une maladie infantile bénigne, alors que le vaccin est obligatoire en Italie (avec neuf autres). Ces praticiens rappellent aussi la responsabilité des autorités dans la crise de confiance en évoquant l’emballement et la surévaluation du risque dans la gestion de l’épidémie de grippe H1N1 en 2009-2010, malgré des données rassurantes en provenance de l’hémisphère Sud. L’exclusion des médecins généralistes du dispositif de vaccination d’envergure mis en place à cette époque et l’injection « à la hâte dans des lieux de vaccination collectifs en dépit des risques évidents de contamination » a signé, selon eux, un échec de l’expertise scientifique et de la concertation. Le Sénat avait constaté que seulement 6 millions de doses de vaccins avaient été utilisées sur les 94 millions commandées par l’État via des contrats d’un « remarquable déséquilibre » au profit des laboratoires et d’une « légalité douteuse de certaines de leurs clauses »). Et l’ANSM avait confirmé, en 2013, un lien entre le vaccin Pandemrix utilisé dans cette campagne et l’augmentation des cas de narcolepsie, ouvrant la voie à des indemnisations par l’État.

En 2017, seize pays européens n’ont quant à eux aucune obligation vaccinale chez les nourrissons : l’Allemagne, l’Autriche, Chypre, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, la Finlande, l’Irlande, l’Islande, la Lituanie, le Luxembourg, la Norvège, les Pays-Bas, le Portugal, le Royaume-Uni et la Suède. Parmi ces pays, il existe une véritable disparité dans la couverture vaccinale, c’est-à-dire, dans le nombre de personnes qui optent tout de même pour la vaccination.

https://www.magicmaman.com/les-vaccins-et-l-acces-a-la-vaccination-a-travers-le-monde,3582223.asp

Que disent les études scientifiques concernant ces pays ? Est-ce que les maladies infantiles y sont en hausse phénoménale par rapport à l’Italie ou la France qui vaccinent de manière massive et obligatoire ?

Les chiffres officiels français voudraient le faire croire :

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/08/01/comment-les-vaccins-ont-durablement-fait-reculer-les-maladies_5167442_4355770.html#diphterie

Mais les chiffres étrangers disent le contraire : pas plus de maladies infantiles dans les pays où il n’y a pas onze vaccins obligatoires !!!

Aux USA, non plus, les vaccins ne sont pas réellement obligatoires… Le Japon est en tête des pays où il y a le moins de maladies infantiles alors que l’obligation de vaccination infantile y est absente… C’est le cas également de la Suisse avec zéro vaccin obligatoire !!! Et les pays d’Europe qui n’obligent pas de vaccination infantile ne sont pas moins bien lotis que ceux qui l’imposent…

Liste des pays par taux de mortalité infantile :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_taux_de_mortalit%C3%A9_infantile

Les politiques vaccinales dans le monde :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_vaccinale

Y a-t-il eu une évaluation sur le choix des onze vaccins obligatoires en France ?

NON !!!

Ces vaccins ont-ils choisi de cahnger d’adjuvant pour éviter des maladies graves ?

NON !!!!

Tous contiennent un adjuvant aluminique, mis à part le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole).

Les dangers des vaccins avec aluminium ne sont-ils que de fausses rumeurs ?

NON !!!

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve712

Macron, lui, a toujours été lié aux laboratoires… Servier… simplement le plus scandaleux de tous !!!

L’exemple des laboratoires Servier est parlant : à de multiples reprises, il a été prouvé que ce laboratoire cachait des rapports, tronquait des résultats, trafiquait ses produits. Cela n’a nullement mené les responsables du médicament en France à lui retirer son accréditation et chaque faux médicament (en fait dangereux) a été retiré longtemps après que des doutes ou même des certitudes aient montré que ces médicaments devaient être retirés. Le Mediator est loin d’être seul en cause… Il y a même un médicament qui vient seulement d’être considéré comme une drogue entraînant une grave addiction : l’antidépresseur Stablon. On découvre que l’Etat le savait depuis un rapport de… 2005 !!! Mediator a été retiré du marché en 2009, Locabiotal 1% a été retiré en 2005. Survector a été retiré en 1999. Isoméride a été retiré en 1997. Mais les laboratoires Servier n’ont jamais été retirés de l’accréditation !!!

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4499

Les 11 vaccins infantiles obligatoires en France, c’est un vaste conflit d’intérêt !!!

https://www.mesopinions.com/petition/sante/aluminium-vaccins-expliquez-madame-ministre-demissionnez/33815

Et pour covid !!!

