Pandémie et krach mondial : Fin sanglante de l’ancien monde et embryons prometteurs du nouveau
1er mai 2020, 08:31, par K.
« Ma crainte, c’est que le monde d’après ressemble furieusement au monde d’avant, mais en pire », a déclaré le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian… Ce n’est pas une crainte, c’est un souhait mal camouflé… Apparemment mais pas réellement en contradiction avec Le Drian, Macron déclarait que « le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour au jour d’avant ». « Le président considère qu’il faut réfléchir à des changements de paradigme, notamment en matière économique, analyse la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. On perçoit que cette crise révèle des dysfonctionnements, notamment sur nos chaînes de production. » L’exécutif aurait notamment été interloqué par la part prise par la Chine dans certaines filières. « Nous avons un enjeu de souveraineté », dit-on à l’Elysée. Il s’agit donc seulement de présenter le patriotisme économique et le souverainisme comme une alternative à la mondialisation à grande échelle. « Il faudra réfléchir, c’est une conviction profonde que j’ai depuis longtemps, à refaire venir dans notre continent européen, et singulièrement en France, une production de ce qui nous paraît être essentiel pour la vie de la nation », a estimé le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin. Eh oui, le nationalisme économique est présenté comme une solution à l’effondrement actuel. Bizarre, pour des gens qui prétendent que la crise est due au coronavirus, on ne voit pas en quoi le nationalisme soigne d’une pandémie !!!
« Ma crainte, c’est que le monde d’après ressemble furieusement au monde d’avant, mais en pire », a déclaré le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian… Ce n’est pas une crainte, c’est un souhait mal camouflé… Apparemment mais pas réellement en contradiction avec Le Drian, Macron déclarait que « le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour au jour d’avant ». « Le président considère qu’il faut réfléchir à des changements de paradigme, notamment en matière économique, analyse la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye. On perçoit que cette crise révèle des dysfonctionnements, notamment sur nos chaînes de production. » L’exécutif aurait notamment été interloqué par la part prise par la Chine dans certaines filières. « Nous avons un enjeu de souveraineté », dit-on à l’Elysée. Il s’agit donc seulement de présenter le patriotisme économique et le souverainisme comme une alternative à la mondialisation à grande échelle. « Il faudra réfléchir, c’est une conviction profonde que j’ai depuis longtemps, à refaire venir dans notre continent européen, et singulièrement en France, une production de ce qui nous paraît être essentiel pour la vie de la nation », a estimé le ministre des comptes publics, Gérald Darmanin. Eh oui, le nationalisme économique est présenté comme une solution à l’effondrement actuel. Bizarre, pour des gens qui prétendent que la crise est due au coronavirus, on ne voit pas en quoi le nationalisme soigne d’une pandémie !!!