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La révolution française de 1789 est connue. Celle de 1792 l’est beaucoup moins…

dimanche 24 décembre 2023, par Robert Paris

La révolution française de 1789 est connue. Celle de 1792 l’est beaucoup moins…

A l’exemple de Paris, des communes se constituèrent à travers toute la France. Et, tout naturellement, ces milliers de pouvoirs locaux éprouvèrent le besoin de se fédérer autour de la Commune parisienne, affirmant ainsi que la souveraineté populaire résidait originairement en eux et non dans l’assemblée parlementaire bourgeoise. Cette dernière en avait pris ombrage, elle avait canalisé le mouvement, et la Fête de la fédération, dérivée au profit du pouvoir central et du roi lui-même. Mais le principe fédératif restait ancré au cœur du peuple et, de la caricature allait surgir, à nouveau, l’image authentique. Les fédérés, venus assister à la fête de la Fédération du 14 juillet 1792, s’unirent spontanément aux sans-culottes des sections parisiennes pour renverser la royauté.

Face à l’assemblée législative bourgeoise, en dehors même de la Commune légale, un pouvoir insurrectionnel se constitua. Deux forces l’animaient simultanément : d’une part, le comité d’action des fédérés présents à Paris et qui représentaient symboliquement les 44.000 communes de France. Et ce pouvoir, bien qu’il comptât dans ses rangs des bourgeois avancés, prit pour emblème l’ancien drapeau de la loi martiale, tout sanglant du sang du peuple, le drapeau rouge, comme s’il voulait signifier aux générations futures qu’avec cet étendard s’affirmait une nouvelle forme de démocratie.

Le 10 août 1792, l’assemblée des sections se substitua à la Commune légale et se constitua en Commune révolutionnaire qui se présenta face à l’assemblée parlementaire bourgeoise comme l’organe de la volonté populaire. Par-dessus les têtes de la Convention, elle adressait, le 3 septembre, un appel à toute la France par lequel elle cherchait « à susciter une immense fédération de communes révolutionnaires, agissant sur le modèle de celle de Paris ».

Mais le nouveau pouvoir se laissa prendre, presque en même temps, au piège que lui tendit la démocratie bourgeoise. Il se démit, il accepta que la souveraineté du peuple fût à nouveau escamotée au profit d’une assemblée parlementaire, composée presque uniquement de notables bourgeois. Elue dans des assemblées primaires où la bourgeoisie, sous le couvert du suffrage universel réussit à faire prévaloir son influence, la Convention reflétait l’état d’esprit, en septembre 1792, des couches de la population les plus arriérées, les plus dépendantes ; elle ne traduisait ni l’évolution foudroyante de l’opinion populaire, et même bourgeoise, de 1792 à 1793, ni les aspirations de l’aile la plus active, la plus avancée, la plus consciente de la population, qu’avait incarnée la Commune insurrectionnelle de Paris.

Les sans-culottes ne tardèrent pas à s’apercevoir que la Convention n’était pas, comme elle le prétendait, l’expression de leurs volontés. Aussi malgré le prestige dont on la para à leurs yeux, conservèrent-ils toujours de la défiance à son égard et exercèrent-ils leur souveraineté ailleurs, là où ils étaient rassemblés, c’est-à-dire dans leurs sections, dans leurs communes, dans leurs sociétés populaires. Et, pour coordonner l’action de toutes ces parcelles de souveraineté disséminées, ils eurent tout naturellement la velléité de fédérer, autour de la Commune parisienne, les 44.000 communes de France : l’avant-garde populaire se trouvant surtout concentrée dans la capitale, siège en même temps de l’assemblée parlementaire bourgeoise, la Commune parisienne devenait l’incarnation, la tête effective du nouveau pouvoir dressé face à la légalité bourgeoise, face au pouvoir centralisé de la Convention et du Comité de Salut public.

La Commune insurrectionnelle de Paris, celle de la Révolution française en 1792-1793

Quel est le plus haut sommet de la Révolution française ? C’est la « Commune insurrectionnelle » de Paris !!!

