Sur les 3,3 milliards de paires de bases de l’ADN humain, si seules 1,5% codent effectivement directement la synthèse protéique, le reste (3,25 milliards de paires de bases) autrefois considéré comme de "l’ADN poubelle" inutile ou relique d’inclusions ou erreurs passées de duplication apparaît finalement avoir une importance fonctionnelle.
Même les ADN non codant (qui se chevauche souvent avec des séquences codant des protéines) sont presque tous transcrits en ARN (non codant) qui jouent un rôle important de régulation de l’expression protéique.
Comme 50 % environ des gènes étudiés ont été choisis au hasard, les chercheurs supposent que ceci pourrait être vrai pour l’ensemble du génome humain
L’ADN poubelle existe-til ?
Sur les 3,3 milliards de paires de bases de l’ADN humain, si seules 1,5% codent effectivement directement la synthèse protéique, le reste (3,25 milliards de paires de bases) autrefois considéré comme de "l’ADN poubelle" inutile ou relique d’inclusions ou erreurs passées de duplication apparaît finalement avoir une importance fonctionnelle.
Même les ADN non codant (qui se chevauche souvent avec des séquences codant des protéines) sont presque tous transcrits en ARN (non codant) qui jouent un rôle important de régulation de l’expression protéique.
Comme 50 % environ des gènes étudiés ont été choisis au hasard, les chercheurs supposent que ceci pourrait être vrai pour l’ensemble du génome humain