Le 24 janvier 2020, trois premiers cas de Covid-19 sont enregistrés en France. Agnès Buzyn, alors ministre des Solidarités et de la Santé, déclare à propos de la Covid-19 que « le risque d’importation [du virus] depuis Wuhan est pratiquement nul » et que « le risque de propagation est très faible »…

Son mari, Yves Lévy a cautionné sous l’égide de la France la mise en place du fameux laboratoire de Wuhan….

https://www.europe1.fr/international/quel-est-ce-laboratoire-de-wuhan-dou-pourrait-etre-parti-le-coronavirus-3962587

Présent au moment de l’inauguration du laboratoire en tant que coprésident du comité de pilotage, Yves Lévy, à l’époque directeur de l’Inserm et de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan), précise que la France a contribué à la construction du laboratoire…

https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/monde/quels-sont-les-liens-entre-la-france-et-le-laboratoire-de-wuhan-pointe-du-doigt-par-les-etats-unis-1980533.php

Messages

  • Ces brutes du profit à tout prix sont prêts à tout car c’est au moment ou un courant de contestation de la vaccination obligatoire s’organise, que le pouvoir d’Etat répond aux organisations de victimes et à tous les parents inquiets ...par encore plus d’obligation. Les staliniens de type Lutte Ouvrière n’y trouveront rien à redire ..à moins que leurs petits enfants soient victimes malheureusement de cette folie !

  • Le docteur Dominique Le Houézec et la présidente du REVAV (Réseau des victimes d’accidents vaccinaux) ont écrit le 03/06/2021 au Président, au Premier Ministre et au Ministre de la Santé, en leur demandant de ne pas ouvrir la vaccination aux enfants et aux jeunes :
    "Monsieur le Président, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé,
    La semaine passée, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a validé la vaccination contre la Covid-19 pour les enfants âgés de 12 à 16 ans.
    Nous sommes surpris de voir avec quel empressement, vous vous apprêtez à faire vacciner massivement des adolescents qui n’ont quasiment aucun risque de développer une forme grave de la Covid-19 d’après toutes les données épidémiologiques
    publiées.
    Les données de l’industrie pharmaceutique concernant les effets secondaires post-vaccinaux sont restreintes et ne portent que sur le court terme.
    La FDA (Food & Drug Administration) a rapporté l’existence de problèmes de santé sévères.
    Le CDC (Centers for Disease Control) a décrit chez l’adolescent trois pathologies psychiatriques, un effet secondaire neurologique et un autre gastrique sur un échantillon de 1109 personnes de cette classe d’âge. Ce type d’effets indésirables
    surviendrait donc dans un pourcentage de 5/1000, ce qui multiplierait donc de façon notable ces complications sur une population de plus de 4 millions d’adolescents vaccinés.
    Les données fournies par l’ANSM chez les adultes vaccinés ne sont guère rassurantes de même que celles qui sont recueillies à l’étranger.
    Il a ainsi été recensé chez l’adulte jeune des cas de myocardites, des problèmes de menstruation.
    L’ANSM a alerté récemment la SFO (Société Française d’Ophtalmologie) concernant l’apparition possible d’occlusions veineuses rétiniennes (communiqué ci-dessous).
    Quant aux suspicions de problèmes de fertUn pédiatre américain, J. Whelan, spécialiste de la prise en charge des enfants
    atteints du syndrome inflammatoire multisystémique (MIS-C) dans le cadre d’une infection à Coronavirus, redoute l’apparition de lésions microvasculaires (cerveau, cœur, foie, reins) chez des enfants vaccinés.
    Ceci semblerait cohérent avec les cas de thromboses veineuses non rares qui sont recensés par l’ANSM.
    L’ANSM comptabilise un nombre important de décès post-vaccinaux.
    Notre association reçoit des témoignages qui affluent pour indiquer que les familles rencontrent des difficultés à signaler ces décès post vaccinaux pour lesquels nous avons saisi l’ANSM.
    Sur le plan éthique, nous savons que l’incidence et la morbidité de la Covid-19 sont très faibles chez l’enfant et les décès exceptionnels. Leur vaccination ne sera donc pas mise en place pour leur propre protection mais principalement pour celle des
    personnes âgées ou à haut risque de leur entourage. De plus, il n’existe pas de données évaluant si les personnes vaccinées restent, ou non, des transmetteurs potentiels du virus.
    Chaque vaccin devrait faire l’objet de tests approfondis pour démontrer sa sécurité chez l’enfant, ce qui n’est pas le cas actuellement.
    Tous ces éléments contribuent à douter de l’efficacité de cette vaccination massive qui risque en fait de faire basculer la balance « bénéfice /risque » vers le risque qui deviendrait, dès lors, plus important que le bénéfice.
    En conséquence, nous vous conseillons fortement de ne pas autoriser la vaccination des enfants et des adolescents.
    Dominique Le Houézec Catherine Gaches Conseiller médical Présidente
    Copie à l’HAS, au Ministère de la santé ; au Premier Ministre, à la DGS, courrier rendu
    public sur notre site internet et sur les réseaux."
    Lettre issue du site internet du REVAV voir ici.

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