Dans la nuit du 9 au 10 août 1792, sous la menace du danger extérieur (le manifeste de Brunswick de l’armée de la noblesse française unie aux armées féodales européennes vient d’être publié et il affirme la lutte à mort contre le peuple français révolté) et la crainte d’une trahison de Louis XVI, 28 sections sur 48 nomment des commissaires à pouvoirs illimités. La Commune de Paris est supprimée ; Mandat, le commandant de la garde nationale de Paris, est assassiné et remplacé par Santerre. La commune insurrectionnelle qui prend sa place élit comme premier président Huguenin. Par la suite, elle est dirigée par Jérôme Pétion, Pierre Louis Manuel et son substitut Danton.

Le 10 août et les jours suivants, les sections qui n’avaient pas élu de commissaires rejoignent les 28 premières sections. Le 11, la section de la place Vendôme, qui se rebaptise section des piques, élit Robespierre comme représentant. À ce moment-là, 52 commissaires désignés avec la participation des citoyens forment le Conseil général de la Commune. Le 21 août, le Conseil général de la Commune obtient que le département de Paris soit dissous : ainsi, la Commune prenait sa place, cumulant les pouvoirs communal et départemental. Les rivalités entre l’Assemblée législative finissante et la Commune durent jusqu’à la fin du mois d’août. La Commune fait pression pour accélérer les procès des coupables du massacre du 10 août, et finit par obtenir le 17 août la création d’un tribunal extraordinaire élu par les sections. L’Assemblée décide de frapper en décrétant le renouvellement du Conseil général de la Commune ; mais celui-ci refuse, et fait annuler le décret. L’Assemblée se contente de faire élire six représentants par chaque section pour compléter le Conseil.

Le 2 septembre, la Commune décrète de faire tirer le canon d’alarme, sonner le tocsin et battre la générale : c’est le début des massacres de Septembre. Elle envoie des représentants inspecter les prisons, tenter de modérer les massacres, mais globalement son action est peu décisive.

À partir de septembre 1792, le club des Jacobins s’ouvrit aux citoyens les plus pauvres : il devint dès lors le plus important des lieux de réunion pour les sans-culottes.

Ceux-ci manifestaient leurs revendications par des pétitions des sections présentées aux assemblées (Législative, puis Convention) par des délégués ; il y eut ainsi une succession de pétitions réclamant l’arrestation des chefs girondins avant l’insurrection du 31 mai au 2 juin. L’insurrection, la « journée », était le second moyen d’action. La violence armée fut un recours fréquent du 10 août 1792 aux vaines émeutes de germinal et prairial an III. Les émeutiers, appuyés par les canons de la garde nationale à laquelle ils appartenaient, venaient montrer leur force menaçante pour obtenir gain de cause. De leur détermination et de la capacité de résistance du pouvoir politique dépendait évidemment le succès de la tentative : réel le 10 août ou le 2 juin, il fut nul durant la période de la Convention thermidorienne.

Avec la mise en place, en 1792 et 1793, des comités de surveillance, les sans-culottes eurent un troisième moyen de pression sur la politique : la police et les tribunaux reçurent par milliers les dénonciations des traîtres et conspirateurs supposés. Pour l’efficacité de la Terreur, la surveillance révolutionnaire exercée par les sans-culottes était indispensable. Celle-ci abolie par la Convention thermidorienne, vint le moment où les sans-culottes, privés du club des Jacobins, désarmés, fichés et suivis par une police remarquablement infiltrée, durent abandonner leur pouvoir de pression. La République ne serait plus ni sauvée ni dirigée par leur colère, mais par les militaires.

Les 48 sections de Paris qui, dans le cadre de la Commune, constituèrent les foyers mêmes du nouveau pouvoir populaire, avaient une origine beaucoup plus récente. A l’occasion de l’élection en deux degrés aux Etats-généraux, le ministre de le Louis XVI, Necker, avait découpé Paris en 60 districts (…) Cette opération avait pour but d’affaiblir, en le divisant, l’esprit révolutionnaire de la capitale. (…) Au lendemain du 14 juillet, la subdivision de Paris en 60 bureaux de vote qui, à l’origine devaient se réunir une seule et unique fois, fut rendue permanente. Plus tard, ceux-ci furent remplacés par 48 sections. A la veille du 10 août 1792, les sections arrachèrent à l’Assemblée le droit de se réunir en permanence ; et après le 10 août non plus seulement ceux qui payaient le « cens » mais tous les citoyens y furent admis. (…) Nous voyons les premiers symptômes de dualité de pouvoirs dès juillet 1789. A l’orée de la Révolution, il y a dualité de pouvoirs non seulement entre le roi et l’Assemblée nationale, mais déjà entre l’Assemblée nationale, interprète des volontés de la haute bourgeoisie, et la Commune de Paris, cette dernière s’appuyant sur les couches inférieures du tiers état de la capitale. (…) La dualité de pouvoirs se manifesta d’une façon beaucoup plus accusée à l’occasion de l’insurrection du 10 août 1792. Dès la seconde quinzaine de juillet, les sections avaient nommé des délégués qui s’étaient réunis à l’Hôtel de Ville. (…) Le 10 août, l’assemblée des sections se substitua à la Commune légale et se constitua en Commune révolutionnaire. Celle-ci se présenta face à l’Assemblée bourgeoise comme l’organe de la volonté populaire. (…) Mais la dualité de pouvoirs est un fait révolutionnaire et non constitutionnel. Elle peut durer un certain temps, mais pas très longtemps.

Tôt ou tard, l’un des pouvoirs finit par éliminer l’autre. « La dualité de pouvoirs est, en son essence, un régime de crise sociale : marquant un extrême fractionnement de la nation, elle comporte, en potentiel ou bien ouvertement, la guerre civile. » Au lendemain du 10 août, les pouvoirs de la Commune révolutionnaire de Paris et ceux de l’Assemblée s’équilibrèrent un instant. Cette situation qui provoqua une crise politique aiguë, ne dura que quelques semaines. L’un des deux pouvoirs dut finalement s’effacer devant l’autre, et ce fut la Commune. Au lendemain du 10 août 1792, les pouvoirs de la Commune révolutionnaire de Paris et ceux de l’Assemblée s’équilibrent un instant. Cette situation, qui provoqua une crise politique aigüe, ne persista que quelques semaines. La Commune eut le dessous. Le 31 mars 1793, la dualité de pouvoirs prit de nouveau une forme ouverte. Comme au 10 août, une Commune révolutionnaire s’était substituée à la Commune et, face à la Convention et à son Comité de Salut public, elle avait fait figure de nouveau pouvoir. Mais la dualité ne dura cette fois, que l’espace d’un matin. Le pouvoir officiel s’empressa de faire rentrer dans le néant la Commune insurrectionnelle. Après la chute des Girondins, la lutte entre la Convention et la Commune, entre le pouvoir borugeois et le pouvoir des masses, continua sourdement. Elle prit, à nouveau, un caractère aigu, en novembre 1793, lorsque la Commune, se substituant à la Convention, entraîna le pays dans la campagne de déchristianisation et imposa à l’Assemblée le culte de la Raison.

Dans « Les luttes de classes en France sous la première république », Daniel Guérin écrit :

« Nous voyons les premiers symptômes de dualité de pouvoirs dès juillet 1789. A l’orée de la Révolution, il y a dualité de pouvoirs non seulement entre le roi et l’Assemblée nationale, mais déjà entre l’Assemblée nationale, interprète des volontés de la haute bourgeoisie, et la Commune de Paris, cette dernière s’appuyant sur les couches inférieures du tiers état de la capitale. (…) La dualité de pouvoirs se manifesta d’une façon beaucoup plus accusée à l’occasion de l’insurrection du 10 août 1792. Dès la seconde quinzaine de juillet, les sections avaient nommé des délégués qui s’étaient réunis à l’Hôtel de Ville. (…) Le 10 août, l’assemblée des sections se substitua à la Commune légale et se constitua en Commune révolutionnaire. Celle-ci se présenta face à l’Assemblée bourgeoise comme l’organe de la volonté populaire. (…) Mais la dualité de pouvoirs est un fait révolutionnaire et non constitutionnel. Elle peut durer un certain temps, mais pas très longtemps. (…) Tôt ou tard, l’un des pouvoirs finit par éliminer l’autre. (…) « La dualité de pouvoirs est, en son essence, un régime de crise sociale : marquant un extrême fractionnement de la nation, elle comporte, en potentiel ou bien ouvertement, la guerre civile. » Au lendemain du 10 août, les pouvoirs de la Commune révolutionnaire de Paris et ceux de l’Assemblée s’équilibrèrent un instant. Cette situation qui provoqua une crise politique aiguë, ne dura que quelques semaines. L’un des deux pouvoirs dut finalement s’effacer devant l’autre, et ce fut la Commune. »

Dès l’été 1792, les premiers symptômes d’une crise industrielle se manifestèrent. Pour relancer l’activité économique, il y avait un moyen : la guerre. (…) Du côté français, la prétention d’apporter la liberté aux pays voisins ne fut qu’un prétexte recouvrant des appétits expansionnistes. (…) La guerre dans laquelle la bourgeoisie s’était engagée d’un cœur léger, aboutit à un résultat imprévu : loin de faire diversion à la révolution, elle entraîna celle-ci plus loin dans sa marche en avant. La vie chère et la disette tendirent à détacher les bras-nus de la bourgeoisie, à dissocier les forces dont la conjugaison avait permis le renversement de l’Ancien Régime. Les masses populaires souffrirent de la faim et tout particulièrement au lieu même où leur intervention avait été décisive : à Paris. Les sans-culottes avaient offert leurs bras et versé leur sang pour la bourgeoisie révolutionnaire. Celle-ci, en guise de remerciement, les privait des denrées indispensables à l’existence.

Les premiers symptômes d’une scission entre bourgeois et bras-nus apparurent dès le début de 1792. En janvier, une agitation assez étendue se produisit dans les quartiers populaires de la capitale contre la hausse du prix du sucre. Des délégations de sections firent entendre leurs protestations à l’Asssemblée, dénoncèrent les « vils accapareurs et leurs infâmes capitalistes ».

A l’effroi de la bourgeoisie révolutionnaire, les sans-culottes opposèrent, maintes fois, à la soi-disant souveraineté de l’assemblée parlementaire, la véritable souveraineté du peuple, s’exerçant directement là où il était rassemblé : dans ses sections, dans ses communes, dans ses sociétés populaires. C’est ainsi que le 3 novembre 1792, la section de la Cité présenta à l’approbation des autres sections de Paris une adresse : « Les Citoyens de Paris déclarent (…) qu’ils ne reconnaissent les députés de la Convention que comme des rédacteurs d’un projet de constitution et administrateurs provisoires de la république.

A la veille du 10 août 1792, les sections arrachèrent à l’Assemblée le droit de se réunir en permanence ; et après le 10 août non plus seulement ceux qui payaient le « cens » mais tous les citoyens y furent admis.

La dualité de pouvoirs se manifesta de façon beaucoup plus accusée à l’occasion de l’insurrection du 10 août 1792. Dès la seconde quinzaine de juillet, les sections avaient nommé des délégués qui s’étaient réunis à l’Hôtel de ville. Le 10 août, l’assemblée des sections se substitua à la Commune légale et se constitua en Commune révolutionnaire. (…) Mais la dualité de pouvoirs est un fait révolutionnaire et non constitutionnel. Elle ne peut être que transitoire. Tôt ou tard, l’un des deux pouvoirs doit éliminer l’autre. Au lendemain du 10 août 1792, les pouvoirs de la Commune révolutionnaire de Paris et ceux de l’Assemblée s’équilibrèrent un instant. Cette situation, qui provoqua une crise politique aiguë, ne persista que quelques semaines. La Commune eut le dessous.

Sans la vague de fond du 10 août 1792, la bourgeoisie eût reculé devant la République et devant le suffrage universel.

Marat, dans « Plan de la révolution absolument manquée par le peuple » (7 juillet 1792) :

« Depuis trois ans nous nous agitons pour recouvrer notre liberté, et cependant nous en sommes plus éloignés qu’au premier jour : jamais nous ne fûmes plus asservis. La révolution, ayant tourné contre le peuple, est pour lui le plus grand des malheurs. La liberté qu’il regardait comme le principe de tous les biens, est devenue, dans l’Etat, une source intarissable de violences, de désordres, de désastres, de calamités… Sous l’ancien régime, nous avions pour maîtres, et le despote et ses agents et ses valets, qui nous dépouillaient et nous opprimaient à l’envi, mais la loi nous laissait la défense naturelle et nous permettait la plainte. Sous le nouveau régime, la loi qui devrait nous défendre ne sert qu’à nous opprimer ; nous n’avons plus de maîtres mais nous gémissons sous la verges de fer de nos propres mandataires : nous sommes livrés sans défense à la merci de nos propres agents ; et ce qui est le comble de l’horreur, ils nous accablent au nom de la justice : ils nous chargent de fers au nom de la liberté… »

L’année 1792 en France

https://fr.wikipedia.org/wiki/1792_en_France

Manifeste de Brunswick contre la révolution française

https://fr.wikipedia.org/wiki/Manifeste_de_Brunswick

Insurrection des vendéens contre la révolution française

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Vend%C3%A9e

1792 est l’année de la chute de la royauté

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_fran%C3%A7aise#Chute_de_la_monarchie%2C_le_10_ao%C3%BBt_1792

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2008276.r=1792?rk=64378;0

Juin 1792

https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_du_20_juin_1792

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXII

Commune révolutionnaire de Paris en 1792

https://fr.wikipedia.org/wiki/Commune_de_Paris_(R%C3%A9volution_fran%C3%A7aise)

Les sans culottes de 1792

https://fr.wikipedia.org/wiki/Sans-culottes

Juin et Août

https://fr.wikisource.org/wiki/Le_nouveau_Paris/16

Les girondins

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_L%C3%A9gislative/Av%C3%A8nement_de_la_Gironde

10 août 1792

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_L%C3%A9gislative/Le_Dix_Ao%C3%BBt

https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_du_10_ao%C3%BBt_1792

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXIII

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2413809/f5.item.r=1792

https://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_nationale#La_journ%C3%A9e_du_10_ao%C3%BBt_1792_et_ses_suites

D’août à septembre

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_Convention/Le_Prologue

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_Convention/La_R%C3%A9publique

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_Convention/Difficult%C3%A9s_et_d%C3%A9chirements

Octobre-septembre 1792

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2557174/f21.item.r=michelet%201792

Septembre 1792

https://fr.wikisource.org/wiki/Le_nouveau_Paris/18

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXV

La Convention, la Commune, les Jacobins

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXVI

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXVII

Journées révolutionnaires de septembre 1792

https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&query=%28dc.title%20all%20%22M%C3%A9moires%20sur%20les%20journ%C3%A9es%20de%20septembre%201792%22%29&keywords=M%C3%A9moires%20sur%20les%20journ%C3%A9es%20de%20septembre%201792&suggest=1

Septembre-décembre 1792

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2557174/f49.item.r=michelet%201792

Les massacres de septembre 1792

https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacres_de_Septembre

Le plus grand massacre de femmes

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b84116422.r=les+femmes+dans+la+r%C3%A9volution.langFR

Décembre 1792 : le procès du roi

https://fr.wikipedia.org/wiki/Proc%C3%A8s_de_Louis_XVI

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Grande_R%C3%A9volution/XXXVIII

Marat

https://fr.wikisource.org/wiki/Circulaire_du_3_septembre_1792

Olympe de Gouges

https://fr.wikisource.org/wiki/Le_bon_Sens_du_Fran%C3%A7ois

https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Esclavage_des_noirs_ou_l%E2%80%99Heureux_Naufrage

Madame Roland

https://fr.wikisource.org/wiki/Lettres_de_Madame_Roland_de_1780_%C3%A0_1793/Lettres/1792

Robespierre

https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_de_Maximilien_Robespierre_sur_la_guerre

https://fr.wikisource.org/wiki/Opinion_sur_les_subsistances

Claire Lacombe

https://fr.wikisource.org/wiki/Discours_prononc%C3%A9_%C3%A0_la_barre_de_l%27Assembl%C3%A9e_nationale

Danton

https://fr.wikisource.org/wiki/La_Patrie_en_danger_(Danton)

Mouvement économique et social en 1792

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_socialiste/La_L%C3%A9gislative/Le_mouvement_%C3%A9conomique_et_social_en_1792

Michelet

https://fr.wikisource.org/wiki/Histoire_de_la_R%C3%A9volution_fran%C3%A7aise_(Michelet)/volume_5

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